Arménie 2024

Trois nuits de repos au petit camping bien au calme dans ce superbe décor champêtre. Les lessives s'enchaînent entre deux averses. Les couchers de soleil ... Nous voilà ressourcés !

C'est à pied que nous décidons de nous rendre au village ainsi qu'au monastère. D'ailleurs, le monastère est en plein centre du village. Nous prenons un raccourci mais la montée est raide !

Nous sommes à 1 000 m d'altitude avec une superbe vue sur le canyon du Debed. Dominant le village, le complexe monastique est assez grand. Il a été fondé en 976 par une reine. Il s'organise autour de l'église principale. On trouve une petite chapelle, des églises, un réfectoire, une bibliothèque ...

Malgré l'intérieur sombre des bâtiments il se dégage une atmosphère particulière ... Le sol est tellement jonché de tombes qu'il est difficile de ne pas marcher dessus.

Nos premiers paysages en Arménie sont de toute beauté !

Sur le chemin du retour, nous cueillons des prunes et le jeune proprio du camping nous offre des petites poires du jardin !

Deuxième monastère : Sanahin. Il faut redescendre dans la vallée puis remonter en haut du canyon encore à 1 000 mètres d'altitude, au dessus de la ville d'Alaverdi, à quelques kilomètres de Haghpat.

Il est vraiment beau. Ces monastères ne ressemblent pas à ceux de Géorgie. Il y a beaucoup plus de bâtiments. J’ai bien aimé l’église avec sa coupole aux reflets roses.

Et le cimetière tout en haut avec les photos des défunts ... comme en Géorgie.

Nous nous arrêtons faire quelques courses dans le village. 1 kg de brugnons, des pommes, des bananes, poivron, courgettes... pour 2€. Les brugnons sentent tellement bons que nous ne résistons pas à la tentation d'en goûter un... Oh là là ! Extraordinaire le goût !

Pour changer un peu, nous mettons le cap sur un monastère !

Le monastère de Gochavank se situe au pied du hameau de Goch. Depuis le monastère on a une jolie vue sur les montagnes environnantes.

Les monastères Arméniens depuis notre arrivée sont tous à peu près identiques. Assez cossus, avec plusieurs églises, une bibliothèque, une chapelle... Celui là, était au 13ème siècle, l'un des principaux centres culturels d'Arménie.

La Chapelle Saint Grégoire construite en 1 237 par le prince Grigor. A chaque monastère, nous pouvons voir des stèles. C'est le symbole de la culture arménienne. Il s'agit en fait de khatchkar. Qui signifie en arménien katch : "croix" et kar : "pierre", c'est à dire, ''croix de pierre''.

Le monastère comme celui visité hier n'a pas résisté lui non plus au raid des Mongols qui brûlèrent les bibliothèques ...

L'église Astvatsatsin... ouf ! Dur à dire !

A Dilidjan, nous trouvons une boucherie ! Chouette ! Sauf que ? Je vois du porc, du porc et là, peut être de l'agneau ? Le boucher nous fait des signes avec les mains que la bête a des cornes. 😂😂 De la chèvre. Dans la vitrine, un animal est pendu, celui là n'aurait pas de cornes. On rigole bien ! Nous supposons qu'il s'agit d'un agneau. Allez, il te le coupe en 2 à la hache ! Mais nous, c'est seulement 4 côtelettes que nous voulons. Ok !

Un tunnel permet de relier la ville de Sevan depuis Dilidjan plus rapidement, mais nous préférons emprunter la route qui passe par le col beaucoup moins touristique. C'est parti, nous bifurquons à gauche direction le tout petit village de Semionivka qui sert de panneau indicateur pour le col situé à 2114 m. Le paysage de montagne est superbe.

Ce petit village typique est habité par une minorité russe présente en Arménie depuis le 18ème siècle, les Malakans. Nous avons l'impression que le temps, ici, s'est arrêté.

La route redescend doucement et le rideau s'ouvre sur le lac Sevan, une réserve d'eau douce de 1 500 km2 à 1 900 m d'altitude ! Aujourd'hui, le lac se confond avec le ciel...

Puis nous voilà de retour à la civilisation en retrouvant l'autre bout du tunnel qui débouche sur une palanquée de magasins où les gens s'agglutinent !!! 😩

Pierre et Isabelle, que nous avions rencontrés au canyon des Aigles en Géorgie, nous avaient donné ce coin sympa pour bivouaquer sur une rive un peu sauvage du lac. Nous retrouvons le silence malgré le cri strident des mouettes. La couleur du lac change au fil des nuages et du soleil... On aime... Mais la température fraîchit.

Le soleil est parti rejoindre l'horizon derrière les montagnes ...

Une nuit plus tard, il refait son apparition au dessus du lac...

Les cartes

Des éclairs déchirent le ciel gris sombre au dessus des montagnes. L'orage semble vouloir s'éterniser au dessus de nous. Il gronde. Ça roule dans les montagnes. Le vent souffle très fort. Ça bouge dans la cellule.

Nous quittons notre joli bivouac pour rejoindre la plus importante station thermale d'Arménie. Jermuk ou Djermouk. Nous reprenons la route principale et c'est encore tout beau ce paysage !

Au menu du jour, les routes H42 et H43. Nous quittons la grande route principale qui dessert l'Iran pour nous engager sur une toute petite route très peu entretenue avec des trous énormes et par endroit des bouts de bitume qui manquent.

Dès les premiers kilomètres, nous profitons d'une vue incroyable sur les parois de la montagne dont l'érosion a dessiné des orgues !

La petite route se transforme ensuite en une piste qui longe la rivière Arpa dans un canyon, avec de hautes parois, c'est magnifique on en prend plein les mirettes !

Nous continuons doucement avec quelques parties plus délicates... Même si cela ne se voit pas sur les photos !

Puis on arrive sur un gros tas de cailloux. Un énorme éboulis. On croit que la piste se termine là. Et bien non, elle continue de l'autre côté. Il va falloir grimper sur tout l'éboulis ! Waouh ! Heureusement, un petit 4x4 arrive en face. Il s'arrête aussi et le monsieur regarde 🧐 par où passer ? Ça patine, il s'y reprend à plusieurs fois. Ça patine encore. Il recule, recommence. Ça passe ! On discute ensuite avec ce couple très sympa. Bon, maintenant c'est à nous ! Aïe aïe aïe ! On enclenche les courtes, rouler doucement sans s'arrêter, ça passe ! Le pilote est vraiment pro ... Il fallait bien un peu d'adrénaline ! Trop chouette, après coup ...😉

Puis nous prenons de l'altitude et au détour d'un virage, quel paysage ! Un sentiment de liberté nous envahit dans ce décor de rêve. C'est là que tu te dis que tu as de la chance et que ton choix de 4x4 cellule c'est vraiment génial !

Et c'est avec ce sentiment de fierté que nous arrivons à Jermuk à plus de 2 100 m d'altitude ! La ville se trouve aux sources de la rivière Arpa, laquelle offre ses eaux au lac Sevan.

Développée à l'époque soviétique, la ville en porte encore les stigmates ... Certains bâtiments sont abandonnés. Dommage, la pierre de tuf rose est jolie.

Quelques courses de fruits dont des mûres de la région, framboises, abricots... ! Toujours vendus en grandes quantités ! Dommage pour eux, je ne suis pas fan d'eaux pétillantes. Les nombreuses sources qui ont fait la réputation de cette station de cure dont le nom est associé à l'eau minérale est gazeuse !

Mais nous ne sommes pas venus pour y faire une cure, mais pour admirer la cascade des "cheveux de la sirène" !

Nous redescendons maintenant de l'autre côté avec une vue en hauteur sur le canyon. C'est un tout autre décor tout aussi beau ! Nous apercevons "notre" piste dans le canyon qui longe la rivière ... 😆😆

Nous sommes à peine redescendus que nous regrimpons un col à plus de 2 400 m sur la route principale vers l'Iran.

C'est en cherchant un petit resto que nous arrivons sur une autre piste qui continue jusquà des chutes. Les chutes de Shaki. Splendides !

Le soleil ne va pas tarder à disparaître il est temps de chercher un endroit pour passer la nuit, en essayant de trouver un coin à l'abri du vent mais c'est difficile dans cette région où pas un arbre ne pousse !

Derrière des menhirs ? 😂😂 Non.

A l'abri derrière une petite colline ? Oui ! Mais le paysage, ici, où que tu sois, est toujours époustouflant !

Après avoir été sous terre, nous allons maintenant nous envoler ! Nous reprenons la route jusqu'au village d'Halidzor, point de départ du téléphérique pour rejoindre Tatev ! Mais là c'est tout une aventure qui nous attend !

La route que nous empruntons devient subitement une piste puis la piste se transforme vite en bourbier ! Et là, tu fais ce que tu peux, c'est comme une danse, tu roules dans la boue, à gauche, à droite ou au milieu pour éviter les voitures en face, éviter les trous d'eau profonds, la boue éclabousse le pare-brise. Deuxième bain de boue pour Toyote ! Tu roules le plus lentement possible, avec encore ce sentiment d'avoir mal pour ton véhicule. Ça couine... Tu parcoures 10 km en 45 minutes...

Nous arrivons sur le parking, asphalté, lui, et tout propre, quel contraste ! Mais vu l'heure à laquelle nous arrivons, il sera notre bivouac. Nous prévenons la sécurité, aucun problème. Nous serons même gardés. 😉 La vue est splendide et les aigles volent au dessus du canyon. Quant à nous, nous volerons demain...

Le lendemain matin...

Aujourd'hui nous allons voler ! Pour aller visiter le monastère de Tatev, nous prenons un téléphérique mais pas n'importe lequel. C'est le téléphérique le plus long du monde. Il parcourt 5,7 km au-dessus du vide en seulement 12 minutes !

Nous prenons notre envol au dessus du village d'Halidzor...

C'est parti !

Ne pas avoir le vertige car nous survolons les gorges du Vorotan, à une hauteur de 320 m ! Waouh, c’est grandiose. J'adore ! La vue est fantastique sur les montagnes et le canyon même si le prix du trajet n'est pas donné (18000 AMD A/R pour 2 pers.) Petit conseil arrivé un peu avant pour bien choisir sa place…

Nous apercevons le monastère depuis le téléphérique, juste avant l'arrivée.

Le monastère de Tatev a été fondé entre le 9ème et 11ème siècle et il est situé dans le petit village du même nom, à plus de 1 800 m d’altitude, perché à flanc de falaise, avec une vue sur le magnifique canyon ! C'est le plus grand du sud de l’Arménie. Bien qu'il se soit effondré lors d'un tremblement de terre en 1936, il a été reconstruit à l'identique. A l'époque, au 11ème siècle le monastère possédait une école réputée où vivaient des centaines de moines.

Et comme tous les monastères d'Arménie, il se compose de plusieurs bâtiments, celui ci est un vrai labyrinthe.

Il est entouré de murailles d'où l'on peut apprécier la vue sur la vallée ... Un vrai petit bijoux ...

Pour avoir une belle vue du monastère sur la falaise, à la sortie prendre à gauche la route qui grimpe, (environ 1/2 h de marche aller retour).

Après cette belle balade, nous reprenons la route et quittons la région du sud où les militaires sont nombreux à surveiller les frontières avec l'Azerbaïdjan.

Et trouvons un joli petit bivouac cachés derrière une ruine... avec encore une jolie vue !

Nous prenons la direction du nord vers la capitale Erevan. Nous sommes toujours surpris par ces paysages !

La chaleur nous tombe dessus. Il y a bien longtemps que nous ne sommes pas descendus à 800 m d'altitude ! Nous voilà dans la plaine d'Ararat et retrouvons les cigognes ... Nous en profitons pour faire une bonne toilette à Toyote qui est tout crotté !

Sur notre passage le monastère de Khor Virap, mérite un détour, juste pour une photo ! 😂😂 Car ce monastère est situé au pied du mont Ararat (5165 m) qui semble si près, avec son sommet encore enneigé un peu coiffé de nuages. Nous nous arrêtons 2 km un peu avant, notre GPS Maps.me désigne un petit appareil photo. Nous voilà à la frontière Turque et la vue est unique sur le monastère avec pour toile de fond le mont Ararat ! Aujourd'hui il appartient à la Turquie mais il est toujours considéré comme un des symboles de l'Arménie.

Après quelques courses au magasin Carrefour à Erevan, nous remettons le cap à l'Est. Pas facile de sortir de la capitale, comme le dit mon pilote, rouler dans ces pays c'est du sport, entre les trous de la route et les arméniens qui n'ont pas tout compris que sur une route à deux voies, c'est compliqué de rouler à trois et encore plus dans les virages ! Une fois que tu as réussi à sortir de la ville sans jouer aux auto-tamponneuses, tu peux enfin apprécier le paysage... Enfin presque, parce que juste à ce moment là, tu évites de justesse un trou énorme ...

Nous changeons de vallée pour celle de l'Azad, qui domine la plaine de l'Ararat sur laquelle on a une vue "normalement" imprenable depuis l'Arche de Tcharents... La brume qui entoure le mont Ararat ne le quitte pas... Grrr...

La route serpente dans des paysages toujours aussi beaux.

Après le dernier virage, le monastère de Geghard apparait, au fond d'une vallée au pied de hautes falaises, à 1 600 m d'altitude, sur la chaîne des monts Kégham.

Il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO et daterait du 4ème siècle mais il a été reconstruit au 13ème. Nous sommes enchantés par ce monastère. S'il n'y a qu'un seul monastère à visiter en Arménie, c'est celui là. Même si nous sommes revenus dans une zone nettement plus touristique, il y a beaucoup de monde !

Il faut savoir s'imprégner de l'atmosphère du lieu. Car en plus d'être superbe, on y ressent une sérénité bien particulière. Peut être parce qu'une partie du monastère est troglodyte avec plein de petites grottes taillées dans la roche !

Nous reprenons la route jusqu'au village de Garni afin d'aller visiter le temple de Garni. Pour changer des monastères, il s'agit d'un temple gréco-romain ! Si, si ! C'est même l’un des plus vieux sites d’Arménie à 24 colonnes encore visible dans le pays ! Il a été construit en l'an 77 après Jésus-Christ par le roi arménien Tiridate 1er dès son retour de Rome, où l'empereur Néron, l'avait couronné ! Ce temple a aussi pour nom, Temple du Soleil car la petite ouverture à l'intérieur du temple devait être liée au culte du dieu du soleil Mithra, très à la mode en Orient comme à Rome à cette époque.

Le temple n'a rien d'extraordinaire mais il a le bonheur d'être situé au dessus d'un canyon, la vue est splendide. De loin, on peut apercevoir des orgues taillés dans la roche...

Nous décidons d'aller voir de plus près ces magnifiques orgues de basalte et nous nous baladons dans ce superbe décor pendant une bonne heure... De quoi donner le tournis !

Nous remontons au village, faisons quelques courses de fruits et partons vers le nord ouest ... Nous allons changer de région.

Nous quittons notre joli bivouac...

Nous continuons la remontée vers le nord et Juste à côté de la ville de Stepanavan, se trouve la forteresse de Lori. Située sur un plateau à la jonction de deux gorges, au 10ème siècle, c'était une véritable cité médiévale fortifiée. Le profond canyon et ses murs d'une hauteur de 20 à 25 mètres rendaient la forteresse inaccessible. Aujourd'hui il ne reste que des ruines car elle n'a pas résisté aux invasions et au dernier tremblement de terre de 1988. Le site est devenu payant pour la bonne cause. Il est en restauration.

La vue est magnifique sur les gorges. On aperçoit en bas le "fameux pont"

Les ruines...

Dans un beau décor...

Les légendes toujours en français en Arménie...

Nous reprenons la route qui longe le canyon. Le paysage ne laisse pas indifférent...

Nous trouvons notre bivouac près d'une petite église au bord de ce canyon où les aigles sont les rois du monde... Nous sommes tout près du village d'Odzoun, visité lors de notre arrivée dans le pays. La boucle est presque bouclée !

Le lendemain, nous nous baladons sur les hauteurs et apercevons les ruines d'une église en contrebas.

L'orage gronde sur les montagnes. Le ciel devient de plus en plus sombre. Les éclairs déchirent le ciel. Les couleurs sont sublimes ... et comme presque à chaque fois, 3 gros coups de tonnerre, 3 grosses gouttes d'eau, 3 gros coups de vent puis les nuages se dégonflent et la lune apparaît avec sa colonie d'étoiles...

Les cartes

Depuis notre départ, il s'est passé 111 jours, 9 885,60 km plus 275,60 km de pistes. 101 nuits en bivouac, 10 nuits en camping, 2 ferrys...

22 jours en Arménie -> 33€ par jour pour 2 personnes avec nos grosses courses faites au Carrefour d'Erevan.

On nous avait dit que les paysages étaient moins beaux que ceux de la Géorgie mais nous, nous avons été enchantés par ces paysages.

On nous avait dit qu'il s'agissait d'un pays montagneux à 90%. Oui je dirais même oui à 100% ! Comme la Géorgie, des vallées verdoyantes au nord, des steppes arides aux couleurs de Mongolie au sud, et des chemins de randonnées bien balisées.

Nous avons aimé 👍

Les paysages grandioses ! Partout. Sans oublier le lac Sevan...

Des monastères toujours situés dans des décors de rêves

La boucle par les routes et pistes qui mènent à Jermuk ! Rouler dans et au dessus du canyon, un vrai régal tant pour les yeux que pour la conduite

Les 400 marches à descendre et remonter pour visiter les cheminées de fées

Prendre son envol au dessus du canyon en téléphérique donne à la visite du monastère de Tatev une toute autre dimension. La vue est grandiose et le moment, magique...

Des guirlandes de tuyauteries de gaz rouillées, des carcasses de voitures partout, des noyers, pommiers, figuiers, pruniers plein le bord des routes, des vieux bus, des vieilles voitures comme les Ladas qui roulent encore, tu te demandes comment.., des moutons, des vaches…

Les touristes, peu nombreux...

Les Arméniens, sympa des que tu essaies de dire un mot dans leur langue...

Le prix du Diesel à environ 1,19€ le litre

Les bivouacs comme en Géorgie sont faciles à trouver.

Des fontaines pratiquement partout idéal pour faire le plein d'eau

Quelques campings avec machine à laver (pratique pour le linge de lit)

A aucun moment, nous nous sommes sentis en insécurité et le pays est un chouïa plus propre que son voisin la Géorgie.

Nous avons moins aimé 👎

Le réseau routier pas trop mal dans l'ensemble. Mieux dans le nord qu'au sud où les nids d'autruche sont nombreux. La conduite des Arméniens est identique à celle des Géorgiens qui se prennent tous pour des pilotes de formule 1 et doublent n'importe comment ! Virage ou pas.

Nous avons été déçus par la nourriture.

Comme en Géorgie, il est impossible de trouver du lait de noisette, d'amande ou de soja, ou du lait sans lactose, quelques flocons d'avoine dans certains magasins

Le pilote Hubert a encore bien négocié les passages complexes et Toyote s'est encore bien comporté 🤞. Il faudra penser peut être à rajouter des rails de chaque côté de la cellule afin d'y installer un store pour les fortes chaleurs dans les endroits sans ombre.

Comme en Géorgie, certaines voitures ont le volant à droite ? Pourquoi ? Parce qu'ils achètent leur véhicule en Asie (Japon) Paraît il qu'elles sont nettement moins chères ...

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Toute la Géorgie c'est par là...

Les Pashub dans la presse 😉 sans oublier Toyote et sa cellule Tipi 4x4 sur son dos 🤪 !

Après la Géorgie, retrouvez la suite de notre voyage en Arménie, dans le dernier numéro 196 (mars-avril 2025) de Mondial 4×4 !