Carnet de voyage

Albanie

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Le voyage se poursuit apres deja 2 mois de passer sur les routes, l'Albanie nous ouvre ses portes.
Juin 2017
8 jours
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L'arrivé en Albanie se fait en milieu d'après midi, à la frontière nous avons eu le plaisir d'être contrôlé par un policier français "en stage" en Albanie, très sympa, il était tout aussi content que nous de parler français. Nous arrivons dans la ville de Shkoder, tout un périple, nous nous engageons dans la ville, il y a des voitures dans tout les sens, des charrettes, des scooters, des piétons, il y en a de partout, ça klaxonne, des voitures sont arrêtés sur la chaussée et il n'y a pas de marquage au sol, Welcome to Albania ! Après avoir retiré de l'argent, ici c'est le Lek, il nous donne l'impression d'avoir une fortune, pour idée 1000 LEK équivaut à 7,50€ et nous n'avons que des gros billet.

Nous arrivons à nous extraire de ce capharnaüm et nous nous rendons non loin de là le long du Lac de Skadar. C'est très beau l'eau est d'un jolie bleue et la montagne est toujours présente. Nous nous attablons près déguster notre premier repas albanais. Nous prenons 2 bières albanaise, dans les Balkans si l'on ne précise pas on nous sert directement 50c. Je prend un plat typiquement albanais (selon la carte) et me retrouve avec des haricots blanc à la tomate, du riz, des cornichons carottes et oignons dans du vinaigre et un yaourt nature, ce n'est pas mauvais, c'est bien consistant mais ce n'est pas le repas le plus excellent que j'ai pu manger. Marin pour une fois un peu moins téméraire s'est contenté d'une pizza. Nous passons le reste de la journée à flâner le long de l'eau.

Lac de Skadar  

Le lendemain nous visitons la ville de Shkoder, nous retraversons le centre ville qui est toujours un joyeux bazar, on se croirait dans les pays d'Afrique du nord. La forteresse domine la ville si bien que le camion ne peut pas se rendre jusqu'au parking, la pente étant beaucoup trop raide, nous arrivons quand même à nous garer sur une place chez une petite mamie albanaise qui nous demande si l'on vient de Paris ou de Marseille, nous lui disons Angers, désormais pour les prochains français elle pourra leur citer 3 villes. La visite du château se fait sous un grand soleil mais heureusement pour nous il y a beaucoup de vent, ce qui n'empêche pas Marin d'avoir les épaules bien rose. Il y a un petit musée avec des pièces retrouvées lors de fouille archéologique. La hauteur de la forteresse nous permet d'avoir une vue imprenable sur la ville de Shkoder, le lac et la campagne environnante, c'est très beau.

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En Albanie la conduite c'est sport et stressant. Les voitures doublent à toute allure sur de longue distance sans se soucier si il y a une visibilité au bout ou si il y a de la place pour se rabattre, si bien que l'allure n'est jamais constante car il faut sans cesse freiner pour les laisser passer. Les routes ne sont pas non plus super entretenu : bosses, nid de poule, absence de marquage et nous l'avons découvert parfois il n'y a même plus de route juste une piste de terre et de sable mais c'est une route officiel quand même. Il y a de très belle voiture, Audi, SUV, Mercedes qui sont impeccable et brillent sous le soleil, se sont elles qui doublent à fond mais qui si il y a un malheureux trou sur la route n'avancent plus pour ne pas risquer d'abimer leur belle voiture. Le long de la route il y a des marchands de fruits et légumes mais aussi des magasins entier juste de jante de voiture, des stations de lavage ou l'on peut laver son auto à grande eau et des stations service qui sont gigantesque et impeccable de propreté. Visiblement la voiture prend une grande place dans la vie des albanais, étonnant car le salaire moyen est entre 230€ et 300€. Pour ce qui est de la route je vous passe les chiens, chats, poules, chèvres et autres animaux qui se trouvent eux aussi sur la voie publique.

Les routes Albanaise 

L’arrivé à Kruje ne se fait pas sans difficulté, la ville est haute et il faut grimper par des route en lacet, le Popo n'en peut plus et n'avance plus, évidemment les routes étroites et sans visibilité n'empêche en rien les autres voitures de nous doubler, du coup nous prenons notre temps. La ville s'avère être très belle, toute en pente on dirait qu'elle a été construite dans la montagne. Pour fêter nos 2 mois de voyage nous nous installons dans un super hôtel du nom le "Panorama" qui porte très bien sont nom car de la terrasse de notre chambre nous avons une vue dégagée sur l'ensemble de la ville, minaret, citadelle, maisons et montagne au loin, nous voyons tout, c'est superbe. Je précise que les prix en Albanie sont très peu élevé, on peut manger très bien (boissons dont vin, plat, dessert) pour 10€, pareil pour les hôtels qui sont quasiment à moitié prix que chez nous. Le soir nous profitons de la terrasse et entendons les chiens errants de la ville qui aboient à tue tête. L'imam du haut de son minaret appel à la prière nous n'avions pas entendu ça depuis la Bosnie.

La ville de Kruje est très agréable à visiter, en sortant de l'hôtel nous sommes directement au vieux bazar, ou s'aligne dans des échoppes des vendeurs de produits locaux, raki, chaussons en peau de mouton, tapis tressé main et autres babioles. Nous trainons un peu et montons ensuite vers le château. Ici il y a des enfants qui jouent au ballon et des moutons qui broutent l'herbe autour des ruines du château. C'est sympa de voir des monuments ou il y a de la vie autre que touristique. A coté du château il y a le musée de Skanderberg, consacré au commandant Skanderberg, qui est le héros national albanais, il a lutté contre les ottomans au XIIIe siècle Kruje est sa ville natale. Le musée est super ! Le bâtiment est très beau, avec de beau espace et des sols en parquet, on y trouve des fresques, des statues, des livres, des tableaux et des objets datant de la période ottomane

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La visite de Kruje terminé il est encore tôt nous reprenons donc la route vers Tirana, mais décidons suite au nombreux conseils que l'on a reçu de ne pas entrer dans la ville avec le camion, la conduite y est apparemment compliqué et en plus il y a des travaux. Nous nous installons dans le camping de Tirana qui est à une quinzaine de kilomètre de la ville. Trouver le camping n'a pas été une mince affaire, le GPS nous indique une route impossible pour nous car la pente est tellement raide que nous n'arriverons jamais à la monter. D'ailleurs en Albanie il est très commun de voir des pentes à 15% voir plus. Un monsieur nous voit sur le bord de la route entrain de chercher un nouvel itinéraire et nous explique qu'il va nous accompagner jusqu'au camping par un autre chemin. Super ! Le camping est tout au bout d'un long chemin de sable plein de bosse, en pleine campagne, difficile de croire que nous sommes à moins de 20 kilomètres de la capitale. C'est super mignon, juste à coté d'un étang, il y a des poules en liberté, des cultures de légumes, le camping est dans le jardin de la dame et nous ne sommes que 3 véhicules. Nous arrivons en même temps que Samuel, un français baroudeur aguérri, qui voyage seul avec un gros camion Mercedes et nous passons l'après midi avec lui à boire un coup en papotant. La visite de Tirana se fera demain. Le soir, Rita la propriétaire, nous offre un verre de raki fait par son père et son mari. C'est bon, c'est fort.

Le campement

La chaleur de la veille s'est transformé en temps orageux. . Nous prenons un taxi pour nous rendre à Tirana mais à cause de la circulation nous attendons une bonne heure et demi que celui ci arrive et nous passons le temps avec Sam qui a investit notre hamac. Effectivement ce que l'on nous a dit est véridique, c'est un vrai bazar pour entrer dans la ville, il y a des voitures dans tout les sens, ça bouchonne, évidemment ça klaxonne, mais Malvin notre chauffeur a l'habitude et il se rabat de voie en voie sans aucun problème. Il nous laisse dans le centre de Tirana, il y a des travaux sur la place principale si bien que c'est un vrai bazar pour circuler en voiture et à pied. Nous nous dirigeons vers le musée de Tirana et mettons beaucoup de temps avant de trouver l'entrée à cause des travaux, finalement le musée est assez décevant, il est très sombre, vieux et les expositions ne sont pas mise en valeur. Dommage car le musée retrace l'histoire du pays et ça aurait pu être intéressant. Nous sortons et sur la place arrivons à voir entre plusieurs échafaudage la célèbre Statue de Skanderbeg sur son cheval. Nous marchons dans la ville, les bâtiments sont vieux et datent de la période communiste. Il y a énormément de circulation, la ville est propre mais sans charme, il y a beaucoup de femmes et d'enfants qui mendient. Nous n'aimons pas plus que ça l'ambiance de la ville, trop de bruit, trop de monde, trop de travaux, nous finissons le reste de la journée dans un centre commercial pour y faire des achats estivales, en plus il commence à pleuvoir de grosses gouttes d'orage. Le centre commercial est flambant neuf et s'étend sur plusieurs étages, nous sommes samedi et pourtant il y a très peu de monde.

Le lendemain de notre visite nous sommes prêt à partir et passons un dernier moment avec Sam, il nous explique que nous n'avons pas été ou il faut dans Tirana et que le plus beau est la rue du marché ou il y a des maisons colorées, nous n'avons rien vu de tout ça. Tant pis, on peut pas réussir toutes nos visites.

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L'arrivée à Berat se fait en milieu d'après midi il fait une chaleur d'ours. Nous décidons d'aller dans un camping non loin de la ville car comme toutes les villes que nous souhaitons visiter il y a très peu de parking et l'accès est difficile. Le camping est bondé de hollandais, il reste une toute petite place pour que nous puissions y mettre le camion mais nous sommes les uns sur les autres, rien à voir avec notre petit camping intimiste et nature de Tirana. Çà sera très bien pour une nuit. Nous attrapons dans la rue une navette qui va nous emmener en centre ville. Normalement il faut prendre les bus jaunes mais n'en voyant pas nous en prenons un autre ou il y a noté Berat, nous arriverons bien à destination. La navette est une petite camionnette, le contrôle technique ne passerait jamais chez nous, les sièges sont accrochés directement à la carrosserie par de gros boulons, pas de ceintures évidemment, les boutons du tableau de bord sont manquants, à la place du siège passager il y a un pouf ou l'on peut s'assoir, le chauffeur est complètement allongé dans son siège et on peut dire que ça conduite est sport, on saute dans tous les sens. Avec nous il a 2 vieilles femmes albanaises qui nous expliquent (en albanais) que l'on va au terminal mais qu'ensuite il y a un bus qui va en ville. Nous arrivons en entier et finalement suivons les 2 femmes dans un vieux bus de ville… français. Toutes les inscriptions et autocollants sont en français mais c'est un vieux modèle de chez nous.

Nous descendons au centre historique. Pour accéder à la citadelle il faut monter, beaucoup monter, je suis restée en tong, mauvaise idée. Marin nous fait prendre un raccourci qui est un chemin pleins de mauvaises herbes, de pierres et est très pentu. Nous arrivons en haut, non sans mal, il fait toujours très chaud et nous nous installons dans un petit restaurant pour nous remettre de nos émotions. Ici pas de touriste alors que le lieu est indiqué comme l'un des lieux à visiter en Albanie. Le centre historique est classée au patrimoine mondiale de l'UNESCO. Nous marchons sur les pavés, au travers de ruelles un peu plus fraiche, la ville n'est pas comme les autres vieille villes que nous avons visiter, ici mis à part quelques restaurants et 2 ou 3 vendeurs de fruits et de vêtements fait main il n'y a pas de boutique touristique et toutes les maisons dans l'enceinte de la citadelle sont habitées. C'est agréable comme promenade, la citadelle est grande et il y a beaucoup de fleurs le long des maisons. Nous allons jusqu'à un point de vue ou nous voyons l'ensemble de la ville de Berat, tout en contrebas la vieille ville, appelé la ville au 1000 fenêtres. En partant de la citadelle on se rend compte que l'accès était payant mais notre raccourci ne nous a pas fait entrer par l'entrée principale et personne ne nous a jamais rien demandé. Le retour en camping se fait en taxi car une fois que nous avons repris le bus pour nous rendre au terminal le contrôleur du bus nous dit qu'il n'y a plus de petites navettes, la journée de travail est fini, il nous appelle donc un taxi. Au camping les Néerlandais sont tous revenu de leur ballade, il y a beaucoup de bruit, on a le sentiment d'habiter dans le camion du voisin !

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Nous quittons rapidement le camping de Berat et profitons d'un peu de fraicheur matinale pour aller au parc archéologique d'Apollonia qui se situe à 10km de la ville de Fier. La route pour s'y rendre est assez chaotique car il y a de nombreux trous mais si on y va prudemment tout se passe bien. Apollina est le plus grand parc archéologique d'Albanie, c'est une ancienne cité grecque et les recherches ont été mené par un français Léon Rey et une association archéologique française. Du coup les panneaux explicatif sont écrit en français. Sur le site un monastère entoure une église byzantine construite au XIIIeme siècle, très belle et bien conservée. La fraicheur a été de très courte durée et il fait déjà très chaud en fin de matinée. Nous avons beaucoup aimé ce site, très bien expliqué et préservé.

La journée avance nous reprenons la route, pour nous rendre vers Gjirokaster, 2 options s'offre à nous : longé la côte ou bien prendre la route à l'intérieur des terres, nous optons pour la deuxième option. Tout les voyageurs que nous avons rencontré nous on dit que la route le long de la mer était magnifique mais ils nous on aussi dit qu'il y avait des cols à traverser et beaucoup de montagne. Après étude du relief, la route par les terres est moins "risqué" pour notre Popo. Les paysages changent, les routes aussi, ça ressemble plus aux routes que nous avons connu en Bosnie (entres les montagnes), c'est très beau, très vert et un peu vallonné. Le Popo avance sans difficulté même si il y a quelques montées, de toute façon la route est déserte. Nous traversons quelques villages, à l'allure assez pauvre.

Installé à Gjirokaster nous partons retirer de l'argent et voir si il y a un parking près du château pour nous y rendre demain. Nous nous engageons dans une rue étroite et raide, nous croisons une voiture qui descend, obligé de la laissé passer et là le Popo ne veut pas monter, pas du tout, obligé de faire une marche arrière et un demi tour. La galère. Marin cogne le camion mais après examination, il n'y a rien de grave, une éraflure, rien de cassé. Passablement énervé, nous nous rendons à un distributeur automatique. J'insère ma carte de crédit et le distributeur s'arrête de fonctionner, l'écran s'est éteint, impossible de récupérer ma carte et la banque est fermée. Nous interpellons un policier non loin de là, lui expliquons la situation, il nous dit qu'il n'y a rien à faire, juste revenir demain quand se sera ouvert. Décidément ce n'est pas notre soirée. Heureusement le soir même nous mangeons dans un super restaurant, des excellents plats albanais : feuilles de vignes farcies au riz, légumes farcies, viandes de porc, salades. Excellent du coup ça va un peu mieux.

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Lendemain matin retour à la banque ou nous récupérons sans difficulté notre carte de crédit. Soulagé nous prenons la route pour Ksamil, une station balnéaire, non loin de la ville de Butrint. On s'installe dans un camping chez l'habitant, c'est charmant, il y a des fleurs partout et l'endroit est très intime. Ca sent bon le jasmin. Par contre depuis quelques temps nos amis les moustiques sont de la partie, Marin se fait dévorer et ici il y en a encore plus qu'ailleurs, on compte sur notre bougie à la citronnelle pour les faire fuir.

Nous marchons vers le centre ville de Ksamil qui est assez délabré. Il y a pleins de bâtiments en construction mais quand on y regarde de plus près on voit bien que les travaux sont abandonné et que ça tombe en pièce. Nous allons jusqu'au bord de mer, ici il y a des bars et la plage de sable est envahi de parasol et de transat, on ne peut pas s'installer juste avec sa serviette. Un peu plus loin on comprend que les plages sont des plages artificiel, le sable blanc est amené par camion pour faire de jolie plage et enlevé les cailloux. Si on regarde vers la mer c'est assez jolie mais si on se retourne le décor l'est beaucoup moins, vieux bâtiments, routes abimés, ce n'est pas ce que à quoi nous nous attendions en venant ici.

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Butrint n'est pas loin de Ksamil, quelques kilomètres. La propriétaire du camping nous dit qu'un bus va passer au bout du chemin et qu'il faudra lui faire signe, nous commençons à être habitué à prendre les bus ici. Pas de bus à l'horizon nous marchons jusqu'au centre de Ksamil et aucun bus ne passe, dans le centre des taxis mais pas de chauffeur à l'intérieur. Nous patientons un peu mais rien ne se passe. Marin repère un garage qui loue des scooters. Nous voici donc parti à Butrint en scooter, j'admets au début ne pas avoir été très rassuré car ici les 2 roues sont en mauvais état, mais le scooter que l'on nous prête même si il n'est pas neuf à l'air en bon état, on nous donne 2 casques trop grand et c'est parti.

Butrint est un site archéologique inscrit au patrimoine mondiale de l'UNESCO. La ville antique est située dans le Parc national de Butrint qui regroupe une faune et une flore très diversifié sur plus de 9 hectares. Les vestiges de la ville antique remontent jusqu'au 8ème siècle avant J.C. Le parcours est très interessant, les vestiges ont été découvert par la mission archéologique italienne et les fouilles ont durée 10ans. On peut y voir entre autre les vestiges d'un temple du 4ème siècle avant J.C, le théâtre datant du 3ème siècle avant J.C et le château vénitienne du 14ème siècle. Le site est très agréable, on se ballade à l'ombre des arbres sur des petits chemins.

Nous profitons d'avoir un moyen de locomotion pour nous rendre dans la grande ville de Sarande, c'est la station balnéaire albanaise. C'est une grosse ville avec des blocs d'immeubles en front de mer, il a des plages de sable et des transats sur toute la plage. Ce n'est pas très jolie mais il fait beau et chaud on se promène le long de la mer.

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- Sur toutes les maisons il y a des réservoirs d'eau. C'est pour l'eau chaude, elle chauffe ainsi avec le soleil et parfois il y a des panneaux solaire installé dessus.

- Il n'y a pas de tout à l'égout et dans certaine ville les eaux usés vont directement dans la mer, c'est le cas de Sarande par exemple.

- Le réseau électrique est instable, il est courant qu'il y a ai des coupures électriques même en ville. Dans les camping même en ayant pris l'électricité il est arrivé que notre frigo ne fonctionne pas car pas assez de puissance électrique.

- Sur certaines maisons il y a un nounours accroché au balcon ou à la porte, il chasse ainsi le mauvais œil. Il y a aussi des cornes de bélier et des fers à cheval.

- Les familles vivent toute ensemble sur des maisons à 3 étages, les petits enfant, les enfants et les grand parent. Le troisième étage est généralement pas terminé juste des parpaings et le toit des maisons est plat et sert à étendre le linge ou même à repasser.

- Les petites mamies albanaise sont couramment vêtue de noir un peu comme nos arrière grand mère.

- Les prix sont très souvent affiché en euro.

- Il y a beaucoup de policier le long de la route, c'est le pays ou nous en avons vu le plus, mais ils ne verbalisent pas les mauvais conducteurs ni ne les dissuadent, on sait pas trop ce qu'ils font du coup.

- La nourriture est très peu cher, nous avons mangé pratiquement tout le temps au restaurant.

- Les jardins des maisons sont très bien entretenu et fleurie

- Dans tout les campings que nous avons fait nous avons eu un petit cadeaux des propriétaires : un ice coffee, des fleurs, du raki.

L'Albanie nous a complètement dépaysé, par ses routes et sa culture. Comme en Bosnie les gens sont accueillant et bienveillant, toujours près à nous aider. Les Albanais sont heureux de voir que des touristes viennent visiter leur pays.

L'Albanie c'est la montagne, la mer, un peu l'Orient, un peu l'Italie et des restes de bloc communiste parfois. Puis l'Albanie c'est aussi un budget raisonnable et très peu de touriste. Nous sommes content d'y avoir été, c'est un pays méconnu, que les touristes, tout comme le Monténégro traversent pour se rendre en Grèce. Et ce n'est pas un pays dangereux contrairement à ce que nous avons pu entendre. L'Albanie a tout pour être un pays qui plait au touriste, il faudrait pour cela une aide de l'état pour mettre le pays un peu plus en valeur.