Aujourd'hui nous quittons l'Allemagne pour l'Autriche.
Comme vous pouvez le remarquer, la météo n'était pas au rdv... En tout cas pour ce matin...
On s'est fié à notre ouvreur allemand pour savoir quand on pouvait remonter les files.Aurélie en avait plein les baskets... De l'eau...
Les Kawasaki ne semblent pas être appréciées à Innsbruck
Vue depuis le train à crémaillère d'Innsbruck
Vue sur Innsbruck depuis la station intermédiaire de Hungerburg. 860m d'altitude.
Vue depuis l'Hafelekar. 2256m d'altitude.
Il faisait très humide et assez froid... On a évité la canicule Exposition Swarovski "le monde de cristal"
Nos "chers" super héros.
C'est bientôt l'anniversaire de Damien...Déambulation dans la rue Marie-Thérèsien-Strasse
Nous avons pu admirer les façades baroques et le panorama urbain.
De nombreux nobles érigèrent leurs demeures près des portes de la ville, en raison de la proximité de la cour seigneuriale. Les nouvelles maisons étaient de surcroît plus confortables que leurs vieux châteaux forts soumis aux courants d'air et plus éloignés. Certains de ces nouveaux bâtiments furent transformés en palais somptueux à l'époque baroque, et peuvent être admirés de nos jours. Mentionnons par exemple le Palais Gumpp - le parlement régional actuel (Landhaus) -, ou, en face, le Palais Trapp avec sa somptueuse cour intérieure et son café.
Cette rue vaut le coup d'œil Les 2 faces de l'arc de triomphe
Un arc de triomphe d’inspiration romaine, au cœur d’une vie urbaine contemporaine et trépidante, encadré de montagnes imposantes et intemporelles. Tel ses pareils de l’Antiquité, il témoigne de l’histoire de la ville. La construction baroque fut érigée au 18e siècle à la demande de l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche alors en pleine organisation du mariage de son fils l’archiduc Léopold à Innsbruck. Nombre de modifications du paysage urbain de l’époque sont ainsi le fait de la « wedding- planner » impériale. La porte de la ville datant du Moyen Âge, à l’entrée de la vieille ville, fut démontée et ses pierres servirent à bâtir l’arc de triomphe. Il fut toutefois richement décoré de reliefs en marbre et d’inscriptions.
La face sud célèbre le mariage. Mais, durant les festivités des épousailles qui durèrent plusieurs jours, l’impératrice subit un terrible coup du sort : son époux et père du marié meurt subitement, la plongeant dans une infinie tristesse. La face nord de l’arc affiche par conséquent des motifs de deuil pour commémorer le soudain décès de l’empereur.
La cathédrale St-Jacques
La cathédrale d’Innsbruck, c’est ainsi que l’on appelle le plus souvent la cathédrale Saint-Jacques, futmentionnée dès 1180. Elle s’élève majestueusement au-dessus des toits d’Innsbruck et jalonne le pèlerinage le plus important de la Chrétienté médiévale – le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Fortement endommagée par des tremblements de terre au 16e et au 17e siècle, elle fut restaurée de 1717 à 1724. Le célèbre peintre allemand Albrecht Dürer, qui admirait l’aspect impressionnant de cet important édifice religieux, l’immortalisa sur une aquarelle bien connue.
Lorsque la musique envahit la cathédrale, ce n’est pas seulement l’œuvre des 3 729 tuyaux et les 57 jeux de l’orgue de la galerie ouest : la cloche de la Vierge du Bon-Secours (Mariahilferglocke) est la
deuxième plus grande du Tyrol. Elle fut coulée en 1846 dans la fonderie historique Grassmayr.
Le carillon de la paix d’Innsbruck, le plus grand d’Autriche, peut être entendu tous les jours à midi : il comporte 57 cloches et pèse au total plus de 4 100 kilos. La tour sud héberge sept autres cloches de la maison Grassmayr.
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Vive la France et l'Italie Notre parcours du jour
265km dont 180 sous la pluieDemain nous prenons de la hauteur et changeons encore de pays ...