Avril 2008 :
Les enfants ont 7 ans 1/2 et presque 10 ans. Nous avons renoué avec les voyages 2 ans auparavant avec 15 jours inoubliables au Maroc et décidons de repartir au printemps : hors saison, donc moins de monde et moins cher. En plus, dans nos Alpes, si nous avons apprécié la neige et le ski, les beaux jours et la chaleur se font attendre...
Des amis et mes parents nous ont parlé de la Sicile : c’est au sud, il y a la mer, il y a des volcans, c’est culturel, on y mange bien : vendu !
En plus c’est accessible en bateau depuis Gênes, donc on peut y aller avec le combi : top !
Samedi 12 avril :
Nous avions chargé et préparé le VW dans la semaine, M. et les enfants finissent les préparatifs alors que je travaille le matin… Après le repas de midi, nous fermons la maison et zou, en avant, on n’a rien oublié, on part !
Tunnel du Mont Blanc, Vallée d’Aoste, longue autoroute vers le sud, viaducs et tunnels le long de la méditerranée, imbroglio de bretelles en arrivant sur Gênes et nous voilà au terminal des ferries, pour le check-in, avec une bonne heure d’avance.
20 h : on gare le VW dans le garage du bateau et nous rejoignons notre cabine
Le ferry lève l’ancre et c’est parti pour 20 heures de traversée.
Dimanche 13 avril :
Grasse matinée, petit déjeuner sur le pont supérieur, au soleil. Jeux de cartes, lecture, visite du bateau, pique-nique au soleil, sieste, re-lecture, repos…
Vers 17h, Palerme est en vue. Nous débarquons à l’heure.
Nous n’avions pas prévu de visite de la ville, mais puisque nous sommes là, nous trouvons une place de parking sur le front de mer et faisons une petite balade à pied dans de vieux quartiers en attendant l’heure du repas.
Sur les conseils du Routard, nous choisissons une trattoria pour notre premier repas sicilien. Le buffet d’antipasti fait saliver et s’écarquiller les yeux des enfants (on prend vraiment ce qu’on veut ? oui !!!) et en effet, c’est une tuerie ! Les spaghetti aux vongole sont juste parfaits. Si ça continue comme ça, on sent que ça va nous plaire !
Nous reprenons le VW pour une vingtaine de kilomètres jusqu’au camping (où nous avions prévenu que nous arriverions tard).