Quand on arrive dans les environs de la cité de Rocamadour, on ne s’attend pas à la surprise qui vient. On serpente sur les routes bucoliques de la Vallée de la Dordogne, le regard enchanté à la vue des paysages du causse. De temps en temps, les panneaux qui jalonnent la route confirment qu’on est dans la bonne direction et tout à coup, on y est. Selon par où l’on arrive, il n’est pas toujours facile de se repérer.
Majestueuse, suspendue depuis mille ans au-dessus du ruisseau de l’Alzou qui a patiemment creusé son profond sillon dans le calcaire. Mais Rocamadour, c’est un petit dédale en soi, avec plein de recoins plus ou moins cachés, avec plein de trésors à dénicher.
La cité médiévale de Rocamadour qui domine le canyon de l’Alzou est un miracle d’équilibre. Premier choc, la cité, qui est en fait un minuscule village à la réputation mondiale. Bâtie en paliers successifs à flanc de falaise, elle s’accroche sur 120 mètres au-dessus d’un canyon où coule l’Alzou. Ses maisons, ses toits et ses églises semblent faire partie du rocher.
Le sanctuaire.