Après avoir parcouru le GR20, entre mare e monti, nous avons sillonné les routes - en voiture - de cette île de beauté, bout de terre méditerranéen, qui revendique fièrement sa culture insulaire.
Du 6 au 20 juillet 2013
15 jours
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Publié le 3 avril 2019

Bribes de mon journal de voyage rédigé quotidiennement lors de notre séjour en Corse, en 2013.

J'ai pris plaisir à y ajouter des souvenirs glanés dans ma mémoire lors de l'écriture de ce carnet en mars 2019.

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L'admirant depuis le vieux port, le soleil se couchait à Propriano et marquait pour moi la fin d'une étape, d'une longue randonnée de 180 kilomètres dont j'avais rêvé durant mon adolescence. Et surtout, il annonçait l'arrivée de mon chum. Notre premier voyage. Voyage qui marquerait une longue série d'aventures.

Rien de plus simple qu'un bus. Après quelques heures, il me déposa à Ajaccio où j'accueilli Sam le lendemain. Le 6 juillet 2013, je m'en souviendrai. Jour marqué par cet atterrissage raté d'un avion à San Francisco. À l'intérieur de ma chambre d'hôtel à Ajaccio, le sympa Spunta di Mare, ne faisaient que défiler en boucle les images du tarmac californien. Mais, après un escale à Paris, mon Sam est arrivé.

Tour génoise. 

Le lendemain matin. Rien de mieux que de commencer ce voyage avec une balade pour admirer les îles sanguinaires. En prime, magnifique vue sur l'une de ces fameuses tours génoises disposées tout autour de l'île: vertiges du système de défense corse.

Sanguinaires. 

Arrêt à Capo di Feno. Plage sauvage et déserte, quoique bien tapissée d'algues.

Feno / Agosta / Isolella 

Route vers Coti-Chiavari: arrêt à la plage Agosta et à la presqu'île d'Isolella. Bain de soleil et eau turquoise. Direction Le Belvédère. Un hôtel-restaurant qui demeure parmi mes meilleures expériences resto-dodo. La vue sur la baie d'Ajaccio est à couper le souffle. Le repas exquis. Abordable en plus: 55 €.

Belvédère.