Les îles Galapagos sont une merveille de la nature, que les habitants tentent, coûte que coûte, de préserver des influences extérieures. Nous avons pris un vol Guayaquil/San Cristobal (une des trois îles incontournables), payé la tarjeta de transito de 20 dollars par personne et celle de 💯 dollars par personne à l'arrivée. Nous voyageons léger, car il faut penser aux transferts entre les îles, qui ne sont pas faciles ! Nous avons donc laissé une valise à notre hôtel de Guayaquil. Voilà pour le côté pratique.
San Cristobal, son port, son trésor et son côté émotion !
Les bébés sont absolument irrésistibles !
Sur la plage de la Lobéria, nous rencontrons des lions, bien sûr, mais aussi des iguanes marins, aussi monstrueux qu'ils sont inoffensifs.
Nous poussons jusqu'au belvédère de las Négritas, pour y découvrir des frégates, pélicans, fous de Bassan à pieds bleus, mouettes endémiques...
L'odeur iodée, le sable blanc, les pierres noires de lave, le vent tiède me font penser à une ballade au bord de mer, un jour d'été en Bretagne... avec un petit plus !
Le trajet en bateaux rapides qui nous transférent d'une île à l'autre, dure deux heures, et est particulièrement pénible. Le clapot est terrible. Direction île de Santa Cruz.
L'île du milieu, Santa Cruz où nous arrivons à 17 heures à Puerto Ayora sans avoir réservé de chambre. Grosse erreur ! Nous sommes sauvés par un gentil monsieur qui s'avère être un guide du parc national à la retraite. Il nous propose une visite du parc national des 🐢 tortues, dans leur milieu naturel !
Sur la route qui mène au parc national, les gardes du parc tiennent absolument à déplacer une tortue de 250 kgs. Gros casse tête mais à cinq on y arrive !
Une visite époustouflante ! Il existait encore 11 espèces de tortues terrestres jusqu'en 2012, date à laquelle Georges, dernier de sa race, s'est éteint. Il est maintenant empaillé à la Station scientifique Charles Darwin, sur l'île de Santa Cruz.
Charmant accueil à l'île Santa Isabela (l'île de l'ouest) !
Du bleu, du blanc, du noir...
À Santa Isabela, à droite de Puerto Villamil, nous avons fait du snorkelling dans la Concha Perla. Je n'en reviens toujours pas d'avoir vu dans le même champ de vision une tortue marine, un petit 🦈 requin et une otarie ! Celle-ci fonçait sur moi et m'évitait au dernier moment ! Les fonds marins sont tout simplement hallucinants ! Mais je n'ai pu faire de photos.
À gauche du port, la lagune aux flaments roses, et, moins charmant, le mur des larmes, une inutile construction faite par les prisonniers de l'île, afin de les broyer. Fermeture de ce pénitencier en 1959.
Un rêve de plus réalisé : l'un des endroits les plus enchanteur du monde... grâce à ses espèces endémiques si peu farouches !
Place au prochain rêve !