Carnet de voyage

Thailande

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Dernière étape postée il y a 1774 jours
Arrivée sur Bangkok
Octobre 2018
30 jours
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arrivée à Bangkok

Notre hôtel.

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Publié le 21 octobre 2018

Visitons le centre commercial MBK qui comporte neuf étages. Ensuite nous prenons un tuk tuk pour aller visiter le musée national de Bangkok.... tout est doré avec des feuilles d’or!!!!

Nous passons dans une salle immense où l’on peut voir des chars d’apparrat et des chaises à porteur.

Ces chars d’apparat étaient tirés non pas par des chevaux, mais par plus de 300 hommes.

Nous retrouvons ces personnages dans les temples. Il s’agit d’animaux mythiques.

Nous poursuivons et visitons une autre salle où sont exposés des chars « de tous les jours » et des armes.

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Publié le 22 octobre 2018

Aujourd’hui visite du temple du bouddha d’émeraude puisdu Palais Royal.

Le Bouddha d’émeraude réside dans le Wat Phra Kaeo depuis 1784. La statue de 66cm est l’une des plus vénérées et respectées en Thailande. Elle se trouve au sommet d’un piédestal de 9 mètres et est habillée de trois costumes différents, selon les saisons de l’année. Une cérémonie religieuse lui est consacrée à chaque changement.

Lorsque nous pénétrons dans le temple de grandes statues nous dominent. Ce sont les gardiens.

Ensuite nous nous promenons entre les édifices tous plus beaux les uns que les autres.pn

En bateau, visitons les khlongs, petits canaux, très typiques de Bangkok. Au fil de notre navigation nous passons devant de belles...

Le plus surprenant ce sont les gratte-ciel côtoyant ces pauvres masures.

Nous apercevons un varan et des poissons qui se battent pour une mie de pain

Nous finissons par la visite d un marché local

C est une femme qui pousse le chariot  ....!

Sur le retour nous apercevons de nombreux écureuils qui jouent dans les arbres bordant l’avenue. Ils ne sont pas farouches. Ils viennent manger dans la main des touristes des graines fort opportunément vendues par des marchands ambulants,

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Publié le 25 octobre 2018

Visite du temple Wat Pho, l'immense complexe du temple royal qui renferme un bouddha couché de 46 mètres de long, 14 m de haut. Un des plus anciens temples de Bangkok, Wat Pho est devenu monastère royal pendant le règne du roi Rama Ier.

Les murs du temple sont recouverts de fresques. 


De petits espaces sont aménagés pour la méditation.

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Publié le 24 octobre 2018

Située à environ 80 km au nord de Bangkok, nous nous y rendons en bus. C’est la pluie qui nous accueille et nous contraint au repos.

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Publié le 25 octobre 2018

visite du temple Wat Yai Chaya Mongol. Ce monastère a été construit par le roi U Thong en 1357. pour héberger les moines qui ont été ordonnés par Phra Wanratana Mahathera Burean. Ce monastère a été nommé "Wat Pakawew.

Plus tard Phra Wanratana de Wat Pa Kaew a suggéré au roi Naresuan de construire une grande pagode. Il décide de la construire dans le monastère en 1952. Ce monastère est devenu Wat Yai Chiamongkhon.

Nous continuons notre visite par le temple Wat pra si samphet qui est un temple bouddhiste. Il servait de temple royal, car bien qu’enclos dans une cour particulière, il était à l’intérieur de l’enceinte du Wang Luang, immédiatement au sud du palais royal d’Ayutthaya. Sa position était donc semblable à celle du Wat Phra Kaeo par rapport au Palais royal de Bangkok.

Ce temple, le plus important d’Ayutthaya, a été fondé au xve siècle par le roi Borom Traï Lokanat et embelli par ses successeurs. En 1500, le roi Rama Thibodi II plaça dans l’un de ses sanctuaires une image du Bouddha en bronze recouvert de plaques d’or, de 16 mètres de haut qu’il appela « Phra Si Sanphet », de là le nom du wat.

Finissons par le Wat Mahathat appelé aussi « Monastère de la Grande Relique » aurait été construit à la fin du 14 ème siècle par le roi Boram Rachathrat afin d’y abriter une relique du Bouddha. Il est situé au coeur du centre historique d’Ayutthaya, tout près de l’ancien temple royal.

Considéré comme l’un des temple les plus anciens d’Ayutthaya, il a été le premier centre spirituel royal avant d’être remplacé par le Wat Phra Sri Sanphet. La forme de la structure en quinconce avec un grand Prang en son centre est typique du style architectural Khmer.

Vous y verrez de nombreuses statues de Bouddha décapité depuis le saccage d’Ayutthaya par les Birmans en 1767. Malgré des efforts de restauration au 17 et 18 ème siècle, aujourd’hui l’ensemble demeure en ruine mais ses fondations suggèrent combien le lieu était imposant.

Aujourd’hui, l’endroit est surtout célèbre pour la tête d’une statue de Bouddha logé dans les racines d’un vieux figuier. Selon la légende, lorsque les birmans ont saccagé la ville et décapité toutes les statues de Bouddha, une des têtes aurait roulé, recueillie et préservée du saccage par les racines de l’arbre.

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oct
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Publié le 25 octobre 2018

Pour atteindre l’etape suivante : Sukhothai, il nous faudra 6 heures de bus....!

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oct
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Publié le 29 octobre 2018

Prenons la navette pour aller dans la vieille ville.

Commençons par louer des vélos car le site à visiter est immense.



Le temple de Wat mahatat est le plus grand temple monastique de l'ancienne capitale, symbole de cette grande civilisation disparue. Le Wat Mahathat était le temple d'un palais dont il ne reste aujourd'hui plus rien. Le stupa principal, tout comme les quatre autres qui l'entourent, ont été bâtis en forme de Prasat. D'autres se situent au sud. Les chedis principaux sont ornés de boutons de lotus et sont caractéristique du style typique de l'art Sukhothai. C'est aussi sur le site de ce palais, au Wat Si Chum que l'on retrouva la pierre du roi Rama Khamhaeng, dont on dit qu'il créa l'alphabet thaï (44 consonnes, 32 voyelles et 5 tons). Les inscriptions de 1292 découvertes sur ce lieu fournissent des comptes rendus détaillés de l'économie, de la religion, de l'organisation sociale et de la gouvernance du royaume de Sukhothai. Le roi Rama khamhaeng, qui est considéré également comme le père fondateur de la nation thaïlandaise, régnait en père de famille, et son titre était d'ailleurs Po Khun (père Khun). En plus d'être la capitale d'un royaume innovant en matière d'écriture, d'architecture, d'art, de religion, de législation, Sukhothai est à l'époque aussi à la pointe de la technologie, notamment dans l'ingénierie hydraulique. La ville alors se transforme et se développe à toute vitesse, des réservoirs d'eau, des douves, des canaux, des barrages permettent un accroissement économique, l'essor des voies de communication et une augmentation de la population très conséquente. On appelle cette période l'aube du bonheur thaïlandais. Entre les XIIIe et XIVe siècles, Sukhothai devient la capitale du premier royaume de Siam. C'est à cette période qu'est bâti le Wat Mahathat. La construction du palais et des temples s'étendent sur près d'un siècle. Le Wat Mahathat est caractérisé par de multiples chedi et un grand Bouddha assis de 9 mètres. Il s'étend sur un carré de 200 m de côté, autrefois entouré de douves. On y trouvait, à cette période 185 chedi, 7 chapelles et 11 viharn. D'un point de vue politique, Sukhothai adopte un régime extrêmement égalitaire, codifie des lois, aidée par les institutions politiques et religieuses de l'époque. Mais, par la suite, tout change et les rois d'Ayutthaya copieront plutôt le despotisme des rois khmers, et exigeront notamment de leurs sujets qu'ils se tiennent à plat ventre devant eux.

Le Wat Sra Si est situé au nord du Wat Mahathat, au coeur du parc historique de Sukhothai. Le Wat Sa Si est un temple construit au milieu d’un lac appelé Tra Phang Tra Kuan. Entouré d’eau, de fleurs de lotus et de verdure, l’accès à l’île se fait en empruntant un petit pont.

Selon des inscriptions retrouvées à Sukhothai, le Wat Sa Si aurait été fondé vers la fin du 14 ème siècle pour y abriter les cendres du roi Li Thai de Sukhothai qui régna à partir de 1347.

Le Wat Sa Si se compose de 2 chedis, un principal et un autre plus petit, d’un viharn et d’un ubosot. Sa forme arrondie témoigne de l’influence du bouddhisme cinghalais à Sukhothai.

Une des statues les plus intéressantes du Wat Sa Si est la statue du Bouddha marchant qui se site à l’entrée, elle est typique de l’époque de Sukhothai avec une représentation du Bouddha en mouvement.

Nous sortons du parc historique et prenons la route pour aller visiter le Wat Sri Chum. Commençons par les bâtiments les plus récents. Un office est en cours, trois moines lisent à tour de rôle les écrits. Nous nous glissons discrètement au fond sur le côté et sommes très surpris qu’on nous présente un plateau avec des fruits et un thé glacé.

Le Wat Si Chum ou le temple de l’arbre Bodhi se situe au Nord-Est du parc historique d’Old Sukhothai à l’extérieur des remparts. Il est célèbre pour son immense bouddha assis mesurant près de 15 mètres de haut. Découvert par l’archéologue Louis Fournereau en 1891, le premier temple date d’environ 700 ans, en ruine sa reconstruction démarre en 1953 pour s’achever en 1956. Depuis, de nombreux thaï viennent se recueillir et placer des feuilles d’or en guise d’offrande sur les mains et les pieds de la statue.

Cette statue de Bouddha présente au Wat Si Chum a deux noms différents : « Phra Achana » signifiant « Bouddha qui n’a pas peur » ; et « Phra Poot Dai » qui se traduit par « Bouddha parlant ». Selon une légende locale, les soldats birmans qui avaient envahi Sukhothai auraient fui de peur en voyant l’immense statue.

Nous rendons les vélos et reprenons la navette pour retourner en ville. Pendant notre ballade avant de rejoindre notre guest house, nous découvrons un temple parfaitement conservé.

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Publié le 4 novembre 2018

visite de la ville

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Publié le 4 novembre 2018

Arrivons a la gare routiere en tuk tuk et prenons le bus pour Chiang Mai soit 6 heures de route.

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Publié le 4 novembre 2018

Partons en prospection pour louer une voiture, puis dejeuner dans un petit restau près du marché car celui conseillé par notre logeuse est fermé.

Le repas est délicieux, les thailandais vraiment très sympathiques.

Continuons par la visite des temples situés dans la vieille ville. Elle en compte 75. Nous en sélectionnons quelques uns.

Lle Baan Ping temple.

Lle Wat Umong Mahatera Chang

Le Buddhist Holy Hall avec ses gongs.

Le Wat Phan On est l’un des plus petits temples de la vieille ville fortifiée de Chiang Mai. Il a été construit en 1501 sous le règne du roi Lanna Mueang Kaeo.

Le complexe du temple se compose d'un grand viharn, d'un chedi doré et des kuti ou quartiers des moines. Le temple Wat Phan On abrite l'un des plus beaux chedis de Chiang Mai.

Le chedi a été construit en 2007 et s'appelle la pagode Sareerikkatartsirirak, nommée par le roi de Thaïlande, le roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX). Dans chacun des quatre côtés du chédid, une niche rouge abrite une statue de Bouddha. À côté, se trouve un très grand gong pendu dans son chevalet.

Le wat Dokkham

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Publié le 8 novembre 2018

Avec nos partenaires de voyage, nous partageons le location d.une voiture pour un périple de 557 km de routes essentielement montagneuses. Nous commençons par la vIsite du mémorial bridge. Un pont érigé comme témoin du passé à l’image de l’illustre pont de Kantchanabury sur la rivière Kwaï.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’armée japonaise utilisa des prisonniers de guerre pour construire un certain nombre de voies de transport entre la Thaïlande et la Birmanie, colonie britannique. Les Japonais veulent améliorer les routes et les rendre aptes pour les troupes et les véhicules lourds qui seront nécessaires pour les attaques prévues. La route entre Chiang Mai et Mae Hong Son leur parait stratégiquement très importante. Ils décident alors de construire un pont en bois sur la rivière Pai.

En 1944, l’armée japonnaise brula le pont mais les habitants de la ville le reconstruirent après la guerre.

Aujourd’hui, le pont, appelé Memorial Bridge, n’est accessible qu’aux piétons.

Le canyon


La Cascade


Le Pont de bambou qui serpente plus de 500 mètres au dessus des rizières.


Visite du marché en fin de soirée .

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Publié le 8 novembre 2018

Direction Mae hong son. Arrêts nature pour photographier quelques beaux panoramas.

La pompe à essence

La station service ! 

Nous rencontrons des gens charmants dont un vieux monsieur qui aurait bien voulu discuter mais ne parle que le thaï.

Continuons par la visite du village de Ban Maelana avec son école (fermée le lundi).

Son monastère et les enfants moines qui jouent.

Une habitante coupe des lanières de bambou qu’elle fait sécher pour ensuite les tresser en porte offrandes ou en corbeilles.

Continuons notre route jusqu’a Sangkhlaburi, village cul de sac en bord du lac.

Il est situé près de la frontière que les birmans franchissent essentiellement pour se faire soigner.

Repartons sur Maé Song. Nous parcourons le marché de nuit installé en bord du lac et admirons le temple illuminé.

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Publié le 8 novembre 2018

Avant de reprendre la route, nous visitons le temple que nous avons vu illuminé la veille.

 Le marché de jour est très différent de celui d.hier soir.

Nous avons la chance d’assister à une procession.

la Route que nous empruntons nous conduit au bord d’un lac ravissant avec de très beaux paysages. Un papa pêche avec ses fils. D’autres tirent un filet. Je prends un petit garçon en photo et la lui montre. Ravi, il court vers son père pour lui raconter.


Arrivons de nuit à Maé Chem’ pas top.

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Publié le 8 novembre 2018

En cours de route, nous nous arrêtons sur un marché local.

Les relations avec nos partenaires de voyage sont devenues difficiles.

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Publié le 8 novembre 2018

Nous nous promenons dans la ville et allons nous faire masser dans un temple.

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Publié le 8 novembre 2018

Nos partenaires de voyage nous ignorent totalement lors du petit déjeuner. Nous prenons donc les services d’un taxi pour la journée. Nous commençons par la visite du temple Wat Phra Thatcher Doi Sutherland sur les hauteurs de Chiang Mai.

La fondation originale du temple demeure une légende, dont il existe diverses versions. Le temple aurait été fondé dans 1383 quand le premier chedi a été construit. Depuis des siècles, le temple a pris de l’expansion avec des ajouts extravagants et plusieurs sanctuaires y ont été ajoutés. Une route qui y mène a été construite en 1935.

Selon la légende, un moine de Sukhothai du nom de Sumanathera a vu en rêve un dieu lui dire d'aller rechercher une relique à Pang Cha. Sumanathera s’est rendu sur place et y a trouvé un os, que beaucoup pensent être un os de l’épaule de Bouddha. La relique a montré des pouvoirs magiques, elle a rougeoyé, elle pouvait disparaître, se déplacer et se dupliquer. Sumanathera l'a apportée au roi de Sukhothai, le Dharmmaraja.

Le Dharmmaraja a fait des offrandes et une cérémonie pour l'arrivée de Sumanathera. Cependant, la relique n'a alors montré aucune caractéristique anormale et le roi, doutant de son authenticité, a dit à Sumanathera qu’il pouvait la garder.

Cependant, le Roi Nu Naone du royaume de Lanna a entendu parler de la relique et offert au moine de la prendre. En 1368, avec la permission de Dharmmaraja, Sumanathera a apporté la relique à l'actuelle Lamphun, au nord de la Thaïlande. La relique s’est apparemment dédoublée, une pièce étant de la même taille, l'autre plus petite que l'original. Le morceau le plus petit a été enchâssé au temple à Suandok et l'autre a été placée par le roi sur le dos d'un éléphant blanc qui a été libéré dans la jungle. L'éléphant a escaladé Doi Suthep, alors appelé Doi Aoy Chang (montagne d'éléphant de sucre), et a gémi trois fois avant de mourir. Ceci a été interprété comme un signe et le Roi Nu Naone a ordonné la construction d'un temple à l'emplacement de sa mort.

Bien entendu ce temple se mérite et pour cela nous devons monter 310 marches. Un serpent en mosaïque court de chaque côté de l’escalier. Des lions de mosaique gardent l’entree du temple.

C’est à cet endroit que nous faisons la commaissance de Martine et Daniel, originaires de Belgique.


Ce temple est en teck 


L’après-midi, nous visitons une fabrique artisanale d’ombrelles. L’armature est faite en bambou taillées par les ouvrières. Le manche est tourné à la main.

Le papier est trempé dans un bac pour la couleur et mis à sécher.

L’armature est assemblée et maintenue par du fil de coton de diverses couleurs.

Ensuite la toile est encollée sur l’armature après repassage.

Et voilà le résultat des ombrelles magnifiques. Certaines seront peintes à la main.

Les peintres, doués d.un savoir faire incroyable, ont exécuté un dessin sur ma housse d’appareil photo et sur la housse de téléphone de Gege

Voici quelques uns de leurs tableaux.

Nous continuons par la fabrique de soie. Les cocons sont récoltés et mis à tremper dans de l’eau bouillante pour pouvoir tirer le fil. Le fil est traité de 2 façons. Soit il reste naturel et il est rêche pour être filé. Soit il est coloré et sera doux au toucher. Les fils sont encore tissés sur des métiers manuels mais aussi dans des ateliers modernes inaccessibles aux touristes.


Visitons une fabrique de bijoux. Les rubis, les jades et les émeraudes viennent de Thaïlande. Les autres pierres sont importées. Tout est taillé, monté, poli sur place. Dans l’entrée nous apercevons des sculptures en jade, en os de poisson, et en teck.

Nous finissons l’après-midi par la visite d’une fabrique de laque.

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nov
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Publié le 8 novembre 2018

Louons des vélos et nous promenons dans l’ancienne ville. Nous rencontrons une procession qui s’achemine vers le temple de Wat Phra Singh dont la construction a commencé en 1345 lorsque le roi Phayu [2] : 226–227,cinquième roi de la dynastie Mangrai , fit construire un chedi pour abriter les cendres de son père, le roi Kham Fu. Un wihan et plusieurs autres bâtiments ont été ajoutés quelques années plus tard et le complexe ainsi créé a été baptisé Wat Lichiang Phra. Lorsque, en 1367, la statue de Phra Buddha Singh fut amenée au temple, le complexe du temple reçut son nom actuel. Lors de travaux de restauration en 1925, trois urnes funéraires ont été découvertes dans un petit chedi. On supposait que celles-ci contenaient des cendres royales. Les urnes ont depuis été perdues. De 1578 à 1774, les Birmans régnèrent sur Lannaet à cette époque, le temple fut abandonné et tomba dans un état de délabrement grave. Ce n'est que lorsque le roi Kawila prit le trône en tant que roi de Chiang Mai en 1782 que le temple fut restauré. Le roi Kawila fit construire l' ubosot et agrandir le chedi. Les successeurs suivants restaurèrent le Wihan Lai Kham et l'élégante Ho Trai (bibliothèque du temple).

Tout le complexe du temple a subi d'importantes rénovations sous le célèbre moine Khru Ba Srivichai au cours des années 1920. De nombreux bâtiments ont été restaurés en 2002.

Nous en profitons pour visiter le temple où une cérémonie se déroule en présence de nombreux moines.

Tout à fait par hasard nous rencontrons à nouveau Martine et Daniel qui, comme nous regardaient le défilé de la procession.

Nous passons par de petites ruelles très simples et rentrons pour aller au marché de nuit.

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Publié le 8 novembre 2018

Après une marche de plus de 10 km nous nous arrêtons pour déjeuner. L’apres midi, nous nous reposons avec la mise à jour du blog.

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Publié le 12 novembre 2018

Le hasard quelquefois est curieux. Nous nous retrouvons dans le même bus que Martine et Daniel rencontrés quelque jours plus tôt. Nous décidons de partager un Tuk tuk pour la journée. Visite du temple blanc ou Rat Rong Khun . Il est situé à 13 km au sud de Chiang Rai, en Thaïlande. . Il a été construit par Chalermchai Kositpipat (en), un artiste thaï de renom qui a voulu créer un tribut durable à Rama IX, ancien roi de Thaïlande décédé en 2016, et également honorer sa ville natale.

Celui-ci est d’une blancheur extraordinaire, pour symboliser la pureté du bouddhisme, et incrusté de morceaux de miroir pour suggérer la réflexion de l’illumination. Pour y accéder, le visiteur doit d'abord passer entre deux crocs géants, puis devant un lac parsemé de créatures des enfers.Il devait être achevé en 2008, mais ne sera terminé qu'en 2070. L’ensemble comprendra neuf bâtiments, qui constitueront la vision du paradis bouddhiste sur terre telle qu’imaginée par l'artiste. Le financement du temple est assuré par la vente des peintures de celui-ci, exposées et vendues dans un bâtiment annexe.

Direction le parc de Maé Fah Luang.

Nous rentrons en taxi collectif au milieu de thaïlandais qui vont à la gare routière avec leur sacs remplis de poivre.

7
nov
7
nov
Publié le 23 novembre 2018

Partons pour Doi Maé Salong (la montagne de Maé Salong) .

Village chinois perdu au milieu des montagnes du nord de la Thaïlande non loin de la frontière avec la Birmanie.

Après leur défaite contre l’armée de Mao en 1949, environ 12.000 soldats nationalistes du Kuomintang, menés par Tchang Kaï-chek, se retrouvèrent coincés dans le Yunnan et dans l’impossibilité de rejoindre l’exode pour Taïwan. Après avoir fuit dans le nord du Myanmar (ex Birmanie), ils furent à nouveau chassés par les troupes communistes et se retrouvèrent en Thaïlande. Dans l’impossibilité de retourner en Chine, cette armée de guerriers sans guerre s’est transformée en une milice anti-communiste et a fondé Mae Salong. Pour financer les affrontements persistants au Laos (restes de la guerre du Vietnam) et au Myanmar (affrontements contre la dictature militaire) et privés des fonds de Taïwan, les soldats du Kuomintang, menés par le général Tuan Shi-Wen, se lancèrent dans la production d’opium à grande échelle et Mae Salong devient une place forte de ce trafic dans le Triangle d’Or.

Soutenus par la CIA dans leur lutte contre le communisme, ils poursuivirent la culture de l’opium jusque dans les années 90, quand le roi Bhumibol décida d’y mettre un terme, en remplaçant les cultures de pavot par des cultures de thé (l’un des meilleurs du pays) et de café et en développant le tourisme dans la région. La ville fut ensuite renommée Sintakhiri qui veut dire « la colline de la paix », pour tenter de faire oublier son passé sulfureux.

Mae Salong a conservé ses racines chinoises et la majorité des habitants ont conservé la langue et les traditions.

En plus de cette communauté chinoise, vous rencontrons également des communautés Akha et Hmong sur le marché.

Nous nous arrêtons pour photographier les plantations de thé.

Nous partons pour Doi Tung . Quelques photos sur le trajet. C’est la région des orangers. La première photo est un silo à maïs.

La population de Doi Tung compte environ 11 000 personnes, composées de différentes tribus, notamment Akha, Lahu, Tai Lue et Lawa.

Prenons nos billets pour visiter la villa royale, les jardins.

La villa royale de Doi Tung, ancienne résidence de la princesse mère Srinagarindra, est également située en haut de la colline.

Grâce à l'intérêt et aux encouragements de la princesse mère , les collines ont été reboisées. Elle a également joué un rôle déterminant dans la lutte contre le commerce de l' opium . En conséquence, les tribus des collines locales ont cessé de cultiver du pavot et ont commencé à faire pousser d'autres cultures.

La villa royale a été construite à l’origine comme résidence d’été pour la princesse et abrite désormais un musée où elle expose ses travaux pour améliorer la qualité de vie des populations tribales locales.

Les jardins de Mae Fah Luang sont un parc botanique situé sur les pentes sous la villa royale. Les fleurs et les plantes poussent parmi les formations rocheuses.

Les fleurs de la villa et des jardins sont des fleurs importées de l,étranger pour les visiteurs qui n,ont pas les moyens de voyager.

Les plantations de café couvrent une superficie de 15 km 2 . Il y a 3,5 millions de caféiers à Doi Tung. Près de la moitié de la population de Doi Tung cultive du café et constitue une source de revenus stable pour près de 900 familles .

Finissons notre périple par le mythique triangle d’or.

Le Triangle d'or est une région montagneuse d'Asie du Sud-Est aux confins du Laos, de la Birmanie (Myanmar) et de la Thaïlande (certaines interprétations y incluent également une partie du Vietnam, voire le Yunnan chinois). La frontière triangulaire sur les trois pays se situe au confluent du Mékong et de son affluent en rive droite le Ruakdans l’agglomération de Sop Ruak.

Cette région était très connue pour le trafic de l’opium.

Nous rentrons et contemplons un magnifique coucher de soleil

Nous partons pour le marché de nuit où nous dégustons avec Martine et Daniel une très bonne fondue thaïlandaise. La base en terre contenant des braises est posée sur la table. Dans le caquelon en terre également, on plonge les ingrédients choisis sur l’etal du marchand. Ce peut être du poisson ou de la viande (poulet, morceaux de porc ou de bœuf) qui vont cuire avec du choux et des légumes . A essayer sans retenue.

8
nov
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nov
Publié le 23 novembre 2018

Nous partons en ville pour préparer notre départ pour le Laos. Après consultation de plusieurs agences nous décidons de prendre un bus à 7 heures demain matin pour Chiang Khong et passerons la frontière pour Huay Xai où nous passerons la nuit.

Pour info nous avons enfin trouvé le centre d’information des touristes qui est à la gare routière.f

9
nov
9
nov
Publié le 23 novembre 2018

Un taxi nous emmène de la guest housse à la gare routière où nous prenons le bus (d’un autre âge) qui va nous conduire jusqu’à la frontière Thaïlandaise


. Après les formalités de douane à la frontière Laotienne où nous remplissons les documents à l’attention des Services de l’immigration nous prenons un tuk tuk qui nous emmène à Huay Xai où nous acheterons nos billets pour une croisière de 2 jours sur le Mékong pour rejoindre Luang Prabang et y passer la nuit.