Repos sur l'île de Boa Vista au Cap vert à l'hôtel Riu Touareg
Du 8 au 22 mars 2025
15 jours
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7
mars

Nous avons choisi ce voyage il y a seulement une quinzaine de jours, en cherchant une destination où nous pourrions nous reposer au soleil. C'est ainsi que notre choix s'est porté sur l'île de Boa Vista, dans l'archipel du Cap Vert. Connue sous le nom d’« île aux dunes », Boa Vista nous promet des plages immaculées et des paysages désertiques. Nous nous en sommes remis à Laura de l'agence aquatour pour tout réserver, vols, hôtel, pack excursion en 4x4 et catamaran. Beau voyage en perspective ! Seul bémol, le vol aller depuis Bruxelles est à 5h55. Ce qui veut dire un check-in à 3h00. Et donc une nuit blanche pour commencer.


Boa Vista : Située à environ 400 km de la côte africaine du Sénégal, Boa Vista est l'île la plus orientale de l'archipel du Cap-Vert. Elle abrite des plages de sable blanc aux eaux bleues étincelantes, dont l'une des vedettes est Santa Monica - une étendue de sable de 18 km qui revendique le titre de meilleure plage de Boa Vista.

 Boa Vista au Cap Vert

A 22h30, nous montons en voiture pour rejoindre l'aéroport de Bruxelles à 1h30 de route dans une circulation très fluide à cette heure. Nous arrivons vers minuit au parking interdiscount (réservé à l'avance). Le bus navette pour l'aéroport arrive à peine sommes nous à l'arrêt de bus. Nous sommes les seuls passagers. 20 minutes plus tard, nous entrons dans un aéroport silencieux. Des passagers se reposent à même le sol, d'autres sont attablés au Starbuck, seule boutique ouverte. Nous les rejoignons et patientons jusqu'au check-in, à 3 heures du matin.

Tableau des départs - Aéroport de Bruxelles 
8
mars

A 3h00, nous nous enregistrons sur le vol Tui Fly. Puis nous allons patienter au comptoir d'Assistance pour récupérer un fauteuil roulant, indispensable dans ce grand aéroport quand on a une cheville vacillante, souvenir malheureux d'une chute en Martinique.

Nous attendons en B10 avec un café histoire de rester un peu réveillés pour l'embarquement.

aéroport de Bruxelles 
Vol sans perturbation. 4569km, 7H de vol. 2 heures de décalage horaire 

A 10h50, nous survolons l'île de Boavista.

Arrivée sur Boa Vista

Nous survolons l'île et apercevons le Monte Santo António.

Monte  Santo António

Le Monte (ou Pico de) Santo António, à 379 m d’altitude, est le deuxième plus haut sommet de l’île de Boa Vista. D'origine volcanique, il est situé à 20 km au sud-est de Sal Rei, capitale de l'île. Il fait partie d’un espace naturel protégé au Cap-Vert sous le statut de monument naturel. Le sommet de la montagne est composé de matériaux rocheux, notamment du basalte.

Légende sur le Monte Santo António : Nha Tomás était un vieil homme admirable et solitaire qui habitait le village de Rabil. Nha Tomás vivait seul, cultivant et élevant du bétail sur le sommet de la montagne connue sous le nom de Rótxa de Santantone (Rocca di Santo Antonio), à environ trois cents mètres d’altitude. Cette montagne se trouve à mi-chemin entre Rabil et Povoação-Velha. Sur la crête de la montagne, il avait construit sa maison, une cabane en pierre, recouverte de branches de palmier et de « paglia sóka » ou d’un tapis de paille. Il pratiquait un peu d’agriculture et gardait des animaux. Il obtenait de l’eau à partir d’une petite source qui jaillissait entre deux pierres à quelques mètres de sa cabane. Aux derniers rayons du soleil sur Moro d’Areia, Nha Tomás mourût sans que personne ne s’en aperçoive. Deux jours et une nuit s’étaient écoulés. Le troisième jour, deux garçons qui gardaient des chèvres près de Rótxa de Santantone, entendirent une voix très triste et plaintive qui sortait des pierres et disait : « Depuis trois jours, Tomás est mort !… Depuis trois jours, Tomás est mort !… ». Les deux bergers savaient que Nha Tomás vivait là-haut sur la montagne. Ils se dirigèrent donc rapidement vers le sommet, le cœur battant la chamade. Lorsqu’ils arrivèrent à la cabane de l’homme, ils le trouvèrent effectivement mort : le corps, la tête tournée vers la porte, comme s’il avait essayé de sortir de la cabane, émettait déjà une odeur nauséabonde. Immédiatement, ils s'occupèrent des funérailles de Nha Tomás, le légendaire homme solitaire de Rótxa de Santantone. Encore aujourd’hui, les habitants de Boavista attribuent la voix qui sortait des pierres à Santo Antonio, dont la chapelle se trouve à environ trois kilomètres à l’est de la roche qui porte le nom du saint. Le lieu demeure caché et inspire la peur à tous les superstitieux qui passent par là, surtout dans les heures les plus sombres.

 aéroport de Boa Vista

A la sortie de l'avion, une charmante jeune fille nous accueille avec un "Bom Dia". Car ici au Cap Vert, on parle historiquement le portugais et le créole capverdien (crioulo), un mélange de portugais et de langues d'Afrique de l'Ouest.

Un peu d'histoire sur le Cap Vert et l'île de Boavista :

Quand les premiers Portugais arrivèrent en 1456, les îles du Cap-Vert étaient inhabitées et complètement recouvertes de végétation. L’île porte le nom Boa Vista, qui signifie « belle vue », parce que c’était la première impression de l’explorateur portugais Diogo Gomes. La première ville fondée par les Portugais au Cap Vert, fut Ribeira sur l'île de Santiago en 1462. En 1587, les îles de Cap-Vert deviennent une colonie portugaise dont l'économie locale est basée sur le commerce d'esclaves entre l'Europe et l'Amérique et le commerce de sel que les esclaves récoltaient dans les mines de sel, jusqu'à l'abolition de l'esclavage en 1876. Le Cap-Vert obtient pacifiquement son indépendance en 1975.

Nous montons à bord de la navette pour l'hôtel Riu Touareg avec un autre couple nordiste dont nous faisons la connaissance. C'est la cinquième fois qu'ils viennent sur cette île. Ce qui doit être un bon présage pour notre séjour !

Arrivés à l'hôtel, nous nous délaissons de nos valises. Nous nous enregistrons (formalités obligent) et allons flâner le temps que la chambre soit prête.

découverte du Riu

Nous nous arrêtons au snack Bereber manger quelques fruits avant le déjeuner de 13h30 au restaurant Santo Antão.

Snack Bereber
Notre chambre face à la mer (avec un drapeau rouge toute l'année pour mer agitée et risque de Baïne)
restaurant Santo Antão (sous forme de buffets)

Peu avant 14h, nous recevons un mail pour nous signifier que la chambre est prête. Nous allons donc récupérer la clé et nous poser dans notre "suite", face à la mer.

Quelque peu fatigués, nous nous octroyons une pause lecture sur le balcon en profitant de la vue magnifique. Car à 17 heures, il faut que nous soyons attentifs pour la réunion d'information dirigée par Celia. Elle nous présente le Riu, les activités Fram et passe la parole à sa collègue responsable des excursions. Pour notre part, nos excursions sont déjà réservées. Nous n'avons plus qu'à retirer les bons d'échange.

Puis nous poursuivons notre découverte de cet immense hôtel (1151 chambres).

Fin de cette première journée, le soleil se couche à 18h40 

La soirée sera courte. Le dîner, puis repos avec cette double journée.

9
mars

Nous avons fait le Tour de l'horloge ! Nous sommes fin prêts pour commencer ces vacances au soleil. Premier geste de la journée : ouvrir la baie et aller regarder la mer et ses vagues impressionnantes.

Plage de l'hôtel Riu Touareg  - Praia de Lacacão
 Petit déjeuner

Bien installés sur notre terrasse, nous apprécions un moment de lecture avec le bruit des vagues en fond sonore. Et comme nous n'avons pas grand chose à faire à part prendre le temps sans se presser, "no stress", la matinée passe très vite et nous voici déjà attablés pour le déjeuner. Attention, ici, il est très facile de prendre de l'embonpoint !

déjeuner au restaurant Santo Antão

Pour ceux qui veulent rester toute la journée à la plage, mieux vaut se mettre à l'abri du soleil sous les palmiers (nous voyons beaucoup de personnes violettes se promener dans l'hôtel). De très nombreux transats sont à notre disposition. Il y fait un peu frais avec le vent. Sinon il y a la possibilité d'avancer les transats plus près de la mer, mais attention aux vagues submersives ! On a vu des claquettes, seaux de plage, jouets d'enfant se promener seuls sur la plage emmenés par une vague plus forte qu'une autre. Quelques touristes se sont également retrouvés à genoux dans l'eau sans avoir compris ce qu'il leur arrivait : une vague les a pris par surprise alors qu'ils voulaient faire un selfie dans cette eau d'un bleu irrésistible.

Praia de Lacacão 
A 17 heures, fin de la surveillance de baignade 

Le soleil a commencé sa descente, nous rentrons à l'hôtel juste derrière nous pour un petit cocktail à la piscine désertée car le vent et la disparition progressive du soleil ne sont pas propices à la bronzette.

 piscine principale
coucher du soleil 
L'hôtel dans la nuit 
dîner en écoutant le Live Music Duo
Spectacle "Moulin Rouge" 
10
mars

Au programme de la journée : plage le matin et randonnée de 5km pour ceux qui le peuvent ou lecture.

Petit déjeuner à la terrasse du restaurant, sous la surveillance des moineaux, prêts à venir subtiliser une miette 

Matin : plage et piscine d'eau douce à débordement face à la mer

 plage surveillée
Après une trentaine de minutes en plein soleil, nous allons jusqu'à la piscine à débordement  pour nous rafraîchir
Pause déjeuner 

Après-midi : promenade avec l'équipe fram autour du Riu : 5km. Celia cheffe de centre et Loïc chef animation proposent une randonnée pédestre de deux heures qui passe par le Cap Velho pour une baignade sur une plage moins agitée, la plage de « Pointe de Cruzinha »

 Rando du Riu Touareg jusqu'au Cap de Curral Velho
 Sentier aux multiples aspects de cette île volcanique
 Pause baignade sur la plage de « Pointe de Cruzinha »
Retour au Riu 
Fin d'après-midi à la piscine, plus pour bouquiner avec un jus de fruit, que pour se baigner
Nuit étoilée 
11
mars
11
mars

Ce matin, il a fallu mettre le réveil à 7h pour ne pas avoir à se presser et être à 8h20 au lieu de rendez-vous pour l'excursion de Sal Rei en bus avec le guide Arthur.

 Petit déjeuner en écoutant les oiseaux, alors que la plupart des touristes dorment encore
Route pour Sal Rei 

Nous passons par deux autres hôtels Riu, côte à côte, le Riu Palace et le Riu Karamboa, pour récupérer d'autres touristes français.

Sal Rei

Sal-Rei fut fondée au XIXe siècle par les colons portugais. Pendant cette période, l’île était principalement utilisée pour la production de sel, d’où le nom de la ville « Le roi du sel » (Rei signifie roi en portugais et était utilisé comme titre de respect pour l’importance de la production de sel pour l’économie de l’île). L'exploitation du sel s'est arrêtée en 1979.

Aujourd'hui, Sal Rei est la troisième plus grande ville du Cap-Vert et la principale de Boa Vista avec ses 9000 habitants, la capitale donc. La ville est située près de magnifiques plages préservées, telles que les plages d’Estoril et de Cabral. En face de la baie de Sal-Rei, on peut voir un petit îlot, le Djeu, avec le fort du Duc de Bragance, construit par les Portugais à l’époque coloniale pour protéger la baie des attaques de pirates.

Arrivés à Sal Rei, nous commençons par la visite du Musée du naufrage.

Musée du naufrage

Arthur nous laisse avec une guide du musée pour les explications sur la naissance volcanique de Boa Vista, sur l'arrivée des portugais en 1455, le commerce des esclaves provenant de guerres tribales africaines échangeant leurs prisonniers contre des armes pour poursuivre la lutte, sur la piraterie, les mines de sel (nom de Sal Rei), les naufrages provoqués (phare éteint par la population pour se défendre), ou non, mer dangereuse avec de forts courants, ou le magnétisme de l'île volcanique déréglant les appareils de mesure des bateaux. Au premier étage, la guide nous parle de la pêche de la baleine aujourd'hui interdite tout comme le commerce des tortues qui autrefois se mangeaient. Et pour finir au dernier étage, un bar où il est possible de faire une dégustation de produits locaux (pour nous, c'est prévu à un autre endroit) et d'acheter des souvenirs de l'artisanat local au profit de l'association du musée.

 Première salle : histoire géologique de l'île, colonisation portugaise, commerce des esclaves, naufrages et piraterie
Deuxième salle : la pêche  et l'indépendance du Cap Vert
Troisième salle : artisanat local 

Nous remontons à bord du bus pour nous rendre un peu plus loin, en bord de mer pour le marché au poisson.

Marché au poisson

A côté du marché au poisson, les bateaux de pêcheurs arrivent avec le produit de leur pêche. Ici, les pêcheurs locaux livrent leurs marchandises tous les jours. On peut y trouver en fonction de ce que la mer a offert ce jour, thon, dorade, serra, garoupa et bien d'autres espèces encore.

arrivée des pêcheurs 
port de pêche 
Marché au poisson 

Boutique de souvenirs

Sal Rei n'est pas une grande ville, on s'y déplace plus facilement à pied. Pour nous rendre à notre prochaine étape de dégustation de produits locaux, nous suivons Arthur dans les rues de Sal Rei. Il nous fait faire une pause dans une boutique de souvenirs, trop petite pour pouvoir tous nous accueillir en même temps. Il nous présente le patron, qui nous salue par un "Re-Bonjour" car il nous a déjà, selon lui, salué au travers des tableaux présents dans nos chambres de l'hôtel.

Boutique de souvenirs

Ancien lavoir

Nous nous arrêtons près de l'ancien lavoir. En face de nous, l'îlot le Djeu et les ruines du fort du Duc de Bragance.

îlot le Djeu 

Dégustation de produits locaux

Etape suivante : la dégustation de rhum et produits locaux : fromage de chèvre et miel, semoule et confiture de papaye, mini empanadas au thon, jus d'hibiscus. Cette dégustation se fait dans la cour d'une maison musée que nous ne pouvons malheureusement pas visiter. Priorité à la vente de bouteilles de rhum.

dégustation de produits locaux 

Le Marché municipal

A la sortie de la maison, des femmes nous attendent avec leurs paniers remplis de souvenirs qu'elles tentent de nous vendre avec insistance. Cette insistance, nous allons la retrouver au marché municipal un peu plus loin. Arthur nous y laisse pour une heure de temps libre. A part quelques fruits et légumes, il n'y a que de toute petites "échoppes" de produits souvenirs, toujours les mêmes. Mais on ne peut pas faire trois pas sans être alpagués. Je ne ressens pas vraiment le "No stress" capverdien. Nous sortons rapidement du marché pour aller faire quelques pas sur la plage voisine, peu propice à la baignade.

Plage de sal Rei 

La visite de Sal Rei s'achève. Nous restons sur notre faim avec cette petite excursion où le temps a été plus utilisé pour le commerce que pour la découverte de la ville à mon goût. Car Sal Rei ne se limite pas à ce que l'on a vu, bien au contraire. Il y a d'autres centres d'intérêt comme le Cimetière juif, l’un des biens architecturaux les plus importants de Boa Vista, l’Église de Santa Isabel, un point important de la religion du peuple cap-verdien, principalement chrétien, la chapelle Notre-Dame de Fatima...

Retour en bus (20mn) 

Nous sommes de retour à l'hôtel pour le déjeuner.

Après le déjeuner, nous retrouvons la plage pour notre moment lecture face à la mer.

Ce soir, nous avons réservé au restaurant capverdien, le Boa Vista. Le repas est servi sous forme de buffet pour les entrées froides, chaudes et les desserts. Le plat principal est servi à table.

restaurant Boa Vista 

Et pour clore cette journée, le live music duo et un spectacle de danses africaines.

Live music duo 
Spectacle de danses africaines 
12
mars

Aujourd'hui, nous allons visiter l'île de Boa Vista en pick-up.

Entrée de l'hôtel, point de rendez-vous pour les excursions 

A 9h20, nous montons à bord des pick-up, 4 personnes à l'intérieur, 4 à l'arrière en extérieur. Pour ma part, je m'octroie la place à côté du chauffeur. Attention au coup de soleil pour ceux qui choisissent les places extérieures, certains vont virer au rouge puis au violet en fin de parcours.

A la sortie de l'hôtel, nous empruntons une piste rocailleuse qui très vite devient très sablonneuse.

Nous montons maintenant une dune qui surplombe la mer. C'est un beau spot photo, d'ailleurs nous ne sommes pas les seuls à nous arrêter à cet endroit.

Curral Velho

Le Cap de Curral Velho

Vue sur l'hôtel Riu Touareg depuis le Cabo de Curral Valho 
Le spectacle des vagues venant s'échouer sur la falaise 
le Cap de Curral Velho
la plage de Curral Velho depuis le Cap

La plage de Curral Velho

Nous repartons en pick-up jusqu'à la plage de Curral Velho. Ce qui nous surprend, ce sont les petits coraux qui dépassent du sable. Suite à une explosion volcanique marine, le fonds de la mer s'est soulevé et a créé cette plage de coraux.

la plage de Curral Velho et ses coraux
l'îlot de Curral Velho, réserve ornithologique 

Nous repartons pour le village abandonné de pêcheurs. Nous traversons une petite oasis.

oasis entre la plage et le ville de Curral Velho 

Le village de Curral Velho

Ce village fantôme se trouve le long de la côte sud de Boavista. C'est un ancien village de pêcheurs dont il ne reste que des ruines, hormis une maison qui tient encore debout. C'est celle du père d'un musicien qui l'a retapée en mémoire de son père, d'où la pancarte « Le château de mon père » sur le fronton de la maison. Curral Velho est la plus ancienne colonie de Boavista et remonte au XVII°s. Elle vivait de la pêche et du commerce du sel provenant de la saline voisine. Le sel était vendu aux autres îles du Cap-Vert et au continent. Le village fut abandonné vers le XIX°s, en raison de la sécheresse sans fin et des attaques de pirates. La plupart des habitants du village de pêcheurs sont partis pour la ville.

 village abandonné de Curral Velho
"Le château de mon père" 

Du village, nous descendons vers la saline.

La saline de Curral Velho

la saline de Curral Velho 

Au bout de la plage de Curral Velho, nous arrivons dans la réserve naturelle des tortues, lieu de ponte protégé.

Réserve naturelle de Tartaruga

Toute la côte orientale de l’île est constituée d’une zone protégée, à la fois pour la flore et la faune de l’île. Les plages ont le taux le plus élevé de nidification de tortues qui viennent visiter l’île, en particulier les tortues communes (Caretta caretta), qui sont les troisièmes plus grandes au monde.

Réserve naturelle de Tartaruga 

Nous remontons dans le pick-up et nous arrêtons cinq minutes plus tard pour un autre spot photo.

piste dans la réserve de Tartaruga
mer et lave 

João Barrosa

le petit baobab

Ervatão

La plage d’Ervatão, un morceau de paradis, lieu privilégié pour la nidification des tortues Caretta Caretta de juin à octobre.

de jolies fleurs jaunes émergent du sable 

Nous faisons une pause à la plage. Seuls trois courageux (sur la vingtaine que nous sommes) tentent la baignade, mais pas trop longtemps, elle est assez fraîche ! Attention en se promenant sur le sable. Plusieurs fois, ma béquille s'est enfoncée d'un coup dans le sable, d'une dizaine à une trentaine de centimètres !

la plage

Nous entamons notre traversée de l'île. L'environnement est très changeant. Tantôt du sable à perte de vue, puis des cailloux, puis des rochers, …. Parfois, nous traversons un petit îlots de verdure perdus au milieu de nulle part où des ânes ou des chèvres trouvent un peu de nourriture.

Enfin, nous traversons un village, puis un second où nous nous arrêtons pour déjeuner.

Nous traversons sans nous arrêter le village de Cabeça de Tarafes 

Fundo das Figueiras

Ce village, l’un des trois principaux de la région nord, est connu pour ses rues calmes et ombragées, offertes par les buissons d’hibiscus et de bougainvilliers qui ornent les maisons au rez-de-chaussée, peintes de couleurs vives et avec des volets contrastés.

Pause déjeuner à Fundo de Figueiras 
Restaurant Mansão 

Après le déjeuner, nous avons un peu de temps libre pour nous promener aux alentours. Nous nous rendons à l'église qui est ouverte. Puis nous accompagnons un jeune homme dans sa boutique de souvenir où nous lui achetons un petit quelque chose.

église de Fundo de Figueiras  

Il est temps maintenant de prendre la route du retour. Nous quittons les pistes pour emprunter la route 66 de BoaVista, route pavée longiligne.

nous quittons les villages du nord pour traverser l'île et rejoindre le sud 

La route 66

la route 66 de Boa Vista 
Derniers kilomètres sur des pistes
les ânes se promènent en liberté sur l'île de Boa Vista 
Retour au Riu Touareg 

Ce fut une belle excursion.

carte des visites de la journée 

Nous allons terminer l'après-midi à la piscine.

Piscine à débordement face à la mer 
Dîner au restaurant italien Marcello 
13
mars

Aujourd'hui, pas d'excursion de prévue, mise à part de celle proposée par FRAM : la randonnée pédestre du Cap Velho, déjà faite lundi après-midi. Cette fois-ci, c'est avec Mary.

 Randonnée du Cap Velho
déjeuner au snack
Après-midi à la plage 
dîner au restaurant Boa Vista (commande égarée, puis plat fort pimenté, pas de chance cette fois-ci !)
14
mars

Pas de réveil, pas de rendez-vous, no stress nous sommes en vacances !

Nous profitons de la plage. Bien que le ciel soit nuageux aujourd'hui, il ne faut pas oublier la crème solaire car quand le soleil arrive à percer les nuages, nous ressentons sa chaleur. En fin de matinée, l'indice UV est de 11, ce qui veut dire qu'en 11 minutes, on peut attraper un coup de soleil.

 la plage
 Déjeuner au restaurant principal
après-midi à la plage (après la sieste !) 
Dîner au restaurant italien 

Pas de spectacle ce soir, la majeure partie des touristes sont partis à la Riu party néon au Riu Karamboa : Soirée discothèque animée par les animateurs des Riu Karamboa, Palace et Touareg. Gratuit et all inclusive !

15
mars

Matin relax entre le snack et la terrasse de la chambre. Pas de montre, pas de stress.

 la piscine principale

12h15 : déjeuner rapide au snack

12h50 rendez-vous devant l'hôtel pour la sortie en catamaran.

un intrus dans ce jardin de palmier ! 

Petit couac : nos billets comme ceux de huit autres clients du touareg ne figurent pas sur la liste de la navette pour le port de Pinto navette. Il nous faut attendre que ce soit arrangé entre les agences de transport, voyage, ... et nous pouvons monter dans le minibus. Mais ce n'est pas fini. Arrivés à l'hôtel Occidental, nous devons descendre du minibus sans trop savoir pourquoi, car à part des gestes et des « OK çà va », nous n'arrivons pas à avoir d'explications. Sur cette île où la devise est "no stress", même les chauffeurs commencent à stresser ! Nous montons finalement à bord d'un autre minibus, et cette fois-ci nous arrivons dans le port à côté des conteneurs de marchandises. Nous descendons du minibus et sommes rassurés en voyant arriver un catamaran. Enfin presque, car il y a aussi un car Tui avec pas mal de monde à l'intérieur. Nous nous prenons à compter le nombre de places disponibles sur le catamaran : 64 et le nombre de passagers : 54. Ouf, ça passe ! Encore un petit moment délicat au moment d'embarquer : le catamaran s'amuse à se rapprocher et à s'éloigner du quai d'un bon mètre, au gré des vagues. Mieux vaut attendre qu'il se rapproche pour éviter de devoir faire un grand écart. Quelle expédition (dans la bonne humeur quand même) !

 Catamaran Boat Tours Sea Turtle au port de Sal Rei

Nous voici tous à bord, l'équipage se présente et nous explique les consignes de sécurité et d'évacuation. La croisière peut commencer. L'ambiance va aller crescendo à mesure que les bouchons de bouteilles de champagne vont sauter ! Mais pas que, l'équipage est joyeux et avec la musique tous les ingrédients sont là pour passer un bon moment.

Nous quittons le port de Sal Rei, passons à côté du phare que nous avions aperçu lors de l'excursion Sal Rei, près du marché au poisson. La mer est plutôt calme, le vent souffle, mais du côté ensoleillé c'est agréable, un peu moins du côté du catamaran à l'ombre. Nous longeons la côte pour arriver près d'une grande dune de sable et de la très longue plage Praia de Chaves (près de 5 km quand même !). Là nous bifurquons à bâbord (gauche), et repartons du côté de la grande cheminée et des Riu Palace et Karamboa.

Nous quittons le port de Sal Rei (il n'a rien d'un port de plaisance) 
 Le phare de Ponta da Escuma 
Chapelle notre dame de fatima 
Praia de Chaves 

Chaminé De Chaves

Ce lieu historique est connu pour son ancienne cheminée, le seul élément restant d’une florissante usine de céramique qui prospérait à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. La cheminée, visible de loin, est devenue un symbole de l’île et un point de repère pour les touristes et les habitants.

Chaminé De Chaves 
les hôtels Riu Palace et Karamboa
de nombreux kitesurfeurs 
de belles vagues pour les kitesurfeurs 
les trois éoliennes de l'île sur le flanc de la montagne

Après le Riu Palace et ses kitesurfeurs, le catamaran se rapproche de l'îlot de Djeu. Nous y faisons une pause baignade – snorkeling. L'eau est très fraîche, la mer pas très poissonneuse, mais le cadre est paisible avec le soleil, la mer bleu azur, la plage de sable dorée.... C'est le moment du snack salé : pizzas et beignets de poisson. Le tout avec la musique et les danses improvisées de l'équipage et des voyageurs.

îlot de Djeu 
pause baignade et snorkeling 

Vers 16heures, le capitaine met le cap sur le port de Sal Rei. Les vagues sont plus grandes et le catamaran va plus vite. Dommage pour ceux qui se sont installés sur les filets. Ca mouille un peu et même plus.

grosses vagues 
et c'est pire pour les petites embarcations ! 

Nous sommes de retour un peu avant 17h.

de retour au port de Sal Rei 

Nous remontons dans le minibus sans problème de tickets cette fois. Nous traversons Sal Rei et passons à cette occasion par une rue aux maisons décorées par des figures géométriques en trompe-l'œil.

façades de maisons décorées 
 traversée de Sal Rei

Nous repassons par le Riu Karamboa déposer une employée de hôtel, puis par l'Occidental pour déposer deux personnes qui ont fait l'excursion avec nous et enfin récupérer trois Allemands qui ont fait la sortie baleines et qui retournent comme nous au touareg. Le retour en minibus a presque pris une heure. De quoi visiter l'île...

 route du retour vers le Riu Touareg

Sur le côté de la route, nous avons vu des chèvres qui se promenaient à leur guise, mais aussi des ânes. Nous avons appris que ces ânes avaient été abandonnés quand ils n'étaient plus utiles aux besognes quotidiennes. Ils sont maintenant sauvages. Et la nuit, ils arrivent en bande dans les rues de Sal Rei pour s'occuper des poubelles à la recherche de nourriture.

Voilà, nous sommes de retour pour 18 heures à l'hôtel. Nous nous installons dans un salon pour prendre des nouvelles de la famille (le wifi est présent et gratuit dans tout le resort), en prenant un café ou un cocktail.

décorations des salons à la réception
 les chats de l'hôtel
retour à la chambre pour nous préparer pour le dîner 

Ce soir, nous allons dîner au Boa Vista. Je ferai attention en choisissant mon plat, en veillant à ce qu'il ne soit pas trop pimenté comme la dernière fois.

 dîner au Boa Vista
16
mars

Pour ce matin, il nous a fallu mettre le réveil à 7h afin d'être au rendez-vous de 8h20 avec Pedro (le guide chauffeur de l'excursion du tour de l'île), pour le tour en pick-up dans le désert de Viana.

petit déjeuner des lève-tôt 

Nous prenons la route du Riu Touareg jusqu'à l'aéroport de Sal Rei près duquel on retrouve un troisième pick-up qui nous accompagne pour la matinée.

Route vers l'aéroport de Sal Rei 

Première étape : Rabil, l'ancienne capitale de Boa Vista jusqu'au XIX°s avant que le sel ne la déclasse au profit de Sal Rei.

Rabil

Située plus à l’intérieur des terres, Ribeira do Rabil était autrefois une zone agricole fertile. Mais la pluie venant à manquer, les cultures se sont appauvries voire arrêtées. Rabil était également très connue pour son usine de porterie et fabrique de tuiles exportées au Brésil et au Portugal.

Rabil
On aperçoit le désert de Viana depuis la place de Rabil 

Visite d'une poterie

Un atelier-école de poteries essaie de préserver les méthodes de production africaines. Nous entrons dans une poterie rudimentaire pour comprendre comment l'argile est extraite et conservée pour être ensuite façonnée à la main, ou dans des moules pour les petites pièces, et cuite dans un four au gaz. Les réalisations sont ensuite lissées à l'aide d'un galet. Ce qui est étonnant, c'est que pour réaliser les grandes jarres, le potier n'utilise pas de tour de potier, il réalise la jarre à la main et la polis avec un galet.

atelier école de poterie 

La visite se termine par la petite boutique où on peut trouver de jolies petites choses peu chères.

 boutique de poterie
Musiciens de Rabil 
 point de vue depuis l'atelier école de poterie : l'aéroport et la cheminée de l'usine de poterie
boutique souvenir "no stress" 
Eglise Santo Roque, la plus ancienne église de l'île

La visite de Rabil est terminée. Nous reprenons la route pour le désert de Viana aux portes de Rabil.

Le désert de Viana

Le désert s’est formé au fil des ans, à cause des alizés d’Afrique du Nord chargés de sable du Sahara. Viana change continuellement avec le temps, s’étend et s’élargit, et chaque fois le paysage se transforme.

route de Rabil au désert de Viana 
Montée des dunes en mode 4x4
Arrêt photo dans le désert de Viana 

Bien que le spectacle soit fascinant, il nous faut reprendre la route pour poursuivre le programme de l'excursion.

Bofareira

Nous nous arrêtons dans un petit village pour une pause technique. Arrêt pipi aux toilettes d'une petite boutique. Puis un peu de temps libre pour se poser sur la place à écouter un musicien ou à se promener dans le village.

 Pause sur la place de Bofareira
visite du village de Bofareira (200 habitants) 

Nous repartons pour la plage d'Atalanta en empruntant des pistes (seul moyen d'y arriver), vers l'épave du navire espagnol parti pour le Brésil, échoué en 1968.

L'épave du Cabo Santa Maria

Le cargo espagnol Cabo Santa Maria fut piégé en 1968 sur le sable de la plage d’Atalanta à Boa Vista.

Construit en 1957, dans les grands chantiers navals de Carthagène par l’Empresa Nacional Bazán de Construcciones Navales, c’était un cargo rapide et très maniable qui atteignait facilement 17 nœuds, équipé d’instruments de navigation électroniques avancés et d’un équipage très expérimenté. Il s'est échoué en septembre 1968, transportant de la nourriture. Coup du sort ou coup de chance ? En ce temps de famine, la nourriture du cargo a permis de nourrir la population de Boa Vista pendant plusieurs mois.

L’épave de Cabo Santa Maria est devenue un symbole de Boa Vista et du Cap-Vert. Source d’inspiration pour les peintres et les photographes, ils illustrent souvent des cartes postales, des livres et des magazines et une visite s’impose pour les touristes.

Piste de sable pour arriver sur la plage d'Atalanta 
Epave du Cabo Santa Maria
Plage d'Atalanta 
Oiseaux sur la plage d'Atalanta 

Le programme de l'excursion est bouclé. Nous rentrons à l'hôtel.

Retour à l'hôtel 
déjeuner en compagnie des chats de l'hôtel qui apprécient le poisson 

Après cette matinée bien remplie, nous allons nous poser à la piscine.

Il y a beaucoup de vent en cette fin d'après-midi. La piscine est désertée.

 Dîner au restau italien
café - thé pour terminer la journée 
Bonne nuit 
17
mars

Ce matin, nous profitons de l'air marin, du bruit des vagues allongés sur nos transats, face à la mer. Le rêve, quoi... Mais attention aux coups de soleil. Le crémage est important !

Les ânes du petit restaurant voisin viennent se promener sur la plage et saluer les touristes 
plage de Lacacão 

Après le déjeuner, c'est l'heure de la randonnée de FRAM à la plage voisine. Aujourd'hui, elle est aussi mouvementée que celle de l'hôtel. Loïc, le chef animateur, n'est pas très rassuré. La baignade est écourtée pour ne pas prendre de risque.

 Randonnée Cap Velho
 4x4 ensablé

De retour au resort, nous allons à la piscine. Il n'y a presque personne. La raison réside dans le vent qui s'est levé, le soleil qui ne va pas tarder à se coucher et la fraîcheur de l'eau accentuée par les deux facteurs précédents. Nous y allons quand même, mais nous ne restons que le temps de deux longueurs et un séchage rapide.

Nous ne pouvons plus réserver les restaurants à thème (trois fois l'italien et trois fois le capverdien, zéro pour l'asiatique pour lequel nous n'avons jamais réussi à avoir un créneau). Nous allons donc dîner au restaurant principal.

 dîner
18
mars

Ce matin, après avoir écouté les moineaux siffler joyeusement à la table du petit déjeuner, nous allons déposer nos serviettes sur les transats de la piscine d'eau douce face à la mer. Et nous allons à pied jusqu'au kiosque de souvenir tenu par Aïcha. Nous y trouvons quantités de petits souvenirs à ramener à la famille à bon prix. D'ailleurs pas besoin de négocier, Aïcha le fait pour nous.

Boutique Aïcha 

Les achats dans le sac, nous retournons à nos transats et allons nous rafraîchir dans la piscine.

Hôtel Riu Touareg 
 Pause déjeuner au snack

En fin d'après-midi, nous allons nous installer sur un transat à la piscine principale. A cette heure, il n'y a plus foule, c'est plus facile de se trouver une place.

Piscine principale 

Le premier bassin est aussi frais qu'à la piscine à débordement. Par contre, le second est plus chaud et mène au bar, les pieds dans l'eau. Nous y prenons un cocktail sans alcool, le Merengue (à la menthe).

L'après-midi touche à sa fin et le vent redouble de force alors que le soleil entame sa descente. Nous rentrons nous préparer pour le dîner et le spectacle Africa de l'équipe d'animation du Riu. C'est le meilleur de notre séjour.

dîner 
Live Music Duo 
 Spectacle Africa
19
mars
19
mars

Ce matin, nous nous rendons au self Berebere pour un petit déjeuner tardif, juste à temps pour pouvoir prendre du yaourt, des fruits, des crêpes et du pain perdu. Il faut faire l'impasse sur les churros ! En effet, nous attendions le réveil qui n'a jamais sonné, puisqu'il n'était pas programmé ! Mais bon, à Boa Vista, no stress !

Snack Berebere 

Puis nous sommes allés bouquiner à l'ombre près de la piscine principale. Malheureusement, les transats ne sont pas à l'abri du vent. Mais ce doit être rafraîchissant pour toutes les peaux rougies par le soleil.

 Vue depuis le solarium
Déjeuner léger et à l'heure du gouter
lecture près de la piscine jusqu'au coucher du soleil 

Dîner au restaurant et pour moi dans la chambre car je suis fatiguée (de ne rien faire). Un petit coup de pompe, demain ça ira mieux.

dîner 
Spectacle Grease 
20
mars

Aujourd'hui, c'est randonnée FRAM au Cap Velho. Il y a plus de monde aujourd'hui, c'est sympa !

 Rando vers la plage de Velho 
les chèvres se promènent sur la plage 
 la plage de Velho
Baignade

De retour au resort, nous allons déjeuner au snack Berebere.

Déjeuner au snack Berebere 

Puis nous allons profiter de la plage. Bien qu'ici nous ne puissions pas nous baigner à cause de la force des vagues, nous pouvons toutefois lire en profitant de la mer et du soleil (en veillant à n'y aller que quand les UVs ne sont pas trop hauts).

lecture à la plage 
dîner au restaurant principal 
grand hall de la réception près du bar pour un  café latte 
live muisic 
Spectacle Histoire du Cap Vert 
21
mars

Pour cette dernière journée de vacances, nous ne changeons pas nos habitudes. Nous allons tranquillement prendre notre petit-déjeuner au snack Berebere.

Nous passons faire un repérage dans les boutiques de souvenirs. Il y a des boutiques de vêtements, d'accessoires pour la plage, des jouets pour les enfants, des souvenirs du Cap Vert, de l'artisanat capverdien...

Ensuite, fin de vacances oblige, nous passons voir Celia pour connaître l'heure de rendez-vous pour la navette pour l'aéroport.

Puis la matinée se passe doucement, sans stress : un peu de lecture à l'ombre face à la mer dont la vue ne nous lasse pas.

Vue depuis le balcon

Après le déjeuner, nous retrouvons Celia pour lui remettre le questionnaire de satisfaction FRAM.

un café sur la "place" du resort désertée en début d'après-midi 

Nous attendons que les UVs sont moins élevés pour aller à la plage une dernière fois.

fin d'après-midi à la plage 
Dîner 

Fin de journée dans la préparation des valises.

22
mars

Ce matin, nous nous réveillons bien avant tout le monde. Personne sur la plage, Personne dans le parc, personne au petit-déjeuner...

dernières photos du resort Riu Touareg 

Nous rendons la clef de la chambre et allons attendre notre navette pour l'aéroport. En fait, c'est un taxi qui passe nous prendre. Nous ne sommes que deux à cet horaire (8h20) pour les clients FRAM. Pour les clients TUI, c'est un grand bus bleu qui arrive.

Route pour l'aéroport 
Aéroport de Boa Vista 

A l'aéroport, nous attendons l'heure de l'enregistrement, assis sur un banc, en profitant du soleil. Les valises enregistrées, nous passons les contrôles vite faits, et entrons dans la petite salle d'attente avec restauration et boutiques de souvenirs.

 Embarquement
la piste de décollage face à la ville de Rabil  
 désert de Viana
Au revoir Boa Vista 

Nous nous envolons pour l'île voisine de Sal. Des voyageurs de Bruxelles vont y descendre pour y débuter leurs vacances et d'autres passagers vont monter à bord pour rentrer en Belgique. Cet intermède va prendre une petite heure, pendant laquelle, nous restons à bord, ceinture détachée car l'avion en profite pour faire le plein de carburant.

ciel nuageux entre Boa Vista et Sal 
 Arrivée à Sal à 15 mn de Boa Vista
Attente le temps que les passagers de Sal montent à bord, et que le plein de carburant soit terminé 
décollage de Sal 
13h30 : déjeuner 
Survol de Gran Canaria 
Survol de Fuerteventura
Survol de Lanzarote 
 Survol du Portugal
Survol de Bruxelles
arrivée à Bruxelles avec une heure d'avance 

Nous récupérons nos bagages et allons attendre la navette de bus pour le parking. Mais, nous arrivons à l'heure de la pause. Tous les bus qui déposent des passagers se mettent "en pause". Trente minutes plus tard, la pause est terminée, et nous pouvons monter dans un bus qui nous dépose juste devant le parking Discount. Nous retrouvons notre voiture sous la pluie. Encore une heure trente et nous voici de retour chez nous. Les vacances sont terminées, jusqu'à la prochaine fois...

nos visites sur l'île de Boa Vista