Lundi 22 juillet : bien arrivé au parc de Karijini grand comme les Vosges, décrit comme un oasis du désert. En effet il n'y a plus d'eau nul par quand on passe sur les ponts et là il y en a encore !
On commence la visite par un petit trek de 2heures à travers les gorges qui mènes à des piscines naturelles et cascades, et par moment, obligé de se mouiller les pieds.
Pour l'après midi, on part dans d'autres gorges qui mènes également à une piscine, c'est reparti pour 2heures. Par contre là c'était plutôt original. On descend et puis d'un coup pour continuer, pas d'autre solution que d'aller dans l'eau ! J'avais pas prévu mon maillot de bain et l'eau est glacé ! Bref, après quelques minutes de réflexions j'enlève mon jean et on y va, une vingtaine de mettre à faire avec de l'eau à 15° jusqu'à mi-cuisse.
Ce qu'on a dû traverser.
Ensuite, pour continuer, on doit escaler, et se déplacer en longeant l'eau pour arriver au prochain point. Je suis pas du tout à l'aise, j'ai peur de tomber et c'est assez étroit pour poser ses pieds.
3ieme point, ils appellent ça la "spider walk", car il faut descendre un petit cours d'eau très étroit, pour pas se mouiller, il faut enjamber et marcher au-dessus du court d'eau en se tenant aux extrémités et s'aidant de ses bras et jambes. (Moi j'ai décidé de me mouiller)
Photo 1 et 2 : l'entrée de la descente
Photo 3 : vue d'en bas
Et la piscine finale 😀
Jour 2 : la veille on avait décider d'aller escalader le Mont Bruce au réveille car il prévoit 6heures aller retour. C'est donc après une superbe nuit dans un free camp à côté d'un croisement entre une voie ferrée et la route avec des trains toutes les heures sans relâche et qui klaxonnent pour signaler leurs présence qu'on commence à 7h30 et il fait plutôt assez froid 🥶.
On voit en première une mine, explication du nombre interminable de train toute la nuit.
On grimpe, ça monte, ça descend, plutôt tranquille pour le début. Après les choses se compliquent, on doit escalader (encore) et traverser la colline avec toute la roche en haut.
Là, la vue est plutôt vertigineuse, pas trop confiante encore une fois, on a du passer à droite de la photo.
On peux aussi voir tout ce qu'on a déjà marché.
Arrivé en haut de cette colline, il faut donc maintenant la traverser, le vent est assez violent, face à nous et gelé, se qui nous aide pas vraiment, surtout moi ^^, contente d'avoir pris mon écharpe.
Plus que 1 colline à monter, la dernière ! Et ça grimpe ! Pour notre arrivée, tellement content qu'on court les derniers mètres comme dans Pékin express. Il nous aura fallut 2h pour monter 😀 . La vue est à 360°
La redescente
L'après-midi on sera aller visiter un dernier spot. Au final, on aurai su, on n'y serait pas aller. C'était que de la gravel road sur 100kms aller-retour et au retour, arrivé à la ville le pneu perce (on a eu de la chance de pas percer au milieu de nul part).
Bref impossible de dévisser les boulons ils sont trop serrés et ça tord notre truc, un autre monsieur essaie également sans succès. Obligé d'appeler un dépanneur, bim 100$... il arrive et dit à Romain d'aller à la salle... bref il n'y arrive pas non plus et est obligé de répartir car il n'avait rien pris pour dévisser... Roue changé, on va à son garage pour acheter une nouvelle roue, il nous dit que pas besoin de changer les 2 (bon ok...). 220$ pour le dépannage et une nouvelle roue, on trouve ça assez cher mais pas le choix on dit ok. Et la le mec nous ramène une roue et c'est tout, sans changer la roue de secours et nous la monter. Il nous dit que ça ira pas besoin. Ok... inchalaah 😉