grosse envie de soleil, et grosse envie de retrouver l'Afrique.
Ma sœur et moi décidons de repartir en Afrique dès que les fêtes de fin d'années seront passées. Ce sera : le Maroc, partir à Marrakech en avion, puis de saut de puce en saut de puce, en bus, descendre, par la Mauritanie, jusqu'au Sénégal.
A part ces grands axes, nous n'arrêtons aucun itinéraire précis : on avisera au fur et à mesure au feeling.
le premier round a lieu avant Noël : Strasbourg et les marchés de Noel, puis, second round, Paris, Noël avec nos enfants respectifs, et enfin troisième et dernier round, le depart pour Marrakech

Paris-Marrakech, par Ryanair, 33 euros. Auxquels on ajoute les 15 euros de la navette Paris-Beauvais
pas de bagage de soute : juste un bagage de cabine; on voyage léger léger.
.




Marrakech a toujours autant de charme, même si à la longue, on aspire assez vite à en sortir pour aller "respirer" ailleurs
nous allons profiter de ces quelques jours dans la ville rouge pour aller nous balader dans les extérieurs
:
hébergement : https://chacunsonmaroc.blog4ever.com/marrakech
ESSAOUIRA
hébergement : https://chacunsonmaroc.blog4ever.com/essaouira-auberge-de-jeunesse
AMIZMIZ
Essaouira : on y va en bus, CTM, départ le matin, retour le soir
140 dh AR
http://www.ctm.ma/horaires-et-tarifs/acheter-un-billet
le lien vous permet de trouver les tarifs. aucune utilité de réserver en ligne.
on réserve la veille, cela suffit
tous les petits taxis vous permettront d'aller pour quelques dh à la gare CTM, vous pouvez aussi aller un bureau CTM de la gare routière "bab doukkala", aucun souci.
Amizmiz
en bus de ville interurbain ALSA : station sidimimoun, derrière la Koutoubia. quelques dirhams
sur place : une belle balade dans la campagne alentours, avec l’Atlas en fond de scène. magnifique.
Ijoukak : le Haut Atlas, des paysages fabuleux, un village de potiers, une mosquée à visiter.
une jolie halte vers le sud, la route du Tizi N'Test est d'une grande beauté
extraordinaire bleu du ciel en ce début de mois de janvier
pour aller à Ijoukak
. taxi collectif à la station de grands taxi pas loin de sidimimoun près de la koutoubia
. hébergement à Ijoukak : chez Hussein ou bien chez El Majoub
http://chacunsonmaroc.blog4ever.com/ijoukak-1
nous avons été un peu déçues par Taroudant.
mais la ville vaut tout de même un détour, ses remparts en particulier : allez les decouvrir en fin d'après midi, la luminosité donne un spectacle splendide.
"Les remparts de Taroudant, érigés de bastions successifs et percés par 5 portes, dont la principale est Bab el Kasbah, dateraient du début du 18e siècle, les anciens murs ayant été détruits. Par la suite, les remparts on été sans cesse restaurés jusqu’au début du XXe siècle par les maîtres successifs de Taroudant."
et la route qui y mène est très belle
d'Ijoukak, nous avons pris des taxis collectifs : le premier jusqu'à Ouled Berhel, le second de Ouled Berhel à Taroudant. (pas de bus ni minibus)
http://www.sud-maroc.com/cityguide/taroudant/
gros coup de cœur pour Tafraout et sa région.
région splendide, elle appelle à elle seule un petit séjour, en louant une voiture pour en explorer les mille et une beautés naturelles.
Nous décidons que nous reviendrons dans ce coin d'anti Atlas, et en achetons la carte détaillée dans notre hébergement
trajet Taroudant-Tafraout : en "grand taxi" 6 places tout neuf, tout confort.
hébergement : "auberge l' arganier d' Ammelnes" - 180 dh/personne en 1/2 pension
http://fr.ammeo.com/maroc/tafraout/hotel-l-arganier-d-ammelne-hotel.html
en allant et venant dans la région, nous sommes passées deux fois dans cette petite ville très charmante, avec beaucoup d'endroits à découvrir. Cool, calme, belle, une vraie bonne halte dans la région.
nous logerons tout près de la grande place de la médina, en face du souk des bijoutiers et lieu du grand souk hebdomadaire
de beaux jardins, une médina dans ses remparts, la "source bleue" : jolies balades
ha, autre chose : il faut parler des millefeuilles à la crème de noisettes : un pur délice que nous n’avons trouvé qu' Tiznit
hébergement : https://chacunsonmaroc.blog4ever.com/tiznit-hotel
El Ouatia, le port, l' accès à la mer de la ville de Tan Tan
premier port sardinier du Maroc; mais nous ne pourrons pas voir ce port, inséré dans les usines de transformation, et le port de guerre, gardé par l'armée. on ne passe pas ! dommage !
la petite ville est cool, pas bien grande, mais sympa. Pour une rapide étape
il est possible d'aller admirer l'embouchure du Draa (on prend une piste en sortant de Tan Tan vers El Ouatia, sur la droite), suivre la pancarte "foum draa"
le Draa se forme par la réunion des rivières Dadès et Imini dans les montagnes du Haut Atlas, au niveau du Massif de Tizi-N'Tichka à l'est du djebel Toubkal et du Massif du M'Goun, à des altitudes variant de 3 000 à 4 000 m, jusqu’à se jeter dans l’océan Atlantique à Foum Draa au nord de la ville de Tan-Tan et au sud de Guelmim
pour en savoir plus sur ce fleuve
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dr%C3%A2a
hébergement : https://chacunsonmaroc.blog4ever.com/el-outia
nous avons fait de jolies balades le long de la plage
Tarfaya, Cap Juby, les premières dunes, la patrie du "petit prince", les photos de St Exupery au misée de l’aéropostale, le vieux comptoir des pilotes, une ville qui respire la littérature et l'histoire.
hébergement : https://chacunsonmaroc.blog4ever.com/tarfaya-cap-juby-hotel
dernière étape marocaine avant de passage de la frontière, Dakkla est une ville agréable. Peu de "grandes choses" à visiter mais, en attendant le départ pour la frontière, on parcourt la cité avec plaisir.
Avant d'arriver à Dakkla, la lagune offre aux sportifs de belles plages ou le kitsurf est roi.
un endroit à ne pas rater : le port artisanal, ses pirogues et ses pêcheurs, et son poisson roi : la courbine (le thiof des sénégalais)
le retour de pêche : un spectacle haut en couleur
Dakkla, une halte dans le désert
entre la mer à droite et le désert à gauche, avant Dakkla, après Dakkla, toujours le désert : hamada pierreuse qui laissera peu à peu la place aux dunes
Dakkla est une ville plaisante, cool.
Nous sommes passées à Dakkla à l'aller, puis au retour. Nous y avons, au retour, apprécié le confort urbain qu'elle procure, bien différent des villes mauritaniennes. De vastes avenues , un front de mer sympa, des squares avec de nombreux bancs, des terrasses de café accueillantes ...
hébergements :
https://chacunsonmaroc.blog4ever.com/dakhla-hotel
et
hôtel Sahara (un petit hotel dans le centre)
de Dakkla à Nouadhibou, on traverse le désert, on passe la frontière à Guerguerat.
le visa mauritanien s'obtient à la frontière. cout en mars 2017 : 55 euros payables en euros
On prend un taxi collectif à la "gare routière" de Dakkla (4 passagers + le chauffeur, ça va, c'est confort) et celui-ci vous mène à Nouadhibou. Cela coute 500 dh
Nouadhibou, où la pêche aux poulpes
Nouadhibou, le Cap Blanc, ses phoques moines et ses vautours fauves, ses falaises et le banc d'Arguin
nous logerons chez Ali, camping de la baie du lévrier, 6000 la chambre pour deux.
hébergement chez "ali", camping baie du lévrier
Ville capitale, ville surprenante, aux artères constamment encombrées sur 4 ou 5 voies de circulation, totalement la proie des bouchons aux "heures de pointe", aux quartiers périphériques d'une pauvreté déprimante.
pas de bus urbain ni interurbain, pas de trains, mais des voitures individuelles et des taxis collectifs à gogo.
au centre : des marchés, des bâtiments publiques , de grandes mosquées '"saoudienne", "marocaine", selon l'origine des fondateurs-donateurs, quelques jolies rues sableuses et beaucoup beaucoup de crasse.
ville tristounette où l'on sent les tensions qui traversent la société mauritanienne : Beidanes/populations noires, noirs pas haratines/noirs haratines, (haratines : anciens esclaves et encore esclaves).. les femmes sont quasi inexistantes dans l'espace public.
mais malgré tout, ville attachante : gentillesse de ceux qui nous ont accueillies, "quelque chose dans l'air" quoi ...
magie de la route ! 😀
cela fera pour moi trois passages en trois ans à Nouakchott : plaisir de retrouver ces lieux, ces magasins, et aussi Abdou, le patron sympa du troquet ou nous prendrons nos repas.
hébergement
- "la menata" 1 ou 2 même rue
changement de propriétaire et rénovation totale. très bien.
- chez Olivia, Jeloua : plus cher et chichiteux je trouve
c'est une ambiance, la frontière 😀
le passage de la frontière, la traversée du fleuve Sénégal, est vraiment folklorique. si vous y passez : éviter TOUS les intermédiaires qui vont venir vous solliciter : ils vous mettent la tête à l'envers en moins de quelques minutes, se font passer pour un passage obligé. Ils sont saoulant ! on peut tout faire seul sans problème, et surtout sans payer tous ces papillons avides d'ouguiyas.
quelque part en ville, vous prenez un taxi (y'a des carrioles à cheval qui font taxis, vous ne pouvez pas les rater). vous demandez d'aller à la police de la frontière, vous faites vos papiers (visa biométrique 55 euros), vous traversez avec le bac ou une pirogue, on est accueilli de l'autre coté du fleuve par la police sénégalaise : papiers d'entrée au Sénégal (pas de visa), si vous n'avez pas de francs cfa sur vous : demander au gars de la police des frontières il va vous chercher un "changeur'" et vous changez de quoi aller jusque votre prochaine destination. C'est un change au "black" mais c'est au taux légal.
(une appli taux de change sur le smartphone est intéressante)
puis : re-taxi (encore des carrioles à cheval) pour vous rendre à la gare routière, et taxi brousse jusque St Louis
voili voilou
hébergement : https://afriqueparciafriqueparla.blog4ever.com/rosso
Saint Louis, première étape sénégalaise
Nous y ferons deux petits séjours, le premier en arrivant, le second en quittant le Sénégal.
nous serons charmées par cette ville : ville de la mer, (les deux îles), ville du continent, le vent de la mer sur les cocotiers, les jolies maisons du quartier historique, le très vivant quartier des pêcheurs.
hébergement : https://afriqueparciafriqueparla.blog4ever.com/senegal-saint-louis
l'auberge de la vallée est plus centrale et fait aussi auberge de jeunesse
Nous ne resterons que peu de temps à Dakar.
Grande ville agitée, bruyante, polluée, aux axes routiers blindés, aux transports en communs bondés, on ne l'a pas trouvée sexy.
nous avons néanmoins été nous balader sur le littoral : phare des mamelles, statue géante en hommage à l'Afrique, clubs de sport sur la plage alignant par centaines les appareils de musculation, vente d’œuvres d'artistes talentueux....
nous logeons dans une très sympathique auberge de jeunesse : clean, et super accueil.
Senegal - Dakar auberge de jeunesse Dakar International House Adresse : Scat Urbam, cité kheur Khadim 164, Dakar 30000, Sénégal Téléphone : +221 33 827 56 41 excellent accueil , une équipe ...
LES MAMELLES à DAKAR Leopold S. Senghor Les mamelles, ce sont deux collines aux formes généreuses qui dominent la cöte ouest de Dakar. (les seins émergeant du sable d'une malheureuse jeune fille ...
ile de GOREE l'île de Gorée ... principalement connue pour être un des lieux de mémoire de la traite négrière, Gorée est aussi une très jolie localité, aux belles maiusons multicolores, aux ruell...
Ndangane : les bolongs, c'est la première fois que je vais parcourir une mangrove
Nous y allons en prenant à Dakar un minibus (gare routière des grands maraichers)
SINE SALOUM : Ndangane les bolongs et Mar Lodj un village au bord de la mangrove (les "bolongs") des pirogues,des îles et des oiseaux des femmes et des lutteurs de la musique sur la plage Ndang...
la fête à MAR LODJ, musique, danse, et lutte sénégalaise statue vue dans un hotelm à mar lodj fevrier 2017. MAR LODJ une grande soirée de lutte sénégalaise s'annonce , finale d'un tournoi qu...
hébergement : campement Fouta Toro
https://afriqueparciafriqueparla.blog4ever.com/senegal-ndangane
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KAOLACK la ville où il fait chaud chaud chaud Ville étape sur le chemin de la Casamance, Kaolack est une ville sans beaucoup de charme, mais quand on aime vibrer au rythme des villes africaines, on...
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27 heures en Afrique ....ou l'art de la patience | ||
270 kilomètres en 27 heures : une parenthèse drôlatique au Sénégal | ||
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Nous logerons au "Perroquet", hôtel situé tout à coté de l'embarcadère des pirogues villageoises. Sirotant une boisson fraîche, on assiste aux arrivées et aux départ. Passent aussi au large sur le fleuve les bateaux qui rallient Zinguinchor et Dakar (3 navires).
Des fromagers servent de repaires à de grands oiseaux : ibis, aigrettes, cigognes y caquètent toute la journée et barbouillent les branches de leurs fientes : les arbres en deviennent entièrement blancs 😀
une journée à OUSSOUYE c'est la fête au vin de palme à Oussouye ! nous avons cette information en arrivant à Ziguenchor, hop, nous allons participer à la dernière journée, et decouvrirons le vill...
très très beau village, que nous découvrirons durant une longue balade avant d'aller participer à la fête du vin de palme.
Cap Skirring : nous n'en n'explorerons que la belle plage, car ni le reste (la ville) ni l'ambiance ne nous plairont.
Tourisme balnéaire, "vieilles peaux" dans tous les sens du terme s'exhibant indécemment, bof bof !
le temps de regarder sur la carte quelle pourrait être la prochaine destination et c'est reparti !
logement : auberge "no stress" : pas trop chère, bonne chère, bon accueil, belle vue sur mer
petite étape sur la route du retour, nous logeons dans une marrante auberge très agréable, familiale presque.
chez Néné.
Sénégal - Bignona CHEZ NENE Hébergement presquer familial simple mais très bien tenu autre nom : auberge Kayanior 15000 Fcfa la twin 77 650 32 46 33 994 30 14 Quartier Château d'Eau ...
remontant de Casamance vers Kaolack puis Saint Louis, j'ai voulu m'arrêter à Nioro du Rip pour découvrir les cercles mégalithiques de Sine Ngayène (site de Dialombéré).
nous sommes arrivées à Nioro Du Rip en taxi collectif (un "7 places") puis en moto taxi pour trouver notre hébergemen
hébergement
auberge Guantanamo, comme dit le guide du routard, ça ne s'invente pas.
c'est roots, mais à peu près propre, l'accueil est gentil, les touristes ne se bousculent pas au portillon.
- +221 77 504 35 74
restau
nous avons pris nos repas (y compris le petit déjeuner) "chez Gusto", bien, sympa, un bon petit restau local. à environ un kilomètre de l'auberge, sur la gauche sur la grande route qui mène à Nioro centre. (en travaux en ce moment, entreprise chinoise, encadrement chinois). Pour faire
trajet auberge-restau : des moto taxis, très pratiques.
des jeunes très sympa, une nourriture très correcte, et ... ils sont prêts à l'heure demandée le matin, c'est à noter
Sénégal - Nioro du Rip auberge GUANTANAMO auberge improbable située au mileu d'une petite ville ignorée du tourisme, mais qui recèle un patrimoine très important : un important site de mégalithes...
http://afriqueparciafriqueparla.blog4ever.com/nioro-du-rip
Pour visiter les pierres levées
Situées sur Sine Ngayene, on a pris un taxi pour s'y rendre. A 12-14 km de Nioro.
A un moment on sort de la route pour une piste pas toujours en bon état.
assurez vous de la bonne route si vous avez un véhicule ou payez une personne de Nioro qui connait (on a eu du mal à trouver qq qui sache comment y aller). On a demandé à plusieurs taxis avant de trouver un chauffeur qui connaissait. Il connaissait l'existence du site, mais c'est au téléphone qu'un ami l'a guidé, il n'y était jamais allé.Il faut au préalable téléphoner pour avoir la permission de rentrer dans le site, et que quelqu'un vienne vous ouvrir
n° 77 506 25 02
Comme nous ignorions cette démarche, on a eu un mal fou... on a voulu passer par dessus la clôture (très facile), puis on s'est engueulées avec un gars du village venu en courant, qui avait les clefs mais ne voulait pas nous ouvrir car nous n'avions pas téléphoner. une histoire de dingue.
Finalement moyennant finances (2000 dfa/personne) il nous a ouvert.
52 cercles de pierres dressées
52 cercles mégalithiques, soit 1 102 pierres latéritiques et environ 160 monuments funéraires.
impressionnant
un site classé patrimoine de l'humanité par l'UNESCO.
www.au-senegal.com/...s-megalithiques.html
les monuments funéraires : pas vu ??? et personne ne sait où se trouvent les objets et restes humains qui y ont été trouvés. à Dakar ? ça reste à creuser.
www.planete-senegal.com/...neraires_senegal.php
les hypothèses sur l'origine le pourquoi et le comment sont aussi bien floues. Les pierres proviennent d'un site proche.
sur le site : aucun panneau explicatif
entrée du site : une belle pancarte rouillée, et dessous la toute petite avec le numéro à appeler...
Popenguine, jolie halte sur la "petite cote"
une belle plage où nous ramasserons des tonnes de coquillages, dont les "cones" tueurs
les cones tueurs
Extrait de l’émission : UN MONDE MORTEL, TUEURS A GRANDE VITESSE. Le cône est un mollusque vivant dans les récifs. Il attire ses proies à l'aide de son probo...
une petite auberge agréable,
http://afriqueparciafriqueparla.blog4ever.com/senegal-popenguine
une jolie petite ville avec un étonnant site marial genre Lourdes versus Afrique.
la ville chrétienne, la ville musulmane, le village des pêcheurs
après Popenguine, nous remonterons vers Saint Louis, puis retraverserions la Mauritanie, plus rapidement qu'à l'aller, le temps de saluer Abdou à Nouakchott, Ali à Nouadhibou,
nous retrouvons notre hébergement à Dakkla
nous filons plein nord : Tarfaya, Tiznit
à partir de Tiznit, que nous retrouvons avec grand plaisir, nouis longeons la côte jusque Rabat.
Il nous a été très agréable de retrouver Agadir, ville "européenne" du Maroc, cosy. Après les "rudesses" de la Mauritanie et de l'Afrique subsaharienne, ma foi, un peu de confort, ça ne se refuse pas.
Imprimer AGADIR décembre 2012 - octobre 2014- mars 2017 ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------...
arrivant sur Agadir, l'aridité du grand sud a fait place à des paysages plus doux, territoires cultivés, bois et forêts, prés, les bas cotés de la route sont souvent fleuris.
pour une bonne partie; la route longe le littoral
nous longerons aussi les bananeraies de Tamri