Nous sommes arrivés à Wellington, capitale de la Nouvelle-Zélande le 25 février au soir.
Nous avions réservé pour quelques nuits, une chambre très peu chère, dans une auberge de jeunesse en plein centre-ville.
Les galères :
- on a pas mal tourné pour trouver un endroit pour se garer, le parking de l'auberge étant minuscule (on a failli ne pas réussir à en sortir)
- immense déception : l'auberge était miteuse (pièges à rats dans le couloir, installation électrique désuète, sanitaires délabrées et sales, ambiance deal et alcool à l'entrée, personnes à l'air plutôt patibulaires...)
Heureusement, les draps étaient propres. Nous sommes donc restés dans la chambre et avons pu tout de même passer une bonne nuit.
Le lendemain, après une nouvelle panne de batterie, un coup de main d'un commerçant du coin très sympathique, Christophe m'a déposée à la piscine et est allé rouler pour recharger la-dite batterie.
La piscine était superbe, au bord de l'océan, pas très loin du port et les douches étaient équipées, pour mon plus grand bonheur, de sèches-cheveux (très rare ici).
Une petite photo de la jetée à côté de la piscine :
Nous sommes ensuite parti faire un tour autour de Wellington et passer un peu de temps au bord de l'eau, pour pique-niquer et profiter de la vue :
Nous avons ensuite roulé en direction du point de vue du Mont Victoria, où l'on croise beaucoup de joggeurs, cyclistes, familles venues se balader, et où il y a un superbe panorama de la ville.
Wellington est connue pour être très venteuse, ce jour-là nous avons eu de la chance, il faisait plutôt doux malgré les quelques nuages 😀.
Avant de rentrer à l'auberge de jeunesse, nous avons fait un petit tour au National War Memorial & Carillon, à côté de la Massey University, dont les bâtiments sont très impressionnants.
Le lendemain nous sommes allés visiter le fameux Te Papa Tongarewa, musée national de Nouvelle-Zélande, réputé plus beau musée du pays.
Toutes les exposition y sont gratuites, sauf une exposition temporaire. Il y a des urnes à don un peu partout dans le musée et à la sortie des expositions pour inciter les gens à apporter une participation financière libre.
Voici les expositions que nous avons pu visiter :
- "Gallipoli : the scale of our war", exposition très imagée propos de la Bataille des Dardanelles (empire ottoman contre les troupes brittaniques et françaises lors de la première guerre mondiale sur la péninsule turque de Gallipoli)
- Blood, Earth, Fire", exposition très interactive sur l'impact écologique de la domestication de la nature en Nouvelle-Zélande (la vidéo sur les techniques employées par les biologistes pour sauver le Kakapo était vraiment amusante, j'ai pris les photos pour garder un souvenir)
- deux très belles expositions sur la culture maorie avec archives vidéos, reconstructions de bâtiments, bâteaux, vêtements, etc... où il est malheureusement interdit de prendre de photographies pour des questions de droits et de sacralité.
- l'exposition temporaire "Terracotta Warriors : Guardians of Immortality" avec une très belle collection d'art(isanat) ancien chinois, et les fameux guerriers à taille humaine dont ma mamie (Jo) m'avait parlé à Noël :
- l'exposition d'art contemporain (je l'ai faite très rapidement car Christophe était déjà parti du musée depuis longtemps) :
Après toutes ces visites réjouissantes, nous sommes allés voir le Parlement néo-zélandais, dans un quartier où il y avait beaucoup de vent et des architectures très contrastées :
Puis nous sommes partis pour un Free Camp, au nord de Wellington. Il était au bord d'une baie où l'on pouvait observer (et photographier 😉) de nombreux kite-surfeurs et planchistes.