Alberobello, le village des Trulli classé à L’unesco.
Je m’attendais à voir ce village conservé au milieu de nul part, bordé de parking à touristes, il n’en est rien, Alberobello est une ville assez grande et les Trulli sont répartis en deux quartiers :
Le premier plus grand et rempli de boutiques et de touristes qui vont avec et le deuxième plus petit mais plus authentique … je vous conseille le deuxième bien sur … (Mais les inscriptions mystérieuses sont sur les toits du premier)
J’ai pu me promener quasi seul dans ce quartier, les trulli présents sont toujours des habitations, certains habitants les décorent avec gout, je me suis senti bien dans ce quartiers, on peut y ressentir le calme et la sérénité qu’inspire ces habitations.
13h Direction Ostuni « la blanche », c’est vrai qu’elle est imposante quand on la voie se dessiner au fond du paysage … La pizza de ce midi est dégustée au bistrot Garibaldi, malgré son emplacement qui fait penser à l’usine à touriste, la pizza était délicieuse et peu onéreuse (8,50 eur) je recommande :)
Un fois quitté la Piazza della Liberta, je me faufile dans les ruelles qui montent (à l’opposé de la Cathédrale). C’est dimanche et dans ce dédale de rues accessibles qu’a pied on s’imprègne vite de l’ambiance locale, ça parle beaucoup dans les maisons autour du repas dominical, l’odeur de lessive s’échappe par moment du linge qui pend au fenêtre, je ne connais pas (encore !) Naples mais par moment je me demande si le décor n’est pas similaire.
Les façades ne sont pas resplendissantes mais ca sent l’authentique et ça, ça me va ;)
Une fois redescendu j’attaque l’autre versant, celui qui mène à la Concattedrale di Santa Maria Assunta. les rues et petits escaliers sont vraiment pittoresques, la cathédrale et moins impressionnante que d’autres visités auparavant à Lecce mais les ruelles voisines offrent ce spectacle immaculé de blancheur qui donne son surnom à la ville. Le ciel bleu et les façades blanches quel contraste saisissant, à voir forcement ;)