Premier voyage à l´étranger depuis le Covid19
Août 2020
10 jours
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26
août

Premier vol depuis le confinement dû au Covid19. Destination les Cyclades en Grèce. 2h45 pour rejoindre Mykonos.

Quelques vues aériennes et la descente sur Mykonos  

Rapide balade dans les ruelles blanches et éclatantes de Chora la ville principale de Mykonos. Le vent souffle très fort et est assez désagréable. Bus pour rallier le nouveau port où j’embarque sur un ferry pour l’île de Syros.

Le ferry pour Syros 

Le bateau fait d’abord escale à Tinos où j’irai dans trois jours. La traversée est très ventée mais pas trop houleuse. Le trajet n’est pas très long et permet d’observer la topographie des trois îles. Sans être montagneuses elles sont bien vallonnées, les côtes plates sont juste en lisière du littoral.

Chora, Tinos et Ermoupolis 

Débarquement à Ermoúpoli la capitale régionale. La ville est bâtie à flanc de colline. Je prends un bus pour Galissa à 7 kilomètres sur la côte ouest. Je trouve sans difficulté un logement avec terrasse face à la plage. L’endroit est tranquille et charmant. La plage de sable est située au fond d’une profonde baie. Sur la gauche sur un promontoire est perchée la pittoresque chapelle Saint Pakos aux murs blancs. Vue panoramique spectaculaire. En contrebas une crique abritée et ensoleillée avec une plage de galets. Il n’y a pas de vent l’eau est transparente et tiède. Un vrai régal pour bien débuter le voyage. Splendide coucher de soleil sur la mer Égée.

La jolie chapelle et la plage de Galissa 
Un chat et le soleil déclinant  
27
août

Aujourd’hui location d’un scooter pour explorer Syros. Je quitte Galissa avant 09 heures. Mon objectif est dans le nord montagneux de l’île. Je m’arrête rapidement à Ermoúpoli le temps d’avaler une viennoiserie. Le long de la route jolies vues sur Ano Syros ville qui domine la capitale. Tout est construit sur une colline les églises semblent en équilibre. La route grimpe et serpente. Vue plongeante spectaculaire sur le littoral et au-delà d’autres îles. Nombreux champs cultivés en terrasse.

Sur la route entre Ermoupoli et Kambos 

J’atteins le hameau de Kambos où la route s’arrête et laisse place à un chemin. Ici Syros septentrionale est sauvage et déserte. La végétation est rare, les buissons épineux s’immiscent au milieu des pierres. Le ciel est d’un bleu puissant comme la mer. A l’horizon d’autres îles des Cyclades : Tinos, Gyaros, Andros ou Mykonos. Début de la randonnée vers le cap Diapori.

Itinéraire et fléchage  

Direction le nord ouest en suivant d’étroits sentiers qui surplombent la mer Égée. Le terrain est assez dénivelé, les montées et les descentes se succèdent. En contrebas quelques criques avec des plages aux eaux cristallines. Les paysages arides et sauvages sont sublimes. Dans les pierriers quelques chèvres gambadent.

Paysages splendides et sauvages le long du sentier  

Il me faut un peu plus d’une heure pour approcher le cap. La descente vers la plage est raide mais pas trop dangereuse. Du sable sur lequel poser la serviette sur cette étendue déserte. Nager et lire en alternance.

Première plage du jour  

Je repars le long de la côte sur un chemin moins élevé qu’à l’aller. Je surplombe une première plage avant d’arriver dans la baie de Grammata où mouillent deux bateaux. Sur le sable une vingtaine de personnes. Je poursuis et reprends la montée. Les pins du coin donnent une tache de verdure ponctuelle. L’odeur enivrante de romarin est omniprésente sur le sentier. J’ai peu d’eau la montée sous le soleil est éprouvante. En arrivant au scooter je dévore quelques grains de raisin cueilli sur un pied de vigne. Revigoré j’entreprends la descente vers la plage de Lia. Le retour est difficile sans eau je salive à l’avance à l’idée du raisin.

 Retour vers Kambos et plage de Lia 

Je reprends le scooter direction Ermoupoli (acheter de l’eau et manger une glace) avec arrêt à Ano Syros. Ruelles et venelles blanches et bleues et partout un nombre impressionnant de marches. L’église saint Georges domine le paysage. En bas c’est Ermoupoli avec ses bâtiments et son port.

Vues d’Ano Syros et en bas Ermoupoli  

Pour rentrer à Galissa je prends la route par le sud qui suit le littoral. C’est moins beau et sauvage que le nord. Quelques stations balnéaires attirent un peu de monde. Je suis bien à Galissa. Vers 18h15 je retourne sur la plage Armeos discrète nichée dans la baie. Nouvelle baignade avant le magnifique coucher de soleil observé depuis le promontoire de la chapelle. Fin de journée bien remplie avec environ 17 kilomètres de marche au compteur. J’ai mérité mon dîner grec.

Le soleil se couche somptueusement sur la mer  
28
août

Aujourd’hui pas de scooter, je me déplace à pied. Départ vers 10h00 cap au sud. J’emprunte la petite route qui va vers St Stephanos. Cela grimpe fort sous un soleil resplendissant; il faut suivre la direction de l’antenne hertzienne. Vue magnifique sur la baie de Galissa.

En chemin vue sur la baie de Galissa  

Je ne suis pas la bifurcation qui descend vers l’église dont on ne devine pas où elle se cache et je continue sur un chemin orienté vers le sud. La route dessert des propriétés privées avec des villas en construction. Vue imprenable sur l’immensité bleue. Je fais fi du panneau et m’immisce sur un sentier au milieu de la garrigue. Le panorama est magnifique, je poursuis la montée. J’arrive près d’une maison et continue à grimper entre les buissons. La pointe méridionale de Syros s’offre à mon regard. La baie profonde et les îlots disséminés dans les eaux d’un bleu intense.

Le sud de Syros  

Piqûres, griffures et égratignures sur les jambes et les mollets. Le chemin est difficile et pas toujours tracé. Parfois j’ai juste cinquante mètres infranchissables au milieu de l’agressive végétation basse. Je rejoins le sentier qui descend vers St Stephanos. En fait la petite chapelle est sise dans une grotte. Des marches pentues le long d’un mur de pierres servant de parapet y conduisent.

Voie d’accès à St Stephanos  

L’endroit est désert seul le bruit des vagues rompt le calme et la sérénité. Le cadre est très pittoresque. C’est typiquement grec.

La croquignolette chapelle St Stephanos  

En remontant avant de regagner la route je m’engage dans un ravin qui descend vers la mer. Assez vertigineux et vue épatante.

Descente abrupte  

Début d’après-midi dans la chambre pour échapper à l’accablante chaleur. Après 16h00 courte balade sur un sentier le long du côté nord de la baie. J’aperçois la plage d’Armeos où je vais me prélasser et finir la journée. J’admire le coucher de soleil, toujours sublime plus spectaculaire qu’hier depuis la terrasse de ma chambre.

Galissa : la plage et la baie  
29
août

Dès le réveil je file à la plage de Galissa. Plaisir de nager de bonne heure dans cette baie magnifique et de profiter d’un transat sur le sable. C’est ma seule baignade de la journée. Je prends le bus pour Ermoupoli puis le ferry pour Tinos. La terrasse de ma chambre est encore mieux que la précédente. Au troisième étage je domine les toits de la ville.

Terrasse et vue soleil couchant  

Après m’être restauré je pars pour une balade dans les environs. Ce seront 17 kilomètres et cinq heures de promenade sur des chemins muletiers. Les sentiers s’élèvent au-dessus de Tinos épousant la topographie des lieux. Au point culminant j’atteins approximativement 450 mètres d’altitude. Au fur et à mesure de la montée Mykonos et Delos s’affirment à l’horizon. Des églises, des moulins, des chapelles et des tours en ruines ponctuent le paysage. Par endroits le chemin est délicat, les ronces et les épines désagréables.


Paysages traversés lors de la montée vers Ardanos  

J’arrive à Ardanos petit village adorable. Tout blanc et lumineux. Des ruelles, des arcades, des passages couverts et plein d’escaliers : un véritable dédale. C’est très pittoresque, des chats se prélassent indifférents à ma présence. L’endroit est calme je ne croise âme qui vive.

Ardanos et des chats 

Je décide de poursuivre vers deux autres villages assez proches : Triantaros et Dyo Choria. Même style qu’Ardanos, même beauté en bleu et blanc. La construction de tous ces labyrinthes de venelles est fascinante. En repassant par Ardanos je me sustente d’un coca bien frais.

Triantaros et Dyo Choria avec au fond la mer Égée 

Le monastère Kechrovouni n’est pas accessible en raison du covid je ne peux que voir de l’extérieur la longue façade et les clochers. Je poursuis mon chemin vers Mountados un autre village superbe.

Imposant monastère où vivent des nonnes et l’église de Mountados  

À partir de là c’est la longue descente pour regagner Tinos. Joli chemin ponctué de ruines et de chapelles bicolores. Le blanc et le bleu, couleurs du drapeau grec sont partout omniprésents. Excellente randonnée qui donne un premier aperçu des magnifiques villages de l’île de Tinos.

Multiples chapelles et paysages de terrasses 
30
août

82 kilomètres en scooter pour parcourir les magnifiques routes de Tinos en allant vers le nord de l’île. Direction le village de marbre blanc de Pyrgos.

Moyen de transport du jour  
Village de Pyrgos et deux chats 

Après une balade dans ce séduisant lieu, début d’une boucle pédestre de 11 kilomètres. Belle randonnée sur des sentiers sauvages et désertiques. Les chèvres, les moutons et les lézards sont mes compagnons de marche. Dénivelé en descente puis en montée pour rejoindre le monastère Kira Xenis. Avant d’y arriver une petite chapelle bien entendu blanche et bleue.

Vers le monastère clos des chèvres surveillent 

Je continue l’ascension vers Marlas mais à la bifurcation je ne résiste pas à tourner à droite vers une église perchée sur un promontoire qui surplombe à 360 degrés le nord de Tinos. Elle est à moins d’un kilomètre. Vues fabuleuses sur Andros, Syros et la baie de Panormou.

Église d’Elias et vues ébouriffantes 

De Marlas à Pyrgos le sentier passe par un vieux village en ruines, une carrière inexploitée. Le chemin est splendide et assez facile, légèrement ombragé par les murs de pierres et quelques oliviers et figuiers. A l’horizon des villages blancs étincellent, nombreux par rapport à la taille de l’île.

Sentier pédestre et ruines 

De retour au village je chevauche le scooter et descend vers la mer. Je traverse Panourmos et continue jusqu’à la fin de la route à Rochari. Plage et baignade. Étape suivante la plage de Kolimbithra à l’est sur le littoral septentrional. La route est belle et en excellent état avec de nombreux virages. Les points de vue sont époustouflants, sur la mer, sur les montagnes et les dizaines de villages surprenants. Une grande plaine verdoyante et inattendue au milieu de cet environnement minéral, aride et sec.

Les plages et les panoramas sauvages  
Champ de sculptures en bord de mer  

À nouveau de superbes perspectives en rentrant sur Tinos. Chaque village semble unique et tellement semblable aux autres. En ville la cathédrale de la vierge domine la rue qui monte du port de plaisance. Sur le bas-côté une sorte de moquette sur laquelle progressent à genoux les pénitentes qui vont prier après une montée d’expiation. Dans les rues piétonnes de nombreuses boutiques vendent des cierges, des ex-voto et des icônes pieuses. Les plages à l’est de la ville sont peu séduisantes et assez fréquentées.

31
août

Aujourd’hui une petite quarantaine de kilomètres en scooter et quasiment vingt à pied pour une splendide randonnée donnant accès à une plage de galets sauvage. Ce matin le vent souffle fort avec de bonnes bourrasques qu’il faut anticiper. La conduite demande vigilance et attention. Première escale dans le joli village de Falatados situé en moyenne altitude. Maisons blanches reliées par des ruelles et des passages couverts. L’église avec ses deux clochers et son dôme bleus est imposante.

Aperçu de Falatados  

Je reprends le scooter jusqu’à Myrsini où débute la randonnée pour la plage de Livada. Descente quasi continue pendant les cinq kilomètres pour atteindre le niveau de la mer. Les paysages sont superbes et variés. La mer au loin semble étrangement proche mais il faut suivre le sentier et avaler les innombrables marches. Le long du trajet quelques chapelles, de vieux pigeonniers abandonnés. Le coin est verdoyant, le chemin traverse des chênaies. Sur les collines autour, le paysage est ponctué de gros blocs de pierres, impressionnants monolithes. Des chèvres pas farouches croisent ma trajectoire. La vallée est sillonnée par une rivière qui forme des vasques naturelles où nagent des tortues. La mer approche mais la plage ne se devine qu’au dernier moment.

Plan et descente vers Livada  

Je m’installe dans une crique solitaire. La mer est agitée, il serait dangereux de nager avec les vagues et le courant. Je me baigne néanmoins et je lis en bronzant.

Plage de Livada 

Vers 12h30 je me rhabille et commence une courte randonnée vers le phare de Livada situé à 1,5 kilomètre. Balade au dessus de la falaise au milieu des rochers et des épineux sauvages. Le phare abandonné est juché sur un promontoire exposé à tous les vents. C’est le point le plus oriental de Tinos. Au large à quelques encablures on aperçoit Mykonos perdu dans la brume de chaleur.

Phare de Livada 

Retour sur la plage de Livada jusqu’à 14h45 puis chemin du retour. Heureusement je me ravitaille en raisins sur une vigne accessible. Longue montée jusqu’à Myrsini où j’apprécie le coca désaltérant. Avant de rentrer à Tinos je fais un crochet par Santa Margarita, sa chapelle sise au dessus des flots et sa ravissante plage de sable fin face à Mykonos. La route d’accès est vertigineuse avec la sensation de foncer vers la mer. Au retour les panoramas vus dans le rétroviseur du scooter sont bluffants.

Santa Margarita et sa plage  
1
sept

En fin de matinée je quitte Tinos pour Mykonos dernière étape du voyage. Je rejoins le vieux port et le centre de Chora en bateau. Je trouve une chambre à un prix raisonnable. Giros au poulet et puis bus pour la plage de Paradise. J’y suis déjà venu lors de mes deux précédents séjours sur l’île. Cela a changé et pas spécialement en bien de mon point de vue. Développement extrême des transats et des parasols. Sur la plage le sable est privatisé par les bars et les restaurants. A l’opposé des plages que j’affectionne même s’il faut reconnaître la beauté du cadre. Je ne m’installe pas je pars sur le sentier vers l’ouest. J’aperçois Paranga cela ne me donne pas plus envie de m’y poser. Demi-tour bien que les collines soient urbanisées et qu’il ne semble pas y avoir de chemin je vais à l’opposé vers Super Paradise. Pour y accéder je grimpe des murets et une fois bloqué je pénètre dans une luxueuse villa en construction pour rejoindre la route. Descente vers la plage, pour fouler le sable je dois traverser un bar club très chic. Malgré tout je m’installe pour trois heures de délicieux farniente sous le soleil éclatant.

Vue sur les plages du jour  

Les souvenirs de Super Paradise sont également fort éloignés de la réalité. Souvent il faudrait mieux ne pas retourner dans des lieux qui nous ont séduits et qui ne restent pas tels que l’imagination se les remémore. J’en ai déjà fait plusieurs fois l’expérience. Demain j’arpenterai Mykonos pour trouver des lieux moins festifs et plus sauvages.

Retour en ville où je me pose au pied d’une chapelle pour assister au coucher de soleil.

Coucher de soleil depuis Mykonos 

Le centre dédalique de Chora avec ses multiples chapelles, les boutiques, les restaurants et les galeries d’art est très sympathique et pittoresque.

2
sept

Mykonos est le temple de la fête et du bling bling, la ville s’anime le soir venu aux terrasses des bars, la musique résonne dans les ruelles. De bonne heure le matin les noctambules dorment, les rues piétonnes sont calmes et tranquilles, abandonnées aux chats. Idéal pour se balader dans Chora où se repérer dans l’entrelacs de venelles est un défi.

Aperçu typique de Chora et chats 

Je loue un scooter pour deux jours. Aujourd’hui je fais une soixantaine de kilomètres à la découverte d’endroits plus ou moins fréquentés. La principale occupation consiste à aller de plage en plage, chercher la plus agréable où se poser, lire et se baigner. Je vais d’abord à Agios Sostis au nord ouest. Là où l’asphalte s’arrête un petit sentier gravit une colline du haut de laquelle l’eau bleu vert est sublime. Courte balade, Mykonos se prête peu à la marche, j’en profite. Dans la journée je fais cependant une douzaine de kilomètres à pied. Deuxième pause pas très loin à Fokos plus à l’est. Les derniers kilomètres à partir du barrage se font sur une route de terre poussiéreuse. Pas trop de monde ici, plage de gros sable et de fins galets.

Paysages du matin dans la baie de Panormos et à Fokos

Je reprends le scooter et la route principale jusqu’à Ano Mera. Visite du monastère de Panagia Tourliani qui abrite un petit musée avec de jolies icônes grecques. Sans doute le seul monument visité à Mykonos.

Le  monastère de Panagia Tourliani à Ano Mera

Direction la plage d’Elia. À mon goût trop d’équipements et trop de monde surtout dans la crique la plus agréable. Force est cependant d’admettre que se prélasser et se baigner en alternance est très reposant. Vers 17h00 je quitte cette plage, scooter jusqu’à Chora et je continue sur la péninsule la plus occidentale. La plage de Kapari est bien exposée et charmante mais trop peuplée. Partout sur l’île l’urbanisation et la construction de villas est en œuvre. De nombreuses voies sont privées et inaccessibles. Au sud de la plage de Glyfadi, au bord de l’eau une crique déserte où je me pause pour finir la journée.

Elia, chapelle isolée et crique tranquille  

En sortant dîner je m’arrête dans trois galeries exposant peintures, sculptures et photographies.

Quelques œuvres d’art 
3
sept

Dernier jour complet à Mykonos. Profiter du généreux soleil alors que dans l’après-midi quelques nuages perturbent sporadiquement l’azur. Avec le scooter je parcours environ 35 kilomètres. Direction Merchia au nord est, je me gare là où la route s’interrompt en surplomb de la plage.

Carte de la zone explorée en 10 kilomètres  

Pas vraiment un village plutôt la réunion de plusieurs villas sises dans un joli cadre sauvage. Je grimpe la colline pour bénéficier d’un panorama sur Merchia et le promontoire où se dresse une croquignolette église. Plus de deux heures de randonnée dans les environs sur les chemins et sentiers qui dominent le littoral. La côte est déchirée, quelques chèvres dans la garrigue gambadent. Je me dirige vers l’ouest jusqu’à Fokos où j’étais hier. Je ne croise personne, calme et solitude loin des clichés associés à Mykonos. Les vues plongeantes sur les caps et les eaux transparentes sont superbes.

Les magnifiques paysages pendant la balade 

De retour à Merchia je m’approche jusqu’à la chapelle installée entre les deux plages et m’installe sur la plus reculée. Pendant plus de deux heures j’y suis absolument seul. L’eau est délicieuse et tranquille, je nage fréquemment avec volupté. Cela me convient mieux que les ambiances festives et musicales sous les parasols qui privatisent le sable avec les moelleux transats. Ici j’adore être face à la mer Égée d’un bleu profond et profiter des plaisirs balnéaires simples.

La plage, la crique et la chapelle  
4
sept

Dernière matinée à Mykonos. Soleil resplendissant, vent fort et mer agitée. Avant d’aller à l’aéroport, ultime balade dans les ruelles désertes et calmes de Chora. Les églises et chapelles sont nombreuses, petit florilège avec ces lumineuses photos.

Quelques lieux de culte à Chora 

Comment ne pas terminer avec un chat....

Chat dans une ruelle de Chora