Arrivé sur le sol bulgare pour la première fois, je quitte sans tarder le terminal de l'aéroport de Sofia pour rejoindre le métro.
Mes premières impressions sont bonnes puisque les bulgares semblent très courtois en montant / descendant des rames.
De plus, les gens m'aident volontiers à trouver mon chemin. Une dame âgée ne parlant pas un mot d'anglais est même venue à moi sans que je lui demande pour me renseigner.
Je trouve finalement, non sans peine, l'arrêt de métro desservant les gares centrales (routière et ferroviaire).
J'achète mon billet de bus pour Plovdiv avec un départ à 16h30. Cela me laisse une heure pour me restaurer.
Je me rends dans un supermarché et je goûte la boza. Il s'agit d'une boisson fermentée et sucrée à base de farine grillée qu’on aime beaucoup en Orient.
De mon côté, je dois avouer que je n'aime pas beaucoup ça.
Je mange également un pain au raisin qui n'est largement pas à la hauteur de ceux que l'on trouve en France.
Après deux heures de trajet, j'arrive à Plovdiv alors qu'il fait nuit.
Capitale européenne de la culture en 2019 et englobant les deux rives de la rivière Maritsa et sept collines, Plovdiv comprend un centre moderne avec zones piétonnes et commerçantes, et surtout un exceptionnel centre ancien où les étroites rues pavées sont bordées de maisons de l’époque de la Renaissance nationale et d'autres plus anciennes, datant pour la plupart des XVIIIe et XIXe siècles.