Voyage programmé en 2020 pour être réalisé en 2022 : Huahine, Bora, Tikehau, Moorea...
Mai 2022
2 semaines
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Départ de Toulouse pour rejoindre Paris, puis Paris à LOS ANGELES, escale ricaine, arrivée Papeete et décollage pour Huahine.

Papeete ? on a vu que l'aéroport puisqu'on avait un vol interne pour l'île de Huahine avec Air Tahiti, des petits oiseaux rouges et blancs, couleurs officielles de la PF. L'ambiance locale débute maintenant, au café bar, la vendeuse/barman te tutoie d'emblée. Ah oui, j'avais lu : tutoiement de rigueur en général. C'est parti !! A l'enregistrement aussi, çà tutoie, çà sourie, çà se marre à gorge déployée. les agents de surêté nous chambrent. Oui, je confirme : on est bien en PF ! 😀

les gens sont bien couverts et ils doivent avoir chaud, peut-être pas la demoiselle de droite 😉
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Il y a plusieurs options pour visiter un endroit, faire des excursions encadrées ou semi-encadrées, faire des auto-excursions. çà a été notre choix durant ce séjour et je vous expliquerai mes raisons au fur et à mesure...

A peine arrivés, on prend possession de notre bungalow, super bien accueillis, bien logés, tous les matins, petit déj avec des fruits différents, c'était super. On est peu nombreux et en plus les autres touristes sont sympas, c'est top ! et toujours les sourires, les rires explosifs

Rien de particulier ce premier jour : de la glandouille sur la plage, le sable est rose, les coups de soleil rouge (même avec le phytotruc et l'indice 50+), la mer est bleue avec des dégradés. Le pied : on est dans l'eau, on se régale.

 on voit bien la femme polynésienne de profil à droite et ma bibiche qui flotte au centre à gauche
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On prend des vélos, les vélos sont polynésiens eux aussi, c'est à dire qu'ils n'ont pas de freins. Il faut rétropédaler et bloquer avec la pédale, çà freine doucement... A Huahine, il y a deux passages en côte assez délicats, on va le constater, oui, parce que "pas de freins" "pas de vitesses". On décide de faire un demi tour de l'île, c'est à dire le côté haut. De fait, très vite, tu poses pied à terre en montée, oui, c'est une montée, pas un petit raidillon.. par contre, je flippe en descente, donc ce sera à pied en retenant le vélo sur le bas côté dans l'herbe.

Et là, tu dis, pourquoi prendre un vélo ? Pour voir ce qu'on ne peut pas voir ni en scooter, ni en bagnole, parler avec des gens, oui, parce que là bas, le premier mot que tu apprends c'est bonjour : Io ranaaaaa en montant dans les aigus

 et attaque de moustique en règle

Retour baignade et coucher de soleil, je mange mon premier poisson cru au lait de coco, le début d'une longue série En général, tu vas manger en roulotte, ce sont nos "food trucks", un peu moins chers qu'en resto, ne servent pas d'alcool. Tu manges à la bonne franquette avec les locaux, on a adoré !

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et encore du vélo, en fait, on voulait prendre un scooter, mais y'en a plus de dispo nulle part. Donc, on reprend les mêmes, on commence à s'habituer. Là cette fois, on part de l'autre côté de l'île, un local s'est arrêté et nous a conseillé de prendre ce chemin car l'autre serait assez hard. On écoute le local (bien heureusement pour les mollets). Je suis de plus en plus habituée aux vélos, et je descends comme jamais sans tomber... Et il fait vraiment mais vraiment chaud, on est poite. On est habitués à la chaleur à Toulouse, je vous dis pas les nordistes comment ils prennent cher.

On voit une échoppe de monoï, on se dit qu'on reviendra demain, un type nous dit que demain, il y aura quelqu'un pour la vente. bon. On est allés voir les pierres sacrées, les anguilles sacrées avec des yeux bleus, et visiter la ferme perlière de Huahine. Endroit magique au milieu du lagon. Un type nous emmène en bateau taxi, tu paies ce que tu veux. Vive la fête des mères (en pendentif !)

De retour vers la pension, je remarque un endroit sauvage et inoccupé, on se pose. Il y a plein de corail, mauve et rose (d'où le sable) mais beaucoup de mort aussi. les poissons sont de toutes les couleurs, orange, en fait on a l'impression de nager dans les aquariums de chez Truffaut...

Ah oui, il y a beaucoup qui filment ou photographient dans l'eau, j'ai longtemps hésité et j'ai préféré ne pas utiliser pour solliciter davantage ma mémoire 😉 et puis, je n'ai pas envie d'afficher, plutôt partager comme ici...

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On va arriver à louer ce scooter ou non ? et bah, toujours pas, on se rabat sur une voiture, car là en vélo, çà va pas être possible ou alors électrique... bon, on reste sur la voiture, il faut qu'on rentre pas trop tard, on décolle pour Bora en fin de journée.

Des fois, c'est comme çà, le destin est avec toi, en fin de parcours une averse monumentale (le genre tropical qui rince tout).

Après avoir acheté le monoï, on visite la boutique artisanale de fabrication des paréos. On achète et si on avait su, on aurait acheté tous nos paréos là-bas. Moins chers, super beaux, on aura du mal à en acheter après. Vous êtes prévenus.

Petite crique, plage, poissons et bernard l'hermite : le rêve. personne en vue, pas encore vu de pointes noires...

Retour à la pension, arrivée aéroport, bière en attendant le vol, en fait, ce sont eux qui nous ont attendus, sont venus nous chercher en terrasse. La décompression est en route.

Décollage dans le bus volant, arrivée Bora au crépuscule. La navette gratuite est un catamaran, arrivée à l'hôtel, très grand et très loin de notre pension. Ce sera le logement le plus "luxueux", Bora s'y prête.

 on a pas pu finir nos bières :/
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Un bilan : cette île est authentique, nature et sauvage. Les locaux sont on ne peut plus accueillants. En revanche, un plan de stérilisation des chiens et aussi des chats est primordial. Il y a beaucoup de chiens errants, outre les incidents qui peuvent arriver et l'image que cela renvoie, c'est la misère et la pauvreté sur pattes. J'espère que le programme en cours pour la stérilisation va émerger rapidement et sortir des méandres juridiques.

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Bateau ! Ca change du vélo. Après quelques explications, c'est parti à deux sur un petit bateau à moteur sans permis. Alex est au taquet, un vrai capitaine. C'est parti pour un début de croisière en direction du lagon, des couleurs de bleu infinies. Il y a du monde au jardin de corail, entendez par là, déjà 3 bateaux remplis de touristes qui feront un plouf d'un quart d'heure/une demie heure, pas plus. C'est une des raisons pour lesquelles nous avons banni les excursions : ras le bol d'être chronométré.

Bref, on gaze vers nulle part en fait et on voit un petit bateau, un seul mec dedans. Je me prépare à plonger (MPT) et il nous indique un "banc" de raies pastenagues. Et oui, effectivement, à peu près une dizaine de mètres, on voit ces raies magnifiques se décaler pour aller vers le large. Et après, plein de poissons, des poissons et des poissons...

On part naviguer vers un autre point, il y a des nuances de bleus incroyables difficiles à capter

 en fonction de la lumière, il n'y a pas les mêmes bleus

On fait demi tour et on repart vers le jardin corail, toujours du monde, bon, tant pis, on y va. Il y a du courant, donc c'est pas simple et du monde... Je me décale, Alex est un peu plus loin et là, je vois un couple de raies arriver, toujours des pastenagues, elles évoluent de manière majestueuse et s'en vont. A Bora comme un peu partout, il y a des excursions où le nourrissage des raies est usuel pour les attirer. Nous n'avions pas envie de çà d'autant que çà peut être super dangereux. les pointes noires sont attirés et ce n'est pas normal de nourrir un animal sauvage. Bref, réfléchissez-y avant de convoler pour ce type de prestation.

Les raies sont timides et après avoir vogué au fond de l'eau, elles partent et je peux m'attarder sur l'autre spectacle : des poissons bleus, des allongés, des oranges, des zébrés, je sais pas les noms. Alex m'achètera un guide vers la fin du séjour que j'oublierai systématiquement d'ailleurs lors de plongées ultérieures.

Le soir, diner au resto de l'hôtel : danse tahitienne, ambiance ukulélé. En fait, tout est nickel dans ces hôtels, par contre, les clients ne se saluent pas, sautent sur les buffets le matin au petit déj etc. Et pas plus les américains que d'autres franchouillards d'ailleurs, c'est un peu consternant.

 la piscine et la plage de l'hôtel, les musiciens

Une chose importante : je n'ai pas photographié de gens que l'on pourrait reconnaitre et comme je ne sais pas dessiner, bah, les images je les garde pour moi, désolée !

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Le vélo nous manquait déjà, toujours les mêmes mais en rouge. Il a fallu payer, y'a pas grand chose de gratuit à Bora... C'est parti pour le tour de l'île, soit environ 30 bornes, du plat sauf une petite côte de rien du tout.

Beaucoup de locaux en vélo (qui saluent), des touristes en quad, en scooter et en bagnole. On se sent seuls à vélo ! Sur la route, on fait une halte pour aller au mont Popoti, la vue du haut est magique. Ah oui, je confirme mais çà se mérite, quelle ascension, on croise deux types qui s'entrainent pour un trail et un mec qui descend avec des bambous.

On n'ira pas jusqu'en haut car manque d'énergie, il fait chaud, mais la vue est déjà magnifique sur le lagon.

 de chaque côté, la vue est splendide

Le tour de l'île est vraiment très sympa à faire et pas difficile. En revanche, on peut regretter le peu d'indications des sites à voir, des débuts de randonnée etc. A croire qu'à part le lagon et les hôtels, les autres endroits sont peu ou pas fréquentés.

Retour pour un plouf salvateur et au bout du ponton, des poissons colorés et magnifiques.

Le soir, sortie à l'Intercontinental boire un verre et manger poisson cru...

les micro ondes servent de boite aux lettres ! 
 bar, ponton avec arc en ciel, coco et bière
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Pour cette dernière matinée, un peu de glandouille sur la plage s'impose avant de reprendre la navette et l'avion.

De Bora, nous avons été enchantés par le lagon, les couleurs et la lumière. Très touriste cependant, elle ne laisse que peu de place à l'intimité et à la convivialité.

Départ de Bora, halte à Rangiroa et on arrive à Tikehau. Accueil superbe, collier de fleurs, trajet en truck puis en bateau navette

On arrive sur le motu, et là, je vois deux pointes noires dans la passe. Notre logeuse m'expliquera qu'il y a une colonie, qu'ils sont inoffensifs. C'est la première vue magique.

La seconde est l'arrivée sur le motu, on est dans un bungalow au bout de la plage sur pilotis. c'est grand et ce qui va nous surprendre est le système d'aération : des aérations tout en haut du bungalow, et les fenêtres, moustiquaires, une douche gigantesque, un endroit superbe et magnifique.

Bref, on passe l'après-midi dans l'eau avec masque : des balistes, des chirurgiens (avec des bleus magnifiques), et puis, au moment où tu ne t'y attends pas, un pointe noire qui est venu voir ce qui se passe. Il y a plein de bernard l'hermite, on est seuls sur les transats et dans l'eau. Le rêve de Robinson Crusoé.

La demi pension étant prévue, on dine avec deux ou trois autres couples, un groupe de 4. Les mecs sont lourds, à peine finis, on se barre rejoindre le clapotis et nos lézards jaunes. Il n'y a plus de bière...

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Alex est parti faire du kayak, je suis partie explorer au ponton des pointes noires. En fait, le soir, ils chassent en groupe, y'en a 8/10 environ ; alors que le matin, ils sont moins nombreux et plus petits aussi. Je plonge. Ils sont timides et m'observent à distance (environ 2 à 3 mètres). Il y a plein d'autres poissons mais les pointes noires ont gagné mon coeur...

Et je suis allée voir les piscines proches de la barrière, l'eau est chaude, et pas loin, les rouleaux et les vagues qu'on entend gronder le soir. Alex a vu plein de choses aussi, des poissons, des couleurs et il n'y a personne, c'est vraiment la sensation de l'île déserte.

On s'est laissé portés par le sable rose, les passes à franchir, les coraux magnifiques, les coquillages, toujours des bernard..

Plongée, plouf, transat et glandouille ; transat, plouf, glandouille, plongée. Dans le désordre et dans tous les ordres

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j'ai emmené Alex nager avec les pointes noires, et là, un poisson pilote m'a pris en charge en se plaçant le long de mon tibia. Au début, il me suçotait les jambes, pas très agréable et puis il s'est collé avec son dos ventouse. Très curieux comme animal de compagnie 😀. J'ai eu du mal à m'en débarrasser, il a fallu que je sorte de l'eau en fait.

Alex m'emmène en kayak, en biplace pour aller un peu plus loin, on se fait des haltes pour admirer les sables roses, les bernards, et là les mélanges de rose et de bleu avec leurs dégradés sont fabuleux. On a du mal à trouver des nuances aussi proches, même sur les paréos.

De retour, on fait des ploufs, du transat et tout çà dans l'ordre que vous voulez....Plein de poissons mais pas de pointes noires. Et d'un coup, au loin, le ciel s'assombrit, un orage rapplique, il tombe une de ces averses, on a juste le temps de sortir de l'eau et de se planquer.

Il y aura encore de la pluie la nuit...

 Après ce tumulte, le ciel est comme délavé
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Tikehau a été le royaume de la glandouille et de la décompression. Je n'ai pas compris les commentaires pas toujours très sympas sur la pension relais Tikehau, pour notre part, nous les avons trouvé tous très gentils et attentionnés.

Dernière matinée avant de reprendre l'avion. Il y a du courant ce matin, difficile d'aller dans la passe, çà doit être en rapport avec l'orage et les pluies d'hier. Donc, on se baigne proche de notre bungalow et on se prépare pour notre dernière destination.

Décollage et dernier vol avec un bus rouge et blanc et vue sur l'atoll

Là, c'est la passe où il y avait les pointes noires... mes copains de 4 jours 
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Avant d'arriver à Moorea, il faut déjà revenir à Papeete, transfert au ferry. On en a pour 20 minutes environ.

On a loué une bagnole pour la totalité du séjour, la pension est excentrée et très grande. On avait hésité avec un scooter mais franchement la bagnole est un bon choix, sécurisant. Moorea est très jolie, mais bourgeoise, c'est la soeur huppée de Tahiti, une route circulaire toute plate avec des demeures bien cachées derrière des murs, parfois des barbelés, des digicodes. Ca fait bizarre en fait. Mais les gens sont toujours aussi sympas 😀

A Moorea, on s'est fait un festival de bouffe : des restos, recommandés par ci par là et toujours un très bon moment gustatif et relationnel

Top hébergement, vue magnifique surtout le matin pour les petits déj

Il y a deux pointes noires au bout du ponton ainsi qu'un requin dormeur, de très belle taille, j'ose pas y aller, il y a une fosse marine de 15 mètres qui me fait un peu flipper...

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Allez zou, en KWIND (modèle de Renault), on se balade et on fait le tour de l'île, on repère quelques boutiques de souvenir, çà pue le retour quand tes yeux sont attirés par les "souvenirs". C'est à ce moment que débute le syndrome du paréo. Je t'avais dit qu'à Huahine, on avait trouvé des paréos extra, et donc, là, je veux trouver les mêmes mais le soucis c'est le prix qui a doublé dis donc... Et mon côté radin ressort, décidément, çà pue le retour !!

On part en randonnée, on choisit un itinéraire au Belvédère, le rouge a l'air bien, 3H30 en boucle. C'est assez juste mais on s'est un peu perdus surtout vers la fin à la sortie des champs d'ananas. Cette rando est superbe et permet de découvrir les rites anciens, la nature et une vue imprenable sur les 2 baies. C'est magnifique et avec un coq en prime !

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Le matin, on décide d'une balade en kayak, mais chacun le sien. La femme de ménage nous dit qu'il y a des dauphins et qu'on peut les voir mais en place de dauphins, on a vu une tortue !! On a bien fait, le lendemain, trop de houle pour faire quoi que ce soit. Le lagon est magnifique, on aperçoit des murènes, assez caractéristiques tant sur leur longueur que sur leur déplacement. Pas de photo j'ai pas de truc waterproof, mais je les ai là, entre mes yeux 😉

De retour sur terre, je réserve un atelier au village Tiki (voir J4 Moorea), c'est du teasing, çà madame...

En bagnole, hop ! on va à la plage à côté du Sofitel, le Temae, avec un jardin de corail, qui est fabuleux... Cette plage est sublime. Donc, pour résumer, tu mets tes palmes, tu dérives au dessus du jardin, et tu arrives sur la plage à la limite du Sofitel. Et hop, on recommence. A chaque passage, des poissons différents : c'est un peu cliché, mais j'ai vu un poisson clown dans une anémone, c'est Némo quoi... Par contre, sans palmes, ce qui est mon cas, c'est sportif car le courant est fort et le corail aiguisé. Donc, vigilance 😉

On change de sport et on va à la baie Opunohu, magnifique coucher de soleil, la plage est plus authentique et populaire aussi. Elle nous plait. Un type nous coupe des cocos et on s'abreuve, comme çà, pour le plaisir d'offrir. Oui, un goût de paradis

 "L'intrus", c'est la plage de Temae en haut à droite 
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Encore de la houle ce matin, pas de kayak, ni de plongée. On décide d'aller voir les Coral Gardeners. on est super bien accueillis, on nous explique comment le corail se régénère, leurs actions. On adopte un corail, qu'on nomme "bibiche" forcément... On aura des photos, des nouvelles de son grossissement etc. Au lieu de faire une excursion de nourrissage, allez voir les CG et participez à une bonne action.

Un bout de plage à la baie Opunohu et je vais au village Tiki. j'ai réservé un atelier tressage, je vais aussi participer à l'atelier cuisine (poisson cru coco) et regarder faire un couple de jeunes américains qui viennent d'Utah. Très sympas.

 Four polynésien à l'occasion d'une cérémonie de mariage
je suis devenue une pro du tressage coco 
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Il faut faire les tests, au cas où on serait covid et qu'on resterait en quarantaine 😀

Nan, négatif ! Allez on profite de notre dernière journée : plage du Temae cette fois et dernière plongée : un diodon, oui, tu sais, le poisson qui gonfle là... Attention danger ! Alex m'a acheté une bible avec tous les poissons mais à chaque fois que je vais dans l'eau, je l'oublie. Ca m'a permis de mettre un nom sur beaucoup de poissons vus et revus.

Une dernière trempette plus tard, on quitte Moorea avec un autre ferry, les poissons volants nous accompagnent et s'enfuient à l'approche du bateau, nous arrivons à Tahiti. le relais pension est un havre de paix et de fraicheur, très sympa

 le visage en haut de la montagne à droite 

j'allais oublier un truc important : on a fait une petite rando pour aller voir des cascades, je tiens à signaler à la vigilance quand on part en "brousse", car oui, c'est la "brousse" : peu de balisage, peu de repères, des accès parfois difficiles, des bébètes en tous genres. Pendant notre séjour, un américain est décédé en montagne. Il y a un réseau de guides qui offrent leurs services, à bon entendeur !

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C'est une très belle destination, c'était notre rêve, il a été plus que largement exaucé, c'était merveilleux.

 bora, le tiki de l'aéroport de Faa, les poissons en affiche et la "brousse"