Carnet de voyage

Thailande 2

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Repos sur Phitsanulok
Janvier 2019
19 jours
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Publié le 3 décembre 2018

De retour à Bangkok, nous nous rendons à l’ambassade de Birmanie pour effectuer notre demande de visas. Comme il faut 3 jours pour l’obtenir, nous en profitons pour visiter la ville. D’abord, nous allons à K village, le quartier japonais où nous avons repéré un cabinet qui pratique la méthode « karada ». Gg en ressort un peu meurtri, mais droit comme un i et libère de toutes ses contractures. Du coup, Lysiane s’est aussi fait manipuler et ça s’est avéré bien nécessaire. Ben oui, on n’a plus 40 ans alors le sac à dos...!

Pour nous changer un peu des temples, nous decidons de visiter Incosiam, un méga centre commercial de 450 000 m2 construit au bord du fleuve et inauguré le 9 novembre. On peut y accéder en bateau avec des navettes gratuites incessantes. On y trouve toutes les grandes marques de luxe françaises et internationales. L’interieur est gigantesque . C’est assez impressionnant.

Nous allons aussi nous balader dans les vieux quartiers dont le quartier chinois dont on ne se lasse pas.

Pour gg qui était venu il y a 40 ans, la ville est méconnaissable. A l‘époque il n’y avait aucune tour, peu de voitures mais une fourmilière de tuk tuk. Aujourd’hui, c’est une mégapole avec des buildings modernes qui se sont insérés un peu partout. Pour gérer le flux de circulation, il a été construit une autoroute urbaine à hauteur du quatrièmes étage avec des bretelles qui redescendent dans la ville. Et il s’en construit encore...!

Nous avons aussi visité la maison de Jim Thomson, un architecte américain qui a immigré en Thaïlande dans les années 30.

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Publié le 5 décembre 2018

Après trois heures dans un van nous arrivons à notre guest house.

Nous louons des vélos pour nous rendre au pont de la rivière Kwai et Visitons le musée situé en ville. On peut y visionner un film avec d’émouvants témoignages de survivants d’une tranche d’histoire mal connue, à se remémorer (source Wikipedia) :

Durant la seconde guerre mondiale, afin de soutenir ses troupes dans la conquête du Raj britannique, l'Empire du Japon lance le projet ambitieux de construire une voie ferrée de 415 kilomètres de longueur à travers la Thaïlande pour rejoindre la Birmanie britannique . La main d’oeuvre, constituée de 100 000 travailleurs asiatiques et de 30 000 prisionners de guerre occidentaux’ connaît des pertes importantes en raison des mauvais traitements, des maladies tropicales et des bombardements américains et britanniques, notamment sur le pont en construction où environ 16 000 personnes trouvent la mort. C'est pour cette raison que la ligne est appelée « voie ferrée de la mort».

Un pont en bois est d'abord construit pour assurer le franchissement de la Kwai yai durant la construction du pont métallique voisin. Il est achevé en février 1943. Des restes de ce pont en bois sont conservés dans le musée de la Seconde Guerre mondiale de Kanchanaburi.

Le pont métallique, toujours opérationnel depuis sa construction, est édifié avec les matériaux d'un autre pont de onze travées démonté à Java, en Indonésie , et amené sur place, près de la confluence des rivières Kwaï Yai et Kwai noi, à environ trois kilomètres au nord de la ville de Kanchanaburi. Ces deux rivières forment ensemble la Mae klong.

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Publié le 5 décembre 2018

De Kanchanabury, nous sommes revenus à Bangkok prendre l’avion à destination de Mandalay.

Le bus nous depose devant le RoyalPearl hotel ou nousnous installons.