La douce Albanie en famille

Après presque deux mois de préparation, c'est enfin le jour du départ. Nous rejoignons l'aéroport de Paris Beauvais pour 13H20. Le temps de trouver une place dans le Parking numéro 4 (que nous avions réservé en amont) et de rejoindre le hall d'enregistrement, il est déjà 13H45.

Cependant les enregistrements chez WIZZ AIR ne débutent que deux heures avant le décollage donc nous partons déjeuner dans la pizzeria se trouvant dans le Hall 1. Ce n'est pas de la grande gastronomie, mais ça nous a permis de nous assoir et de déjeuner tranquillement. A 14H20 nous rejoignons la queue qui s'est formée et nous la faisons pendant plus de 30 minutes avant de pouvoir déposer nos bagages.

Nous nous dirigeons immédiatement après vers le passage de sécurité et nous faisons une nouvelle fois la queue. Après une vingtaine de minutes, nous sommes interrogés par la douane qui a fait preuve d'une grande vigilance concernant notre fille (allant même jusqu'à vérifier nos adresses car sur mon passeport j'ai mon ancienne adresse, qui ne correspond ni à celle de mon conjoint, ni à celle de ma fille).

Le contrôle des bagages passé, nous allons nous installer à la porte d'embarquement à 15H45 et c'est le début d'une attente très longue car même si nous étions supposé embarquer à 16H05, à 16H20 nous patientons encore. Les avions sont proches de la salle d'embarquement, c'est le point positif car cela fait un peu d'animation. Mais le temps se dégrade de minute en minute. Et les agents mettent du temps à nous embarquer.

Nous finissons par rejoindre le tarmac à 16H25, sous un vrai déluge ! Puis nous patientons avant de rejoindre l'avion à pied. Nous sommes évidemment trempé. Et du hublot, nous constatons que ca ne s'améliore pas.

Nous décollons finalement à 17H00 (au lieu de 16H30) et le vol se passe plutôt bien. La vue en arrivant en Albanie est déjà très jolie.

Nous atterrissons à 19h15 (au lieu de 19H05) et nous descendons vite sur le tarmac et nous sommes saisis par la chaleur. Il fait encore 28°C.

Entre le passage aux douanes, l'attente au tapis à bagages, l'achat de deux cartes sim, la location de la voiture, et le dîner sur le pouce, nous prenons la route à 22H00.

Dès la sortie de l'Aéroport nous décidons de faire le plein d'essence car nous n'étions pas certains d'en trouver rapidement. En effet, nous avons récupéré la voiture salle (le loueur nous a indiqué qu'il n'avait pas pu la nettoyer) et le réservoir à moitié plein. Nous avons payé assez cher et nous avons constaté en chemin qu'il y a une station tous les 5km environs (et encore parfois moins !) et que les prix diminuent au fur et à mesure qu'on s'éloigne de l'aéroport.

Nous faisons facilement la route entre l'Aéroport de Tirana et la ville de Berat et nous arrivons à notre Airbnb incroyable à 23H40.

Nous quittons Berat à 10H00 pour nous diriger vers la riviera Albanaise. En route, nous sommes parfois un peu surpris de la pauvreté de certaines villes/quartiers mais la route est bonne et nous atteignons en 1H10 le site Archéologique d'Apollonia.

En arrivant à quelques kilomètres du site nous voyons de nombreuses voitures garées le long de la route et des visiteurs monter à pied vers le site. Nous décidons de continuer en voiture pour aller le plus haut possible. Il fait déjà plus de 35 degrès et avec notre fille, nous ne voyons pas faire plusieurs kilomètres sur du goudron. Nous avons bien fait car il y a un parking au pied du site, il est quasiment vide, et il ya des possibilités de stationnement sous les arbres. De plus le parking est gratuit donc il ne faut pas hésiter à rouler jusque là.

Il y a tout de même une petite montée pour rejoindre l'entrée du site et payer l'accès. On nous a remis un plan mais il est pas toujours évident de se repérer car les chemins sont pas toujours bien balisés. Mais le site est à voir car Apollonia est le plus grand site archéologique d’Albanie et que les vestiges sont plutôt impressionnants (même si nous avons trouvé que ce n'était pas très bien entretenu). Le site archéologique s’étend sur plusieurs collines plantées d’oliviers et la ballade est plutôt jolie mais très peu ombragée. Il faut donc prévoir beaucoup d'eau.

Sur le site, il y a une petite taverne et des tables de pique nique. Nous avons testé la taverne et nous avons goûté le poulet qui était plutôt trop cuit. Mais globalement c'était bon et à un prix correct.

Nous avons repris la route à 13H00 en direction de Saranda. Nous avons roulé plus de 2H00 à travers de très beaux paysages et Canyon. Cependant, notre fille étant malade en voiture, nous avons fait quelques arrêts non prévus et nous avons mis un peu plus de temps.

Nous sommes arrivés à notre Airbnb à 16H00 et malgré la très belle vue sur la baie de Saranda, la présence d'un parking privé et l'emplacement du logement, nous sommes désagralablement surpris par le fait que l'immeuble est toujours en construction (seuls deux appartements sont disponibles et habitables) et l'appartement est très peu équipé (pas de sel, poivre, de casserole, de poele, de tire bouchons) alors que l'annonce indiquée la présence de tout.

Nous décidons d'aller à la plage publique de Saranda qui se trouve au pied de notre logement. Il y a beaucoup de monde et nous avons trouvé que c'était assez sale sur les galets et un peu dans l'eau. Nous avions prévu les chaussures de plage et nous ne le regrettons pas ! Mais l'eau est très agréable et assez chaude. Nous apprecions ce premier bain du séjour.

Nous rentrons à l'appartement en fin de journée pour dîner et se reposer de la route.

Nous arrivons au Parc national de Butrint aux alentours de 11H00 et nous trouvons rapidemment une place sur le petit parking à l'entrée du site.

Après avoir payé notre entrée, nous trouvons le plan du site et contrairement au site archéologique d'Apollonia, ici tout est bien indiqué et très bien balisé ! Le site est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1992.

Nous commençons la visite par la bas du site de Butrint et nous découvrons notamment le Théâtre Antique qui est très bien conservé et assez impressionnant.

Nous montons vers le Château Vénitien qui est lui aussi très bien entretenu et nous découvrons une très jolie vue sur la nature environnante.

Puis nous redescendons vers le bas du site pour découvrir notamment le Temple d'Asclépios et le Baptistère.

Après une visite de près de deux heures (nous n'avons pas pu faire tous le site car il fait très chaud et notre fille commençait à fatiguer), nous sommes rentrés déjeuner à l'appartement.

Ce n'est qu'aux alentous de 16H00 que nous reprenons la route pour rejoindre une plage privée d'un hôtel que l'on nous a conseillé : Gjiri i Midhjeve. La fin de la route n'est pas goudronnée mais est totalement pratiquable en voiture. Nous nous sommes garés en haut de la plage sans vraiment savoir si nous étions autoriser à le faire ou non.

En haut de la plage se trouve l'hôtel Bahamas et il y a quelques clients qui profitent des transats. Le prix de deux transats et un parassol est affiché à 10 euros, cependant, nous n'avons vu personne pour payer.

La plage est propre et assez peu fréquentée par rapport à la plage de la veille. Il y a cependant des petites vagues ce qui inquiète un peu notre fille. Mais nous profitons de la plage et de la mer jusque 19H sans aucun problème.

Ce matin, nous prenons la route de la ville de Dhermi. La route se fait facilement et nous decidons de directement rejoindre notre destination (non sans admirer les jolies vues sur la mer qui accompagnent notre trajet). Nous allons directement au restaurant que nous avions repéré sur internet pour déjeuner: Restaurant Prishtina. La spécialité du restaurant est le poulet à la Broche qui cuit devant les clients mais à 12H30 les poulets ne sont toujours pas cuit et nous decidons de gouter autre chose. Nous sommes assez deçu par le déjeuner mais également par l'amabilité du serveur.

Nous avons pu rejoindre notre logement Airbnb à 14h à quelques minutes en voiture de la plage. Le logement est le Rez-de-Chaussée d'une maison avec terrasse privée, dans un jolie jardin et il y a une place de parking privé à l'exterrier de ce dernier. Le logement est bien équipé mais avec une décoration assez vieillotte.

Après nous être installé, nous rejoignons la plage jolie plage publique de Dhermi pour la fin de journée. Nous garons notre voiture sur un des parkings de la côté à 500 leke (5 euros). Pour la première fois, nous avons vu des poiliciers mettre des contraventions et cela ne sera pas la dernière fois pendant les jours qui ont suivis.

Nous arrivons au niveau de la Plage de Jala à 11H00 et nous avons quelques difficultés à trouver un parking avec des emplacements libres. Nous nous eloignons de quelques mètres et nous trouvons un petit parking où le responsable a décidé de doubler le prix de la place à notre arrivée. Nous avons refusé de payer les 1000 Lekes demandés et après une légère negociation, le prix est retombé à son prix affiché en gros sur une pancarte à l'entrée : 500 Lekes. C'est la première fois que nous nous retrouvons dans cette situation en Albanie mais heureusement cela s'est réglé rapidemment et sans encombre.

Nous trouvons rapidemment deux transats et un parassol pour 20 euros. Pour une fois, on trouve que la plage est calme et qu'il n'y a pas de musique de fond. La couleur de l'eau est toujours magnifique mais on ne la trouve pas toujours très propres. On voit floté un peu de plastique et quelques autres détritus.

Après un peu plus de deux heures, nous nous installons dans un restaurant que nous recommandons tant pour sa qualité culinaire, que pour son prix très abordables : Taverna Peshkatari. Nous avons notamment partagé un beau poisson délicieux pour 1300 Lekes (13 euros). Cependant, il ne faut pas petre trop pressé, le service est une fois de plus assez cahotique, mais on finit par s'y habituer.

Nous retournons à notre transat et parassol et nous y passons l'après-midi.

Nous prenons la route pour Tirana à 11H00 et après avoir roulé plus de trois heures, nous garons notre voiture dans le parking de notre nouveau Airbnb. Nous nous installons rapidement dans l'appartement puis nous sortons dans la ville pour déjeuner. L'appartement etant situé à quelques minutes à pied de la Place Skanderbeg, nous nous dirigeons vers elle.

Nous allons déjeuner dans une des adresse que nous consaillait le guide Lonely Planet : Kastrati Tradicional Restorant. Il s'agit d'un restaurant, style cantine, de spécialité culinaire des pays balkans, au premier étage d'un batiment. Nous avons adoré et pour 1 000 Lekes à trois (2 plats, grande salade composée et 3 verres d'eau) c'est très raisonnable !

Après ce déjeuner rapide, nous rentrons à l'appartement pour récupérer notre véhicule et aller à l'aéroport. Nous mettons très longtemps à trouver le representant du loueur (le local était vide ...) mais le rendu en lui même a été rapide. Par contre nous avons du attendre plus de 40 minutes le départ de la navette qui fait l'aéroport - centre ville de Tirana (1 départ par heure).

Nous rentrons à 18H30 dans la ville de Tirana et nous decidons de faire un petit tour dans le centre ville. Nous commençons par le Chateau de Tirana qui est en fait une jolie rue composée de restaurants et de magasins.

A la sortie de cette rue commerçante, sur la droite, il est possible de visiter la Cathédrale Saint-Paul où nous avons découvert la statue de Mère Theresa.

Après cette courte visite nous allons au parc de jeux que nous avions apperçu en bus dans le Parc Rinia ; pour le plus grand plaisir de notre fille.

Après une bonne demi heure de jeux, nous rentrons à pied à l'appartement et nous en profitons pour passer devant différents monuments : Mosquée Et'hem Bey, Bunkart 2 et le Musée national historique.

Aujourd'hui, nous rejoignons le Nord est de Tirana en Bus. Nous partons à la découverte du BUNK'ART 1. L'entrée du site se fait par un très long tunel qui met directement dans l'ambiance "enfermée" des lieux.

Le guichet d'accueil pur payer se trouve au bout du tunnel. Il exsite différents forfaits mais nous avons pris uniquement 2 places adultes pour le BUNK'ART 1.

Au delà du batiment qui est très impressionnant de par sa structure que par son immensité (prévoir 2H00 de visite si on lit les documents/panneaux). On y présente les périodes historiques importantes du pays à compter de la Première Guerre mondiale, jusqu'au Régime Communiste.

Le bunker a été conçu pour abriter les plus hauts dirigeants de l’État et du parti en cas d’attaque nucléaire. Sa construction a duré plusieurs années et comprenait pour l’époque une technologie de pointe, assurant une protection et un confort maximum aux personnes à l’abri.

Nous quittons les lieux peu après 13H00 pour rejoindre à pays le départ du Datji Express. Il s'agit d'un téréphérique qui met un peut plus de 15 minutes pour rejoindre le sommet.

Nous déjeunons au restaurant Dajti Balcony's qui bénéficie d'une très jolie vue sur Tirana et la nature environnante. Et c'est le seuk restaurant où nous avons trouvé un menu enfant !

Après avoir profité une heure des aires de jeux pour enfants se trouvant au sommet, nous redescendons par le téléphérique et rentrons en bus à l'appartement pour ranger et préparer nos valises.

Il y a quelques mois nous n'imaginions pas partir à la découverte de ce pays, et pourtant, quand l'opportunité s'est présentée, nous n'avons pas hésité. Je l'ai découvert lors de l'organisation de mon séjour à Corfou et c'est sans regret que nous avons choisi d'y aller cette année en famille.

Quand nous en avons parlé autour de nous, il y a eu des avis assez mitigés, notamment concernant la pauvreté et la sécurité. Mais on s'est aussi rendu compte que l'Albanie commencait à être connue et reconnue en France comme une belle destination et il y a même eu recemment quelques reportages télé dessus.

Nous avons eu envi de faire un bilan sur nos surprises, découvertes et sentiments.

LA SECURITE 

On avait eu beaucoup de remarques de notre entourage sur ce sujet et nous avions en tête la Mafia Albanaise qui a une certaine réputation. Cependant, à aucun moment, nous ne nous sommes sentis en insécurité !

Par contre nous avons constaté qu'il n'y a pas beaucoup de femmes dans les rue et encore moins à des terrasses de cafés ou de restaurants (à part les touristes) et je me suis demandée si je me serais sentie à l'aise d'aller boire un verre seule ou entre filles à une terrasse uniquement composée d'hommes.

Mais de notre côté, nous avons voyagé à 3 et nous étions très à l'aise de nous balader avec notre fille dans les rues.

LA PROPRETE

C'est pour nous le point le plus négatif de notre séjour car avec notre regard de Français, éduqué à l'écologie depuis de nombreuses années, et porté sur le tri selectif et le respect de l'environnement, notre sensibilité a été plusieures fois heurtée.

Nous avons plusieurs fois par jour, tout au long de notre séjour, vu des Albanais, dont des membres des forces de l'ordre, jetter leurs déchêts par terre sans aucune gène : canettes, cigarettes, sac plastiques ... Nous avons également vu des touristes le faire mais cela restait plus rare. Les rues sont donc sales, tout comme les plages (la palme de la saleté revenant à la plage publique de Saranda) et la mer charie des sacs plastiques, des boules de polystyrène, des canettes ...

Nous n'avons vu des bacs de tri qu'à Tirana, et donc nous n'avons pas pu le faire pendant notre séjour. Vu le nombre de bouteilles d'eau consommées pendant nos vacances (l'eau n'étant pas potable), nous avons utilisé beaucoup de plastique que nous avons du jeté dans les poubelles classiques.

LA PAUVRETE

Globalement, que ce soit à Tirana ou sur la riviera Albanaise, nous avons trouvé que le Pays était plutôt développé et donc nous n'avons pas forcement constaté la pauvreté comme certains décrivent sur des blogs de voyage.

Néanmoins, il est vrai que lorsque nous sommes passés en voiture dans les terres (autour de la ville de Berat), nous avons vu des villes et des masons relativement délabré et nous avons assisté à des scènes dont on a plus l'habitude en France. Par exemple : Nous avons rencontré un homme trainant une charette et son âne pour ramasser les poubelles se trouvant dans la rue où nous nous trouvions.

LES ANIMAUX DE RUE

C'est un point de vigilence car il y a un certains nombres que nous avons croisé tout au long de notre séjour. Globalement, ils ne sont pas agressisf et sont surtout là pour réclamer un peu de nourriture et une petite caresse. Cependant, à la sortie d'une journée plage, je me trouvais à côté de l'un d'eux, il m'a sauté sur la cuisse gauche en montrant les dents et en grognant. Il ne m'a pas mordu mais m'a griffé fort. Nous sommes allés dans une pharmacie pour savoir si il était préférable de faire une piqure par sécurité. Au vue de la profondeur des griffures, et la présence surtout de plusieurs gros bleus, ce n'était pas necessaire. Mais par la suite, nous avons été très vigilent et nous n'avons plus laissé un seul chien s'approcher de notre famille.

LA LANGUE

Nous sommes restés dans des zones touristiques, donc même si les personnes que nous avons rencontré n'étaient bilingue anglais, ils se débrouillaient tous et nous n'avons pas eu de problème pour échanger ou se faire comprendre.

LA FAMILLE

L'Albanie est clairement une destination familiale (et absolument pas romantique selon nous !).

Même si il n'y a réelement de mesure specifique (table à langer ou menu enfant par exemples), il y a beaucoup de familles et donc d'enfants partout où nous allions (restaurants, plages, sites archéologiques ...). Ainsi nous ne nous sommes jamais sentis mal à l'aise de venir avec notre fille. De plus, de façon générale, les Albanais étaient accueillants avec les enfants (petite pensée pour une dame qui a offert son eventeuil dans le bus à notre fille pour qu'elle puisse avoir de l'air).

Sur la riviera Albanaise, il y a beaucoup de plages privées et sur toutes celles que nous avons fréquenté, les enfants étaient acceptés et TRES nombreux. En tant que parents c'est agréable car nous n'avons pas peur que les bruits de notre fille déranges nos voisins, mais pour les couples ou les visiteurs souhaitant se reposer ... ce n'est pas du tout le bon plan.

L'ARGENT

Même si l'Albanie n'est pas en zone euro, nous n'avons trouvé aucun endroit qui n'accepte pas l'euros (sauf dans certains suppermarchés). La possibilité est toujours donné de payer soit en euros, soit en Leke. En général ils pratiquent le 1 euro = 1 Leke, mais comme le taux varie parfois on a eu des taux de change de 1 euro = 98 lekes.

Nous n'avions pas trouvé de bureau de change à Paris pour transformer des euros en lekes ; donc à notre arrivé nous nous sommes précipité sur le bureau de change se trouvant au niveau des tapis à bagages, juste après les douanes. Ce fut une grossière erreur, car le taux de change n'est pas du tout avantageux. Le jour de notre arrivé, c'était 1 euro = 91 lekes.

Notre conseil est de venir avec des euros, et généralement quand vous payez, la monnaie vous est rendus en leke ou un mix de leke et d'euro (une petite gymnastique mentale est à faire). Et si vous avez une préférence sur l'euro ou le leke, n'hésitez pas à leur demandé.

Dernier conseil, venez avec beaucoup de monnaie car les taux et frais bancaires pratiqués dans les distributeurs sont enormes.

LA NOURRITURE 

C'est une gastronomie qui ressemble beaucoup à celle pratiquée en Turquie ou en Grèce : de la viande, du poisson et des salades. On y mange très bien et il y en a pour tous les goûts !

A noter que nous n'avons trouvé qu'un seul restaurant qui avait un menu restaurant. Mais les plats étant copieux, nous avons pu partager avec notre fille.

D'ailleurs, en Albanie, il est de coutume de prendre plusieurs plats et de les partager.

Enfin, beaucoup de restaurants n'ont pas de dessert, ce qui nous a beaucoup surpris !