Après avoir récupéré notre 4X4 sur le parking de l'embarcadère, nous reprenons la route (environ 3h) direction Cahuita au sud Caraïbes du Costa Rica. Nous avions réservé une auberge au bord de mer, à 2 minutes du centre-ville.
Première journée, levé 5h pour aller déjeuner, le parc de Cahuita ouvrant à 7h00. Nous vous conseillons d'y aller dès l'aube il fait bien plus frais et les animaux sont de sortie ! Des parkings sont à disposition pour laisser vos voitures 3,50$ la journée.
Il faut à peu près 3h de marche pour faire le tour du parc pour le retour au point de départ nous avons pris un bus pour 3$ par personne. Penser à prendre votre maillot de bain, plusieurs criques sympa et tranquille pour se baigner ainsi que la grande plage dès l'entrée du parc (Attention il faut quitter le parc avant 16h30)
C'est l'un des parc les plus beaux que nous avons visité malgré le mauvais temps. Les paysages sont magnifiques; la plage des caraïbes porte bien son nom.
Un peu d’histoire : "C’est en 1978 que le parc national de Cahuita a été créé dans le but de protéger le superbe récif de corail qui entoure la Punta Cahuita. C’est un petit parc d’environ 10 km2 avec 1 067 hectares de terre et 22 400 hectares en mer. Il reste l’un des plus visités du Costa Rica mais les habitants ont vraiment su préserver leur mode de vie sur place."
Déjeuné bien mérité après une matinée de marche, vous trouverez des restaurants tout le long de la route qui mène à l'entrée du parc. Pour le reste de l'après-midi qui était déjà bien commencée, nous avons protifé de la plage !
Visite du refuge Jaguar Rescue Center, se centre est situé au cœur de la forêt, au niveau de Playa Chiquita. Des visites guidées sont proposées du lundi au samedi, de 9h30 à 11h30. En effet, le reste du temps, le personnel se consacre aux animaux recueillis. Il y a plein de formats de visites différents. Pour notre part, nous avons pris la visite publique à 20$. De plus, notez que tous les bénéfices des visites servent à soigner et réintroduire les animaux.
C’est un couple de biologistes, Encar et Sandro, qui ont fondé le centre en 2008. Avec l’aide de bénévoles, ils soignent et réintroduisent dans la nature tous les animaux qu’on leur apporte. Et c’est là qu’on voit l’ampleur de l’impact de l’activité humaine sur la faune. Eh oui, on ne s’en rend pas toujours compte mais, entre les lignes électriques, les voitures, ou la stupidité des hommes, nous sommes de vrais fléaux pour la faune. Orphelins, animaux blessés ou malades, les bénévoles font un travail exceptionnel auprès de tous leurs petits patients.