Avant de vous parler de ces fameux temples, il faut que je vous raconte ce nouveau passage de frontière. Ça y est ! Vous savez que ce passage symbolique me retourne l'estomac et la tête, alors pour ne pas m'en faire j'avais décidé (ou on m’avait conseillé, incité, ordonné !!!) de laisser cette gestion à ma moitié car il parait qu'aux douanes je stresse tout le monde y compris les enfants. SOIT ! Je me laisse donc porter. Enfin, c'est quand même moi qui doit remplir en quatrième vitesse les cartes d'entrées et de sorties du territoire pour nous quatre… Mais pourquoi on a donné tant de prénoms aux zagziguettes, ça n'en finit plus !
Ami voyageur et futur parent, penses-y ! Trop de prénoms = temps inutilement gaspillé ET très, répétitif que ce soit aux rentrées scolaires ou aux passages de frontières ! 😇
On descend donc de l’avion avec nos 4 cartes remplies, et on…
Mais non ! Je dois en reécrire d’autres, pour ne rien declarer en douanes 🙄….
Jéjé s’arrête au distributeur qui nous donne directement les dollars pour payer le visa. Jusque là tout roule ! Sauf que Jéjé s’écrie « M… » ou plutôt « saperlipopette » et que là le Jéjé commence à te transpirer des gouttes grosses comme…des chenilles !
Ahhhh cauchemard ! Il faut une photo et nous les avons…. Dans le gros sacs à dos qui est en train d'être déchargé de l'avion ! Inutile de vous dire qu'à ce moment là, ce n'est plus un nerf qui m'anime mais le paroxysme d'une boule de nerf 😤!
Jéjé n'en mène pas large non plus ! D’habitude, on check tout à deux pour ces passages et là…je ne sais pas ! Notre cerveau à une fuite ?!
Le premier douanier à l'extrémité d'un très long comptoir en L est l'anti image de l'amabilité. Cela aurait dû nous mettre la puce à l'oreille... encore que le critère de recrutement de tous les douaniers du monde doit étre de ne pas sourire ! Ami lecteur et douanier ne m'en veut pas ce n'est pas personnel, c'est juste la fonction qui me...
Je ne sais pas quel instrument de torture lui est familier, à ce douanier lå, mais il répète le même mot encore et encore après avoir demandé les photos, pour finir par nous cracher « Money » et nous faire signe de dégager au douanier suivant. Nous suivons nos passeports en parallèle du meuble de style stalinien. Ils sont ouverts, scrutés, puis passés aux suivants… C’est long, légèrement anxiogène pour moi. Enfin, encore plus 😰
Au bout du comptoir : deux grappes humaines de part et d'autre. Nous sommes du côté des entrants, agglutinés, tentant d'entendre l'appel de notre nom. De l'autre, une grappe de personnes, dont un qui s'agite plus avec une série de tampon, un autre qui prend son temps pour regarder les photos et lire les noms à haute voix avec un petit rictus un rien condescendant….
Tu sens que l'homme est en pleine jouissance des quelques secondes de pouvoir que lui confère son poste… Pfffff… Entre eux, des observateurs ? Assistants ? Consultants ? Experts visuels en détection d'espion et de terroristes ? Notre passeport passe entre de nombreuses mains… et finalement c'est par le nom de French que nous serons appelé !
Allez, on a le sésame pour un mois, nous devrons sortir d’ici au 7 janvier 2019. C’est la première fois que l’on a une auberge de jeunesse qui vient nous chercher tel des VIP à l’aéroport. Et bien… ce n’est vraiment pas désagréable ! (D'ailleurs, on vous la recommande pour le rapport qualite-prix 23 usd pour une immense chambre de 4 avec sdb et clim et piscine et calme à deux pas de tout : Hostel In deluxe siem reap )
Siem Reap, voici le retour des Quequin, 12 ans plus tard et avec deux extensions !
Nous avions tellement aimé cet endroit et surtout les temples d’Angkor en 2006 que nous voulions absolument les montrer à nos enfants et espérions secrètement qu’elles puissent y vivre la même chose et ressentir un peu de l’excitation de se croire un Indiana Jones. De ce tour du monde ci, c’est donc le seul lieu que nous connaissons où nous retournerons. Nous avons en effet eu une expérience précédente nous démontrant à quel point il est difficile d’accepter les changements dans un endroit que l’on a beaucoup aimé (Thaïlande). Aussi, nous avons choisi de ne pas mettre nos chaussures dans nos anciennes traces ; et puis, le monde est tellement vaste…
A ce point du récit, je ne vais pas encore vous dire si nous avons bien fait de revenir ! Patience !
L’arrivée nous donne un premier choc, l’aéroport en est devenu vraiment un… Exit les 4 tôles ondulées, des bus ne nous permettent plus de fouler le tarmac, les orchidées sont bien là.
Les tuks tuks 2 places se sont majoritairement transformés en « remorque » 4 places ce qui nous arrange grandement ! La route d’ici à la ville, noyée dans la végétation auparavant et l’éternelle poussière jumelle des pistes, , est maintenant ceinte de resorts démesurés, grandiloquents de quel monde de consommation ???
Interloqués, nous retrouvons Siem Reap, bien changée quand même. Ici, les pistes en terre rouge ont disparu ; là, des ponts piétons se sont élevés ; plus loin, des quartiers à étages sont nés. Le marché est plutôt exsangue, les vendeurs autrefois de babioles souvenirs mais aussi de choses pour les locaux, n’ont plus que les babioles ou les mêmes tshirts… et c’est donc une vision plutôt uniforme de produits présentés différemment qui s’enchaine dans ces échoppes empilées. Si, une toute petite partie du marché reste consacrée à l’alimentation… Il faut dire que la concurrence des supermarchés est grande. Incroyable, avec caisse à codes barres et tout et tout ! Ah mondialisation quand tu nous tiens ! Car nous aussi, nous y fairons quelques emplettes…
Non ce n'est pas du whisky mais de l'essence. Notre auberge de jeunesse VIP. Carte qui me rappelle l'école primaireIl y a aussi eu un grand nettoyage visiblement, plus de mutilés mendiants en vue, ou d’orphelins snifeurs de colles et autres substances. Je n’ose imaginer le sort qui leur a été reservé, car à l’instar du traitement de la misère en France, les touristes ne doivent pas les voir… alors déplacement, suppression ??? Les personnes à qui j’ai posé la question ont rapidement éludé et changé de sujet… Malaise !
Par contre, la petite rue qui contenait quelques restos de et pour les expats et touristes s’est démultipliée en un endroit où la bière et autres coulent à flot, la bien nommée « pub street » phagocyte les maisons pour étendre des terrasses avec rectitude d’alignement de canapés lounge, fauteuils…
Bientôt, les deux conso pour le prix d’une, les dj, les lumières vont se déchainer… Je suis médusée d’un comportement suggéré. Je suis quand même avec nos deux zagziguettes et on me propose de l’évasion chimique ! Ben ça, alors ! Ok, on nous a aussi propose une fish pédicure ! Alors ça ! Ça doit être trop drôle : tu plantes tes pieds dans des aquariums au milieu de tout ce monde de dingue et tu hurles dans l’oreille de ton voisin un truc quelconque puisqu’il ne peut pas t’entendre avec le son qui est balancé tout les 5 mètres… C’est comme si tu faisais ta pédicure en pleine boite de nuit à ciel ouvert ! Etrange non ? Peut être que si je reviens dans 12 ans, on me fera les sourcils entre deux plats aux resto, ou le maillot sur les canapés à cocktail ! Bref, il y a un coté exportation du hotspring qui m’afflige. Que peuvent bien penser profondément les gens d’ici ?
Allez, Siem Reap n’est pas devenu que cela, je vous ai parlé des nombreux resorts plantés le long des routes. C’est pour l’autres grande partie des touristes, plus fortunés ceux là et qui ne se mélangent pas à ceux de pubstreet… Quoique ! Il parait qu’on te propose des tours dans les resorts pour voir la vie locale et pubstreet ! 😂
Donc, la grande majorité de ces énormes complexes sont faits pour 1) les chinois, et 2) les coréens… Les deux, en groupe, c’est la crème du touriste qui a peur d’être contaminé par l’alimentation, la vie locale… on prend le patrimoine à visiter, on fait hurler son guide dedans parce qu’on n’ecoute pas, mais on reste dans son resort pour éviter de se sentir ailleurs (oulalalala je crois que je deviens un peu comme ça avec l’âge ! C’est juste que j’en ai marre de manger des trucs que je ne trouve pas bon… et je suis hyper contente que plein d’expatriés ouvrent des restos !).
Quand tu vois des asiatiques avoir peur d’autres asiatiques, ou de les voir se sentir tellement supérieur…. Ça te donne juste envie de hurler de rire un temps… et puis après de pleurer aussi !
Entre tout cela, tu remarques que les temples sont tous confiés à une équipe d’archéologues de la nationalité du pays qui finance la sauvegarde… Et il y a de quoi faire vu le nombre de temple à sauver ! Allemagne, Suisse, Chine bien sur… La civilisation khmer est parcellisée. Qu’en aurait pensé celui qu’on a fini par appeler J7 (le roi Jayavarman le 7eme qui a fait bâtir une grande partie des temples connus de l’époque Angkoriene). On sent bien grâce à nos deux guides au Cambodge qu’Il, J7, est LE grand personnage Khmer. Celui qui a unit un peuple, battu des envahisseurs, inventé des ruses et tactiques guerrières, donné à sa mère un si beau Tha Promh…
Si l’on fait abstraction des groupes, les temples sont toujours somptueux. Certes, cela gâche un peu le chinois crié dans ton oreille, des bousculades, mais tu es devenu hyper fort au jeu du 'attention il y a des chinois ! On évite les crachats!!! ' et même tu supportes le sens unique de circulation parfois (oui oui comme chez Ikéa !)… Maintenant, il y a des surveillants partout. Et beaucoup, beaucoup, beaucoup de boutiques de… peintures, vêtements, objets, fruits decoupés… les mêmes que sur le marché. Et, ça c’est drôle car c’est avec le même accent trainant qu’en Thaîlande pour la négociation « please madame, one dollar more, please, cannot, cannot…. » Le tout en t’attrapant le bras et en te souriant… Hummm. Les thaïlandaises ont dû se lancer dans la e-formation sur « comment vendre aux touristes des temples et des night market » !😉
Allez, j’arrête mes badineries pour que Jerome vous mette quelques photos de ces temples. Cela sera bien plus évocateur que mes banales paroles.
Angkor wat et ses drôles de bêtes... Pour nous accompagner dans cette redécouverte, nous avons choisi de passer une première journée avec un guide, francophone pour que tout le monde puisse suivre. Nous avons eu la chance de trouver ce « grand » monsieur, car en plus d’avoir un français châtié, ses quelques années lui ont fait connaitre dans sa prime jeunesse l’Indochine, puis tous les évènements dramatiques que l’on connait (la décolonisation, la dictature de Pol Pot, l’envahissement par les vietnamiens libérateurs, puis la guerre d’à coté qui ne s’est pas toujours arrêtée à la frontière…). Durant toute la journée qui a débuté bien tôt, 6h00, pour ne pas avoir trop chaud et vu que cela se termine avec la nuit, on va vous le dire, on a eu chaud ! Mais il y a beaucoup de temples qui ont de l’ombre donc ça va. Et puis le tuk tuk quand il fait chaud c’est génial car l’air est bon, donc on est content de rouler entre deux merveilles architecturales ! Le petit plus est que notre guide a été le traducteur pour Jean Jacques Annaud qui est venu dans le Tha Promh pour tourner le film que les zagziguettes adorent : « Les deux frères ». De suite, cela rend les choses plus vivantes pour les filles qui n’en n’ont clairement rien à faire de J7 ! C’est donc avec une journée extrêmement riche et très fatigante que nous avons le sentiment d’avoir loupé notre promesse d’aventure aux enfants. En effet, elles nous avait entendu parlé de ces temples un peu perdu, noyé sous les racines, dans lesquels on jouait à cache cache…
Bayon, Ta Phrom, les Khmers ne paient pas l'entrée du coup le WE c'est pique nique hamacOn n’a pas dit notre dernier mot !
Ce qu’il y a de bien 12 ans plus tard, c’est que ton pass de 3 jours est valable sur une semaine et non plus à consommer en jours consécutifs ! Du coup, piscine à l’auberge de jeunesse, et un peu d’école pour se laisser le temps d’assimiler un millième de ce que l’on a appris… Et nous revoici parti pour une seconde journée, encore plus « auroresque » sur le circuit dit « grand » avec des temples moins prisés mais remarquables de beauté pour leur situation devant une étendue, ou au centre d’un lac…
Là, on grimpe, on contourne, on cherche l’ombre ! On profite du lieu, de la beauté de la pierre sans rien connaitre de son histoire et pour achever cette magnifique journée, on se rend dans la très honorable école maternelle - primaire /centre de formation New hope Cambodia.
C’est gargantuesque, divin et le restaurant d’application permet de financer l’école qui accueille des enfants en 4 sessions par jour tellement il y en a ! Ne pas se laisser impressionner par le coté pauvret, paumé du quartier, loin très loin de pub street. Et puis, tout ceux qui sont parents ont dejà mangé dans une cour d’école pour la fête de leur gamin ! Là, c’est pareil, tu es dans la cour, mais c’est meilleur 🤣
Pour notre ultime journée dans les temples, nous avons fait une sélection de temples non encore arpentés, mais surtout avons prévus de revoir notre préféré 30 minutes avant la fermeture ! A l’unanimité des zagzigueurs, le voici !
Retour au Ta Phrom et temple montagne que nous avions vu en remontage en 2006 C’était géant. Les zagziguettes ne connaissent pas encore Indiana Jones mais elles ont déjà la chance de sentir ce petit frisson d’aventure que tu as lorsque tu as l’impression d’être seul au monde dans un endroit d’exception et qu’il n’est accessible que pour toi !
Frustrés qu’elles ne le ressentent pas pleinement et conscients que nous ne reviendrons jamais au Cambodge (on a décidé que si on devait être archéologues, on chasserait les tumuli Thraces), nous prenons la direction d’un temple que même les bus ne desservent pas !
Pour te dire, les locaux de Banteay Chhmar n’ont pas de ligne de transport fixe ! Cet endroit est au nord ouest du pays, vers une ville que j’ai trouvé plutôt sans intérêt et détestable, qui s’appelle Sisophon. Atteindre le village, c’est se dire que l’on part dans une communauté car le contact pour le tourisme c’est le CBT, comité pour le tourisme. Deux taxis communautaires, un restaurant communautaire qui est le seul à avoir une connexion internet (😄) (sinon, en dehors des stands du marché il y en a un autre resto), quelques homestays : du très typique à celui que Jéjé a été contraint de prendre sous le regard venimeux de nos trois paires d’yeux qui n’avions pas envie de cohabiter avec tous les insectes du Cambodge… 😁
Notre maison et notre hôte qui est coiffeur. Petit temple à côté du village. Un peu de géométrie pour l'école...On a fait le tour des infrastructures. Mais ce serait omettre l’essentiel ! L’ensemble des temples de Bantseay Chhmar ! Dont tout particulièrement, le principal qui est orné d’une fresque sculptée si incroyable que je ne comprend pas qu’elle ne soit pas classée !!! Même si la communauté ne peut pas en faire la demande, c’est tout bonnement incroyable qu’il n’y ai rien de prévu pour plus de sauvegarde ! Elle mesure des mètres et des mètres et est exposées au 4 vents…
Alors, arrivés dans ce lieu une grande décision s’impose pour le transport : soit les filles font du vélo même s’il a une taille adulte, soit elles posent leurs postérieurs sur le porte bagage et souffrent des défauts de l’asphalte, de la piste, du sentier, bref de l’endroit oú la petite reine nous porte !
C 'est vivant. Le WE les jeunes y écoutent de la musique et boivent. D'autres passent derrière pour revendre les canettes vides.Je gage que d’ici peu d’années, ce temple principal sera archi connu ! et qu’il y aura sans doute au moins une guesthouse, si ce n’est un hôtel…
Les 3 journées sur place s’écoulent vite : entre les balades à vélo, les autres petits temples, la balade en tracteur, la chaleur nous écrase mais nous gardons de l’energie pour répondre aux innombrables « Hello » des enfants et des adultes. Nous retrouvons plus de sourires ici et cela fait du bien. Pour nous, c’est même le pansement contre des plats bizarres comme le ragout de bambou fermenté ! Pour tout vous dire franchement, c’est hyper dégueu comme ont dit les filles ! Et je suis bien d’accord ! Jéjé est en mode bougon et trouve qu’on est indigne.
Bref, il ne va pas tarder à aller faire son escapade mode Robinson ! Moi, je ne suis pas hypocrite car je ne pourrai pas le faire ou alors très peu de temps et cela me couterait beaucoup ! Toujours cette peur des insectes et araignées qui me dévore… Bref, on en était à se dire que oui je ne voyagerai plus en mode routard routard, pas ceux de Siem Reap ou ailleurs qui ont la clim et la piscine 😉 et visiblement ça le chagrine (allez je vous le souffle mais le Jéjé il a mal au dos aussi sur les lits pourris que l’on fréquente parfois, il ne dit rien mais lui non plus il n’aime pas quand c’est sale… bref, il ne dit rien mais il y a des conditions qui lui pèsent aussi sauf qu’il ne l’avouera jamais 😉 au contraire de moi qui le dit au et fort, ok peut être un peu trop fort ! Mamie dit chaque chose en son temps et je suis bien d’accord !)
Malgré le délicat parfum de ce plat que je souhaite à mon pire ennemi si possible additionné d’un truc coréen innommable (le jour ou je saurai qui c’est), nous avons adoré ce village et comme vous pourrez le voir on a pas mal crapahuté.
Temple Torp, en passant on voit la vie locale, les marchands ambulants...Le fruit orange c'est de la quinine
Donc vaut-il le détour ?
💖Oui, si : vous souhaitez être seul dans des temples ; voir une fresque angkorienne gigantesque qui raconte l’histoire de J7 à la façon d’une BD ; voir la vie locale ; n’avoir personne qui te saute dessus pour te vendre quelque chose car de toute façon il n’y a pas de boutique de fringue ou de souvenir ici ! Peut être y a-t-il un passage ouvert pour la Thaïlande qui n’est qu’à une vingtaine de kilomètres à vol d’oiseau, c’est à creuser !
Cet endroit mérite vraiment du temps à mon sens mais cela doit pouvoir se faire en exprès avec un aller retour depuis Sisophon. Autre élément que l’on peut dire avec le recul, c’est un des endroits les moins sale du Cambodge 😉 et vu que ce n’est pas touristique, ce n’est pas fait exprès pour nous (cf les plages, les quartiers riches…).
Nous sommes heureux car nous avons réussi notre pari ! Avoir le sentiment de vivre comme un découvreur Aventurier avec nos enfants et en plus avec un temple que nous ne connaissions pas.
Alors pour en revenir à Siem Reap 12 ans plus tard… Nous l’avons finalement bien apprécié car nous avons évité ce que nous n’aimons pas. Dire que nous avons écumé un certain nombre de night market est un euphémisme donc, on l’a zappé dans la soirée. Idem pour les orgies en plein air. On a vu un peu, les filles ont trouvé ça étrange (et c’était 18h-19h 🤣 ) (pourvu qu’elles pensent pareil à l’adolescence) et surtout surtout on a trouvé un hébergement pas trop loin des commodités mais assez loin de cette folie nocturne. Et de bons petits plats ! Ahhhh, les nems du WILD ! Mention spéciale pour ceux au chocolat au poivre de Kep 😍
Allez, le Cambodge ce n’est pas que cela… Il y a aussi son cote obscur ! Et c’est ce que nous allons vous raconter prochainement…
Une petite video de décembre. Ben oui je suis en retard...