Jour 23
On se réveille assez tôt pour prendre le ferry jusqu'à Belize City. De là, notre but était de passer la frontière pour le Mexique. On avait aucune idée de la façon dont nous allions nous y prendre, mais on ne voulait pas prendre un shuttle touristique. Une fois à la gare routière, on se fait repérer par un gars, qui nous crie qu'un bus part pour le Mexique tout de suite. On grimpe dedans sans trop réfléchir, et on se rend compte que c'est en fait un chicken bus, ils nous avaient manqué ! Le trajet et long, les sièges inconfortables et surtout la musique est A FOND !!! On mange sur le trajet les restes du repas de la veille, heureusement qu'on a pensé à les prendre parce qu'on a trop faim.
On passe les postes de frontières sans problème, à l'exception du fait que l'agent d'immigration n'a pas donné à Théo 6 mois sur son "visa", mais que 7 jours... Il nous assure que ce n'est pas un problème pour voyager plusieurs mois au Mexique, mais on est dubitatifs. Suite à de nombreuses recherches, on décide qu'on verra bien comment ça se passera la prochaine fois qu'on aura à passer par un poste de migration. On galère un peu à faire changer nos dollars Béliziens en pesos, et c'est dans une boutique qu'on finit par y arriver. On grimpe ensuite dans un petit bus, puis on change pour un bus ADO qui nous dépose à notre très chère "laguna Bacalar". Le taxi nous arrête devant un petit magasin pour faire quelques courses, et on marche jusqu'au camping où nous avions déjà dormi en septembre. On a l'impression d'être chez nous. Le lieu n'a pas changé, à part le fait que l'eau est plus froide et la température plus agréable.
Jour 24
On passe la journée au bord de l'eau, à bouquiner, se baigner, discuter. On partage notre petit déjeuner avec un perroquet, qui ne se gène pas à piquer dans mon verre.
J'ai hâte de pouvoir faire découvrir ce lieu à ma famille !
Jour 25
Aujourd'hui, on attrape un bus pour Valladolid. Après quelques heures de trajet on arrive en plein centre ville. On part directement à la rechercher de notre logement qui se trouve à deux pas de la place centrale. On dépose nos affaires et on ressort se balader. On déambule jusqu'à un couvent qui est vraiment magnifique et un homme nous invite à aller manger dans son resto vegan, dont l'adresse est écrite... sur une feuille d'arbre !
On observe aussi sur le zocalo une démonstration de rituels indigènes, c'est très impressionnant.
Jour 26
On hésite un moment sur le déroulé de notre journée. Cette ville est connue pour ses cenotes, mais aussi pour ses ruines. Il y a notamment Chichen Itza, lieu très connu mais aussi très touristique. On décide plutôt d'aller à Ek Balam, un site maya au milieu de la jungle, qui a aussi son propre cenote dans lequel on peut se baigner.
On achète de quoi grignoter le midi et on trouve sans difficulté les taxis collectifs qui font le trajet jusqu'aux ruines. On nous propose d'attendre un peu voir si d'autres personnes seraient intéressées à partager notre taxi, et en moins de 5 minutes deux françaises se pointent. Le trajet est assez rapide, mais l'entrée du site beaucoup plus cher que ce que j'avais vu sur internet... zut on ne pourra pas aller voir le cenote qui est aussi payant parce qu'on a pas assez de liquide.
On passe deux petites heures à nous balader dans ce site vraiment beau. Cela nous fait un peu penser à Tikal, mais en beaucoup plus petit. On grimpe en haut du bâtiment principal au milieu duquel se trouvent des stèles et des sculptures très bien conservées. L'ascension est vertigineuse, et on rigole bien quand on voit les autre touristes redescendre sur les fesses !
On rencontre aussi un couple âgé de français, qui sont ici pour rendre visite à leur fils qui fait un tour de monde à vélo. Ils ont rendez vous à.... Tuxtla Gutierrez, là où on habite ! C'est une drôle de coïncidence.
Sur le chemin du retour, on passe devant l'entrée du cenote pour confirmer le prix, et c'est un homme de très bonne humeur qui chantait en jouant de la guitare qui nous accueille. Quand il voit ma tête dépité face à l'annonce de tarif, il affiche un grand sourire et nous dit qu'il nous fait rentrer quand même malgré les 40 pesos manquants. On est trop contents.
On marche 20 bonnes minutes jusqu'à l'entrée, et on Théo me parle de futures voyages que l'on pourrait faire. On se change rapidement pour enfiler les maillots, et on arrive au bord du cenote. Il est magnifique !
On passe finalement peu de temps dans l'eau qui est assez froide, au milieu des poissons, mais beaucoup plus de temps à observer le lieu. Théo fait beaucoup rire un gars dans les vestiaires quand à ma question "peux tu me passes mes affaires?", il me répond haut et fort "non" ! On retourne ensuite vers les taxis pour rentrer à Valladolid, mais nous devons attendre comme ce matin que le taxi se remplisse. Assez vite, un homme débarque et entame avec nous une longue discussion. Au bout d'une heure, on nous annone qu'il n'y a plus personne sur le site, et nous donnons alors chaque pesos qui nous reste pour pouvoir payer le taxi. Ah on avait mal anticipé le coup !
Ce soir on appelle notre copain Jeremy, ça fait du bien de discuter avec lui !
Jour 27
On ne sait pas trop quoi faire aujourd'hui. Puis on entend une dame demande à l'accueil si il est possible d'aller à "Rio Lagartos" dans la journée. On se dit que l'on va faire pareil.
C'est une mangrove connue pour ses flamands roses et ses lacs de sel de couleur rose. On part pour trois heures de bus. Dans le second que l'on prend on tombe sur la dame de ce matin, qui est en fait française. Ça tombe bien, on partage avec elle le prix de la lancha. Le village dans lequel on nous dépose est vraiment tout petit et très pauvre, et si nous y sommes habitués, la française est choquée.
On passe une heure et demi dans la mangrove, à observer les oiseaux, les flamands et à écouter les explications du guide.
On s'arrête ensuite au niveau des lacs salés, qui ne sont qu'un tout petit peu rose à cause des conditions climatiques qui ne sont pas au top (pas assez de vent), et on se fait un masque avec l'argile de la mangrove. Ça nous fait une peau toute douce !
On essaie de repérer des crocodiles, mais pas de chance ils sont en train de prendre un bain de soleil dans la mangrove, à l’écart des regards indiscrets.
On rentre et on arrive de nuit à Valladolid. On mange dans un grand hall pleins de petits boui-boui, et chaque serveur nous appelle en agitant le menu vers nous. "On dirait qu'ils chassent les mouches" dit Théo, ça nous fait bien rire. On décide de se faire un repas sans viande pour une fois, et comme nous en avons marre des quesadillas (tortilla avec du fromage, champignons...) on se décide pour un petit "resto" chinois. On se régale ! Je décide de terminer ce repas par une marquesitas (vous vous rappeler en septembre, la marquesitas à Cancun au nutella et au gruyère?) mais cette fois juste nutella/banane. Trop bon !
Jour 28
On part vers 10h00 jusqu'à la station de bus. On s'arrête au passage boire un café (enfin Théo, moi je n'aime toujours pas ça), et en route pour notre dernière destination : l'île Holbox.
Arrivés à l'embarcadère, on court pour attraper le ferry sur le point de partir. La traversée ne prend pas longtemps, et des voiturettes de golf (les taxis) nous attendent à la sortie. On se fait déposer dans le centre de la petite ville, et on se précipite vers un restaurant d'empanadas. On fait ensuite quelques petites courses, et on reprend un "taxi" qui nous emmène jusqu'à notre camping. Il est très sympa, tout en couleur, tout simple, et sans wifi !
Une fois nos affaires déposées dans la tente, on se dirige vers la plage "punta coco". C'est magnifique, des hamacs sont suspendus dans l'eau, la plage est faite de sable blanc... On se balade le long de la plage, et on tombe sur un drôle de truc. Après quelques recherches on apprend que c'est une limule, un crustacé très vieux. On dirait un dinosaure.
On s'installe ensuite sur des lits suspendus, une bière à la main, et on attend que la nuit tombe. Le gérant des installations nous demande de nous décaler, et discute un long moment avec nous des mayas et de la faune présente dans ce coin là.
Vers 18h30, on assiste à un couché du soleil vraiment beau. Et là, tout d'un coup, une nuée de moustiques nous envahit. C'est en fait le cas chaque soir, dès que le soleil se couche. Heureusement que nous avons de l'anti moutisque, mais même comme ça c'est compliqué ! On cuisine des pâtes, en écoutant les autres voyageurs parler espagnol. Il y a notamment deux argentines, et c'est hallucinant à quel point leur accent est différent du mexicain.
Jour 29
On se réveille tranquillement, et on part pour une longue balade le long de la plage jusqu'à la ville. La sable est incroyablement doux, et comme la marée est basse l'eau est assez peu profonde et incroyablement transparente. C'est trop beau !
Tout le long on discute en espagnol, pour que Théo progresse et que je pratique un peu. Il apprend vite, et surtout à un très bon accent. On se rend dans le centre ville, et même si je n'ai pas fin il me convainc d'aller dans une pizzeria qu'il avait repéré la veille. Il se régale, puis on décide de prolonger la balade jusqu'à un banc de sable que l'on voit au loin, puis on revient sur nos pas. On passe un peu de temps à lire dans les hamacs du camping, et on retourne ensuite vers "punta coco" et on reste un moment dans l'eau, puis on se prend une bonne pina colada en observant les flamands roses qui s'aventurent près de nous.
Le soir, on se fait inviter par deux françaises à jouer aux cartes. On se lance dans une partie endiablée de "barbue", tout en discutant des parcours des uns et des autres.
Jour 30
Comme hier, on marche jusqu'au centre ville en passant par la plage. Là on trouve le marché, où nous achetons quelques légumes, puis allons dans un "supermarché" (tout petit) pour trouver du pain. On nous conseille alors d'aller à la boulangerie du quartier, dans laquelle on est accueillis par le boulanger même qui s'excuse puisque son pain ne sera pas prêt avant plusieurs heures. On se lance alors à la recherche de la seconde boulangerie, mais impossible de trouver. On se rend compte sur le trajet que le centre ville est tout coloré. Finalement on trouve du pain, dans un bureau de tabac qui vend aussi du pain frais, on ne l'aurait pas deviné !
On reprend le chemin du retour, j'en profite pour me baigner un peu, et on se cuisine de très bonnes tartines de légumes.
Après un peu de repos dans la tente, on se dirige de nouveau vers "punta coco". Mais cette fois, Théo a un objectif bien précis en tête. De l'autre côté d'une sorte de lagune qu'il est possible de traverser à pied, il y a un endroit nommé "la baie des crocodiles". Ni une ni deux, il m'entraîne vers cette baie dans l'espoir d'en croiser un ou deux. Il nous faut d'abord traverser la lagune, et le sol est constitué d'une sorte de vase que je trouve répugnante, je me fais donc violence pour ne pas faire demi tour sous les regards moqueurs de Théo qui avance comme si de rien n'étais.
Arrivés de l'autre côté, on avance, avance, avance jusqu'à arriver dans une réserve protégée, comme l'indique le panneau sur notre chemin. On observe au loin des flamands rose, et on apprécie le calme qui règne malgré l'absence de crocodiles. Théo n'a pas dit son dernier mot. Il continue à s'avancer, jusqu'à une sorte de mangrove et s'arrête là pendant un moment.
Je vais le rejoindre et tout à coup, on se met à courir. Non pas à cause d'un crocodile, mais à cause d'une nuée de moustique qui s'est abattue sur nous ! Nous rentrons donc bredouilles, accompagnés de beaux oiseaux dont des hérons.
Jour 31
C'est le départ, nous disons au revoir aux gérants du camping, et montons dans un taxi qui nous dépose à l'embarcadère. On y retrouve les deux françaises qui étaient pourtant parties bien avant nous. Arrivés sur la terre ferme, on se dirige vers la station de bus pour acheter deux billets vers cancun. Heureusement que le téléphone de Théo à internet, parce qu'il n'est possible de payer qu'en liquide, et il n'y a aucun distributeurs dans la ville. On prend dont les billets en ligne, et on va se manger deux espèces de panini avant de monter dans le bus. Le trajet est assez rapide, et on arrive assez vite en ville.
De là on prend un taxi jusqu'à notre auberge de jeunesse. Le lieu est tout mignon, et surtout la chambre est ultra luxueuse. On a l'impression d'être dans un hôtel étoilé, alors que c'était le moins cher de la ville proche du bus. On ressort tout de même assez vite faire des courses, et quel bonheur on ressent en rentrant dans le "chedraui", un vrai supermarché !
Jour 32
Rien d'important aujourd'hui, on se prépare à prendre l'avion tranquillement. On récupère aussi nos habits propres ce qui est fort agréable, on se régale d'un bon petit déjeuner de tacos offert par l'auberge de jeunesse et de sushi le midi.
Jour 33
On se réveille assez tôt, on attrape nos sacs et grimpons dans le taxi direction la station de bus. A l'arrivée, on est un peu surpris de voir le chauffeur nous faire la "bise" au revoir. Elle nous explique qu'elle n'est pas vraiment un chauffeur de taxi, et qu'elle n'a pas le droit de se garer là. On se dit alors au revoir comme si c'était une amie.
On prend ensuite le bus, et on s'étonne de voir sur le panneau d'information de la gare routière que le terminal de notre vol à changé. On demande à la dame qui travaille là de nous confirmer l'information, ce qu'elle fait. On descend donc au terminal indiqué et là, surprise : ce n'est pas le bon ! On demande alors comment faire pour retourner à l'autre terminal (où nous nous sommes arrêtez en bus il y a quelques minutes), et on nous explique que la prochaine navette gratuite ne passe que dans 40 minutes, et que cela est trop limite par rapport à notre embarcation. Nous n'avons pas d'autre choix que de payer 15 euros un taxi... les boules !
Une fois la sécurité passée, Théo insiste pour acheter un truc à manger, il se prend quelques frites qu'il déguste tranquillement. On passe un coup vers les toilettes, et on se met dans la file d'attente qui s'est crée face à la porte d'embarquement. On entend tout à coup un "Hey bonjour, c'est bien vous n'est pas?". Étonnés on se retourne et on tombe nez à nez avec le couple de français que nous avions rencontré à Ek Balam, qui vont faire un petit tour à Oaxaca avant d'aller à tuxtla. Drôle de coïncidence ! Le vol passe vite, et on adore les petits écrans qui montrent en live ce qui est filmé par une caméra à l'avant de l'avion.
Une fois au sol, on partage un combi avec d'autre voyageurs pour nous rendre jusqu'à la ville de Oaxaca.
On va alors se balader dans le centre ville, jusqu'au marché où l'on passe dans une allée remplie bordée de chaque côté de grills sur lesquels des cuisiniers font cuire leur viande à manger sur place. Tout le long, on peut entendre des "psssst", leur façon de nous appeler. On pousse un peu plus loin et on s'installe à un comptoir où l'on goûte une Tlayuda (sorte de grande tortilla/chips sur laquelle se trouvent des légumes et de la viande) et un tamales (viande cuite dans une feuille de bananier). C'est très bon. On passe aussi dans le marché de nourriture, et on tombe sur le "fromage en pelote", que Swan avait absolument détesté lors de notre dernier voyage. Il y a aussi des stands de mezcal et de tequila énormes, ainsi que des bacs dans lesquels se trouvent du "mole", la fameuse sauce au chocolat qu'ils mettent dans beaucoup de plats.
On trouve cette ville absolument géniale, très vivante (même le soir), colorée, mais pas trop touristique non plus !
Jour 34
On commence par aller se prendre un bon smoothie de banane avant de nous rendre à l'autre bout de la ville pour attraper un combi direction "la ruta del mezcal". C'est une route qui est rythmée par des mezcaleria qui proposent des visites et dégustations. La plupart des gens le font en tour, mais nous avons décidé de tenter notre chance comme ça. La première à laquelle on s'arrête est très jolie, mais malheureusement la propriétaire nous explique que la meule est cassée et que la visite ne serait pas du tout intéressante. Elle nous indique un autre lieu, que nous avons dépassé, qui vaut le coup.
On traverse la route, grimpe dans le combi, descendons quelques minutes plus loin et retraversons la route cette fois sur un pont. On se fait d'ailleurs attaquer par une abeille tueuse qui nous suit pendant de longues minutes !
On se présente devant la mezcaleria, et là une dame nous interpelle et nous demande si on veut faire une visite du lieu. Et c'est parti, on nous fait une visite détaillée du lieu. Ils nous expliquent toutes les étapes, c'est très intéressant.
Tout d'abord, le mezcal se fait à partir d'une plante qui s'appelle l'agave. Il y en a qui sont cultivés et d'autres qui sont sauvages. Ces derniers sont beaucoup plus difficiles à trouver, ont une saveur différente et ne sortent qu'en édition limitée chaque année.
Une fois la plante trouvée/cultivée, ils prennent la partie basse de la plante qui ressemble à une pomme de pin géante ("pina"), et la mettent dans un puits avec des roches. Ils mettent le feu et font brûler le tout pendant plusieurs jours.
Ils récupèrent ensuite les pina brûlées, et il les broient à l'aide d'une meule tirée par un cheval jusqu'à ce que cela donne une pâte. On a pu goûter cette pâte qui a une saveur particulière, très sucrée.
Puis ils mettent la pâte dans des grandes cuves pendant un certain temps, qu'ils laissent fermenter, pour ensuite la distiller, le nombre de distillation variant selon la plante de départ et le résultat voulu.
Pour une des sortes d'alcool qu'ils font, ils placent l'alcool qui a été distillé dans des cuves avec des des dizaines de millier de vers (oui oui, des vers !) pour lui apporter une couleur particulière !
La visite se termine par une dégustation, trop chouette !
On attend qu'on nous demande de les payer mais non, rien du tout. On est super contents, et on leur achète une bouteille pour ramener en France ! On décide même qu'on y reviendra avec la famille de Théo pour leur faire découvrir.
On repart de là un peu pompette, et on comprend enfin pourquoi il y avait inscrit dans les combi "interdiction de monter en ayant bu" !
On se fait un gros repas dans un sorte de fast food mais qui ne vend que de la nourriture mexicaine (tacos, quesadillas...), on se balade un peu et on va se reposer tranquillement, aussi pour planifier l'arrivée des parents de Théo le lendemain.
Le soir, on ressort juste s'acheter de quoi manger dans la rue, on s'arrête devant un petit stand de burger et on en commande deux. On observe le cuisto qui assemble devant nous les ingrédients, il est sur le point de refermer et là il jette une bonne poignée de... chapulines (sauterelles grillées) sur chaque burger ! Théo va pour le payer, et il se rend compte que ce monsieur est beaucoup plus petit que lui. Il apprécie plutôt cette sensation !
Ça y est, c'est vraiment la fin de notre périple à deux. A partir de demain commence une autre aventure, différente mais qui promet d'être très chouette. La famille de Théo débarque pour deux bonnes semaines de découverte du Mexique, on a hâte !