Petites escapades ou grands voyages, un monde à découvrir pas à pas ... Rester c'est exister mais voyager c'est vivre ... G Nadaud

Rouen et l'Armada 2023.

Weekend à Rouen pour profiter de l'Armada.
Juin 2023
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Weekend à Rouen à l'occasion de l'Armada 2023, petite visite de la ville pour commencer.

La vieille ville 




Les halles



Eglise Sainte -Jeanne d'Arc

L'église Sainte-Jeanne d'Arc de Rouen date de 1979. Ses courbures très modernes s'élèvent au milieu de la place du Vieux-Marché, dont le réaménagement s'est achevé la même année. Initialement sur la place, il y avait une église dédiée au Saint-Sauveur. Elle fut la paroisse de Pierre Corneille. On la ferma en 1791 ; elle fut rasée en 1795. Au Moyen Âge et à l'époque moderne, la place était le cœur du commerce des denrées alimentaires de la ville. Sous le Second Empire, sa surface doubla ; on y fit construire deux grandes halles. Quant à Jeanne d'Arc, elle inspira les romantiques et fut à la mode au XIXe siècle. Souvenir longtemps oublié, on finit par se rappeler que la place du Vieux-Marché avait été le lieu de son supplice. Après les dégradations de la seconde guerre mondiale, la municipalité décida d'aménager ce vaste endroit à la mémoire de la Pucelle : construction d'une église et d'un mémorial, mise en évidence de l'emplacement du bûcher ainsi que du pilori où l'on exposait les condamnés. Des maisons à pans de bois furent même réédifiées.Avant 1944 se trouvait, non loin de la place, une vieille église dédiée à saint Vincent, attestée dès le XIIe siècle. De style gothique flamboyant, c'était l'une des plus riches et des plus belles de Rouen. Ses magnifiques verrières dataient de la Renaissance. La ville les fit mettre à l'abri dès 1939. Bonne anticipation : les bombes alliées détruisirent l'église en 1944.La nouvelle église est due à l'architecte Louis Arretche (1905-1991). Son toit épouse la forme d'une coque de navire renversée et la nef accueille treize magnifiques verrières Renaissance de l'ancienne église Saint-Vincent. Ces verrières constituent une étape incontournable d'une visite de la ville de Rouen.




Place du Vieux marché.






Le Gros Horloge

Le beffroi gothique abrite depuis sa construction à la fin du XIVe siècle, les cloches communales et l'horloge de la ville.

Le Gros Horloge est un pavillon de la Renaissance qui enjambe la rue par une arche surbaissée. Sur le double cadran Renaissance, l'aiguille unique pointe l'heure.

Sous le chiffre VI, la divinité qui symbolise le jour de la semaine apparaît, à midi, sur un char de triomphe.

Au-dessus du cadran un globe indique les phases de la lune. Partout des moutons rappellent l'importance du travail de la laine. L'agneau pascal, représenté au centre de l'arcade, symbolise les armes de la ville. Enfin, une fontaine Louis XV complète l'ensemble et célèbre les amours du dieu fleuve, Alphée, et de la nymphe Aréthuse.

Un parcours de visite dévoile l’envers du décor de ce monument exceptionnel. Dans le pavillon, on accède à la salle des cadrans et dans le beffroi, on découvre le mécanisme du XIVe siècle, les premières cloches municipales mais aussi un panorama unique sur la ville.






La cathédrale Notre-Dame

Située au cœur de la ville, la cathédrale Notre-Dame de Rouen est un monument où l'on peut lire toute l'évolution de l'art gothique. La construction de l'édifice a été entreprise au milieu du XIIe siècle, à l'emplacement de la cathédrale romane dont on a conservé la crypte. Une centaine d'années plus tard, elle était achevée mais elle fut remaniée et terminée au cours des siècles suivants.

La façade représente ainsi un précieux témoignage de l'évolution de l'art gothique du milieu du XIIe siècle jusqu'au début du XVIe. La jolie tour lanterne a reçu au XIXe siècle une flèche en fonte qui s'élève à 151 mètres !

La Cathédrale abrite dans le déambulatoire quelques sépultures des anciens ducs de Normandie, telles celle de Rollon, le fondateur du duché et celle de Richard Coeur de Lion, qui aimait tant la ville et fit déposer son coeur dans la crypte après sa mort. Toute l'histoire du vitrail du XIIIe siècle à nos jours peut se lire à l'intérieur de l'église.

Durant les années 1890, le célèbre peintre Claude Monet peint une série de 30 tableaux représentant la cathédrale aux différentes heures du jour et des saisons.





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C'est la manière idéale d'avoir un aperçu de tous les navires avec des explications sur chacun.




Etoile du Roy

Etoile du Roy est la réplique en bois d'une frégate corsaire malouine de 1745. Ce navire 3 mâts de 310 tonneaux avec 240 hommes d'équipage était armé de 20 canons.

Construit en 1996 en Turquie sous le nom de Grand Turk, il est depuis 2010 le navire amiral de la flotte Etoile Marine Croisières. Il est souvent utilisé dans des films au cinéma ou dans des séries télévisées. Basé à Saint-Malo, l’Etoile du Roy est aujourd’hui un extraordinaire navire pouvant embarquer 120 personnes en mer. Il est également un lieu de réception hors du commun.





Le Marité

Portant le diminutif de Marie-Thérèse Le Borgne, fille de l'armateur et marraine du bateau, le Marité est lancé le 24 juin 1923, à Fécamp. Il possède treize voiles et 3 mâts d'un poids d'une tonne, surmontés d'un mât de flèche de onze mètres. Il a pratiqué la pêche à la morue sur les bancs de Terre-Neuve de 1924 à 1929.A son origine, il était destiné au travail de morutier, mais au fil des ans, il est devenu un bateau de plaisance. Propriété d’un GIP composé de nombreuses collectivités normandes, ce navire servit de cadre à l'émission Thalassa durant quelques années.Depuis 2012, le Marité, basé à Granville, embarque des passagers au départ du port de Granville pour des navigations touristiques et participatives dans la baie de Granville, dans l'archipel des îles Chausey ainsi qu'à Cancale.Le Marité aura 100 ans samedi 24 juin 2023, jour pour jour ! Toute la Normandie se mobilise pour célébrer ce centenaire.




La Rouvrance

La Recouvrance est le bateau ambassadeur et la propriété de la ville de Brest.

Son nom provient du quartier de Brest du même nom. Dans la paroisse de Sainte-Catherine (l'ancien nom de Recouvrance), on honorait une statue de vierge, Notre-Dame de Recouvrance qui a donné son nom au quartier. Recouvrer la terre c'est retrouver la terre : on priait Notre-Dame de Recouvrance pour faire un bon retour à sa terre de départ.

La Recouvrance est une goélette à hunier, réplique des goélettes de type « Iris », un modèle dessiné par l'architecte naval Hubert en 1817. Ces bâtiments militaires étaient destinés au transport de plis urgents, à la surveillance du trafic marchand et à la répression de la traite des esclaves sur les côtes d'Afrique et aux Antilles. Elles portaient six caronades de 24 et leur équipage était composé de 50 à 60 hommes.









Le  Thalassa

Sa coque est celle d’un bateau de pêche hollandais le Reliquinda, construit en 1980 près d’Amsterdam. C’est un ancien chalutier à pêche latérale. En août 1984, il coule à pic en percutant une épave de la Seconde Guerre mondiale.En 1995, deux amis, Arnold Hylkema et Henk Stallinga décident de transformer cet ancien bateau de pêche, en dessinant le bateau de leur rêve en reprenant uniquement la coque. Ils le transforment en un grand voilier luxueux. Ils en sont toujours les propriétaires.Le navire grée alors en trois-mâts goélette pour vivre un nouveau lancement sous pavillon néerlandais avec pour port d’attache Harlingen.Ce voilier aux dix-huit cabines voyage beaucoup avec les 34 passagers qu'il peut accueillir en plus de son équipage. Il peut embarquer jusqu'à 120 passagers à la journée.





La Nao Victoria

La Nao Victoria est la réplique du navire qui a fait le premier Tour du monde entre 1519 et 1522, le plus grand exploit maritime de tous les temps. Pour la première fois dans l’histoire maritime, un bateau part et revient dans son port d’attache, Séville, après avoir réussi à réaliser le « tour complet » de la planète.La Nao Victoria est une réplique construite avec une rigueur historique méticuleuse dans laquelle les détails de l’original ont été respectés et constitue un authentique chef-d’oeuvre de la charpenterie ibérique.En 2004, pour commémorer ce premier tour du monde et rendre un hommage vivant au travail des marins espagnols, la réplique de la Nao Victoria entame à nouveau, depuis Séville, un voyage autour du globe.Pendant la période 2004-2006, la Nao Victoria des temps modernes va parcourir 26 894 milles et visiter 17 pays.




Cuauhtémoc 

C’est un voilier de type trois-mâts barque battant pavillon mexicain. Construit à Bilbao en 1982, il est propriété de la Marine mexicaine qui l'utilise comme navire-école. Il est basé à Acapulco.

Il est un symbole au Mexique car il illustre l'esprit de combativité et d'indépendance, par référence à l'empereur Cuauhtémoc « celui qui fond sur l’ennemi comme un aigle ». Ce dernier figure d'ailleurs sur la proue du bateau.

C'est un habitué des défis du monde marin : traversée de l'Atlantique en 22 jours, passage du cap Horn en 1993 entre autres. Il sillonne les océans pour faire connaître la culture, les traditions et l’histoire du Mexique ainsi que pour former la future élite de la marine nationale mexicaine.




Etoile Molène

Pavillon français, emblématique de Saint-Malo. Ce Dundee thonier, construit à l’origine pour la pêche au thon dans le golfe de Gascogne et le chalutage en mer d’Irlande, est familier des grands événements maritimes français.

Un Dundee ou dundée est le nom d'un bateau de travail à voile utilisé à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle en Manche pour la pêche au hareng au filet dérivant, de Groix à Camaret pour la pêche au thon à la traîne, et pour la pêche à la langouste en Mauritanie et le chalutage d'hiver.




Pont Flaubert 

Le pont Gustave Flaubert est le dernier-né des ponts rouennais. Baptisé du nom du célèbre auteur rouennais suite à une consultation publique, il marque la limite du fleuve accessible aux navires maritimes. Le projet d'un sixième pont était approuvé depuis 1972, mais il a fallu attendre le 25 septembre 2008, après quatre années de travaux, pour une mise en service officielle.Chef-d'œuvre d'ingénierie conçu par Aymeric Zublena (Stade de France) et Michel Virlogeux (Pont de Normandie) le pont est devenu un repère dans le paysage urbain. Avec ses énormes papillons perchés à 86 mètres de haut, il est aujourd'hui le plus haut pont levant d'Europe. Ses deux tabliers longs de 120 mètres et pesant 1300 tonnes chacun peuvent se lever à 55 mètres de hauteur en une douzaine de minutes.





Le Belem

Le Belem est le nom d'un port du Brésil. Il est le dernier trois-mâts barque français en état de navigation, classé au titre des monuments historiques en 1984.

Construit à Nantes, utilisé notamment dans les Antilles, puis tour à tour anglais, italien puis à nouveau français, cet ancien voilier de charge, plusieurs fois transformé, motorisé et rebaptisé, pour divers usages. La fondation Belem, en hérite en 1980.

Autrefois destiné au transport de marchandise, aujourd'hui, c'est un bateau école. Il sert à la formation des jeunes, notamment à la Marine nationale pour l’entrainement de ses mousses, et peut embarquer jusqu’à 48 stagiaires. Il offre des stages d’initiation et de découverte aux passionnés.

Sa devise « Favet Neptunus eunti » signifie : Neptune favorise ceux qui partent.

C'est lui qui sera chargé de ramené la flamme olympique d'Athènes à Marseille pour les Jeux Olympiques de 2024.





Le Renard 

Le Renard est un cotre* à huniers, réplique du dernier bateau armé, en 1812, par le corsaire malouin Robert Surcouf (1773-1827).

Créé en 1988, dans un élan de valorisation du patrimoine maritime, l’association Le cotre corsaire – Le Renard s’est fixé comme objectif de faire revivre et naviguer ce cotre, témoin emblématique de l’Histoire de la ville de Saint-Malo.

Depuis son lancement en 1991, le bateau participe, entre autre, à certaines des manifestations nautiques internationales les plus prestigieuses. Il peut, à ces occasions, être affrété aussi bien par des individuels que par des groupes (C.E d’entreprises…).

En outre, chaque année, dans un but éducatif, Le Renard accueille également à son bord les enfants des écoles de la région pour leur permettre d’être sensibilisés aux valeurs du monde maritime, ainsi qu’à leur Histoire ; et leur faire découvrir leur patrimoine, vue du large.





L'Hydrograaf

L'Hydrograaf était un ancien bateau à vapeur ayant servi de navire hydrographique à la Marine royale néerlandaise de 1910 à 1962. Puis il a servi au sein de la Zeekadetkorps avant d'être vendu à un particulier en 1985 pour devenir un navire d'excursion en tant que navire musée.

Son port d'attache est Amsterdam et il peut embarquer 150 passagers.




Belle Poule 

La goélette Belle Poule a été construite en 1932 aux Chantiers navals de Normandie à Fécamp. Elle est la réplique des goélettes de Paimpol qui pêchaient la morue au large de l'Islande, d'où également, l'appellation de "goélette islandaise". Avec la goélette Etoile, son sister-ship, elle est le dernier bâtiment de la Marine nationale à avoir servi dans les Forces navales françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Elles arborent à ce titre le pavillon de beaupré à Croix de Lorraine.

Tout en étant traditionnelle, cette unité en bois de la Marine nationale est une école vivante du sens marin et de la cohésion d'équipage et constitue un outil de formation maritime hors du commun. Basée à Brest, elle participe à l'instruction maritime pour les élèves des différentes écoles de la Marine nationale : Ecole Navale, Maistrance, Ecole des Mousses, etc. La pratique de la voile permet en effet de développer le sens marin, c'est-à-dire la mesure du risque et l'habileté manœuvrière : le bon manœuvrier sait se sortir des situations difficiles et tirer avantages du vent.

A la dimension nautique de ce voilier, s'ajoute une dimension patrimoniale unique. Outre leur mission principale de formation, les voiliers-écoles constituent de véritables ambassadeurs de la Marine nationale et sont fréquemment déployés lors de manifestations nautiques en France comme à l'étranger.




El Galéon

El Galeón ou Galeón Andalucía est la réplique d'un galion espagnol du XVIe siècle conçu et construit par Ignacio Fernández Vial. Il a été parrainé et construit par la Junte d'Andalousie et la Fondation Nao Victoria avec les objectifs de promouvoir le projet Guadalquivir Rio de Historia et de rester à côté du pavillon espagnol pendant l'Exposition universelle de 2010 à Shanghai et devenir ambassadeur de la Communauté Autonome d'Andalousie.

En outre, son voyage a servi à signer des accords avec plusieurs universités andalouses, avec celle de Barcelone et avec celle de Liverpool, pour effectuer diverses études. Il a également reçu le prix Grand Voilier de la Fédération Espagnole de Voile.

C'est une reproduction des galions des flottes de la Nouvelle Espagne, de Tierra Firme et du galion de Manille, qui depuis les ports espagnols ont commercé au cours du XVIIe siècle avec divers ports d'Amérique et d'Asie. Il a été conçu et construit par Ignacio Fernández Vial, après un long processus de recherche historique. Il a eu, dans son premier voyage, un équipage de 32 personnes dirigé par le professeur de navigation Antonio Gonzalo de la Cruz.

Son pont principal porte un beaupré et trois mâts avec sept voiles. La poupe est décorée d'une représentation mariale, l'Esperanza du Triana, dont une réplique se trouve également dans le carré des officiers.

La structure est en bois de chêne, d'iroko et de pin avec un revêtement en fibre de verre. Bien qu'il soit une réplique, il inclut la technologie du 21e siècle, particulièrement pour garantir la sécurité à bord.





Statsraad  Lehmkuhl

Ce serait aujourd'hui le plus grand et le plus ancien trois-mâts carré encore en service mais il est désormais gréé en trois-mâts barque.

Construit en 1914 à Brême, Allemagne, il fut utilisé comme navire-école pour former les futurs marins et officiers de la marine marchande allemande.

L'association des navires-écoles de Bergen se porta acquéreur du navire en 1923 où il est aujourd'hui encore basé.





Jacques Oudart Fourmentin

Le navire doit répondre à des conditions de mer souvent difficiles en Manche et dans l’Atlantique et garantir une présence à la mer de 300 jours par an sur des missions de six jours contre deux jours au maximum pour les anciennes vedettes.

Pour ce faire, le JOF possède un système antiroulis permettant la mise à l’eau en toute sécurité de leurs deux annexes.

Une de ces annexes, un Hurricane H920-10, long de 10 mètres, bénéficie d’une grande autonomie, étudiée pour lui permettre d’atteindre la distance limite de suivi par le radar du patrouilleur.

Le patrouilleur possède aussi de nombreux équipements embarqués tels que des moyens de vision nocturne, de détection (deux radars de navigation), vidéo-endoscopes, densimètres, etc

Le Jacques Oudart Fourmentin est lancé en février 2007.Il porte le nom du célèbre corsaire boulonnais Jacques-Oudart Fourmentin dit Baron Bucaille, né le 22 février 1764.

Affecté à Boulogne sur mer, sa zone de patrouille s’étend sur la façade Manche Mer du Nord jusqu’à 24 nautiques des côtes françaises. Le navire porte de chaque bord sur son avant, le marquage AEM (Action de l'État en Mer). Il s'agit de trois bandes inclinées aux couleurs nationales, bleu, blanc et rouge.

Ses missions principales sont :

  • La lutte contre la fraude douanière par voie maritime (en particulier le trafic de stupéfiants)
  • La contribution à l'action interministérielle de l'État en mer (la lutte contre la pollution marine, le contrôle en mer de la pêche, la sécurité en mer et la police de la navigation)
  • La contribution à la lutte contre le trafic maritime des migrants (l’immigration illégale)
  • Le sauvetage des personnes dans le cadre de l’activité SAR





Capitan  Miranda

Le Capitan Miranda est une goélette à trois-mâts désormais navire-école urugayen depuis 1978. Il fut construit en 1930 à Cadix, en Espagne, pour servir d'abord de cargo entre l'Europe et l'Amérique du sud.En 1960, la marine urugayenne rachète le voilier pour en faire un navire de recherche océanographique. Il est rebaptisé du nom de Capitaini Miranda, officier de la Marine uruguayenne. A cette époque, le voilier n'a que deux mâts.

Dans les années 70, destiné à la démolition, il est réhabilité. Les deux mâts sont remplacés par trois mâts en duralium, et de nouvelles voiles en dacron forment le gréement.

A partir de 1978, il devient navire-école et prend en charge la formation de jeunes officiers de la marine uruguayenne.








La Nébuleuse

La Nébuleuse est un ancien dundee thonier construit au chantier naval Le Hir & Péron de Camaret. Il sert désormais de voilier de croisière au service des entreprises et des particuliers au départ des ports de Lézardrieux et Paimpol avec l’Enez Koalen.Ce voilier de pêche (dundee thonier) a été conçu pour la pêche au large du thon blanc, le germon, et avait un moteur auxiliaire. Le gréement de dundee était composé de voiles auriques. Il était armé par le patron Pierre Marchadour et consorts et pêcha jusqu'en 1987 dans le golfe de Gascogne.Après son désarmement, il fut racheté en 1991 puis restauré par le chantier naval Voiles & Traditions1 (1994-1999) pour le transformer en voilier de croisière. Il est gréé en cotre à tapecul (dundee thonier).








Le Tolkien






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Bain de foule pour s'approcher des bateaux, et éventuellement les visiter ( sur réservation ou longue file d'attente)





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Le feu d'artifice

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Départ des bateaux vers Le Havre, défilé-spectacle le long de la Seine.

Ici à La Bouille avec beaucoup de monde et d'ambiance ! Pour plus de tranquillité, il est préférable de s'éloigner un peu ...






Survol par la Patrouille de France.



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Durant l'Armada les logements sont pris d'assaut et les prix sont doublés voire triplés.

Il faut réserver le plus vite possible !

Ibis Budget Zénith


Arrêt de bus en face de l'hôtel :

Les transports en commun sont nombreux et très bien organisés.

La solution la meilleure pour se déplacer !



"La fabrik" sur les quais au milieu des bateaux avec un menu "spécial Armada"