JAPON automne 2023

Ça y est, j'y suis 😀

Atterrissage sans problème et a l'heure !

A peine sorti du long passage aux douanes, voilà que la télévision locale me questionne sur ma venue chez eux (c'est pas une blague! ) je suis crevée par le vol, en train de chercher des documents pour la suite de la journée et pas très fraîche pour être interviewée !! mais trop drôle comme arrivée 😅.

Après ça, je vais chercher le wifi pocket dans un bureau postal de l'aéroport, puis j'active le début du JR pass (abonnement pour lignes ferroviaires à travers le Japon et uniquement pour les étrangers) pour l'utiliser au maximum durant mon périple de 40 jours au pays du soleil levant.

Enfin... départ pour l'Hôtel Premier a Akihabara avec ce précieux sésame (JR pass) en partant sur Tokyo.

Que d'infos à comprendre et de panneaux à suivre dans ces gares !!!! Ça grouille de partout.

Première sortie pour manger dans les environs de la gare. Pas facile là aussi de faire son choix et de comprendre les horaires des restos. Mais pour ~7 francs tu as une soupe, des ravioles frits du riz cantonnais et un jus.

Quelle journée !!

Ce dimanche c'est seule que je découvre en fin de matinée les quartiers proches de l'hôtel à Akihabara... J'ai un peu peur de m'éloigner hihi!

C'est la journée des marchés des livres anciens sur la Kanda Suzuran dori !! On trouve vraiment de tout dans le genre vintage. Tout proche de la cathédrale (et oui il y a aussi ça au Japon). Un premier temple de l'autre côté de la voie ferrée et rivière. Puis un second sanctuaire Shinto Kanda Myojin. Construit en 730, qui favorise les bonnes affaires, le mariage et la chance dans les compétitions. A nouveau on voit les enfants dont les parents tentent le meilleur cliché ! Mais quel patience...

Après ça, j'hésite entre prendre un transport pour Ueno ou me diriger vers le temple Sensoji dans le quartier de Asakusa. Je regarde sur Google map la distance à faire à pied...et ça devient la journée à marcher des kilomètres !!! On peu passer des heures à observer les japonais en tenues du dimanche...

Tout comme la première fois en 2019, je me prends un petit pain sucré, après avoir passé la première porte du tonnerre. La lanterne au centre pèse 670 kg. Je longe une allée marchande puis je traverse une deuxième porte flanquée d'une paire de tong en paille pour effrayer les mauvais esprits. Vient le Honda, pavillon principal. Détruit durant la seconde guerre mondiale puis rebâti en 1958. Les tuiles en titane. A ses côtés, la pagode a 5 étages.

Je traverse la rivière d'ou on voit la crotte (ou la flamme d'or) de Philippe Starck et au loin la Tokyo skytree qui culmine à 634 mètres. Je fais un saut au musée Sumida Hokusai pour voir (une reproduction) de "la vague de Kanagawa". Du peintre Katsushika Hokusai qui est né et mort tout près de ce musée. Et pour finir, je rentre toujours à pied à l'hôtel pour ma dernière nuit à TOKYO.

Youpi, ce matin mardi il fait beau depuis le balcon... Mais attention le temps change vite !

L' objectif de cette journée, la pagode Chureito. Sur papier, la tour n'a rien d'exceptionnelle et récente (1963), mais c'est avant tout l'IMAGE que l'on voit partout dans les guides- agences etc... Alors j'y suis allée et...mardi...pas de bol, on ne voit pas le volcan 🫣 !!! Mais c'est beau quand même.

Après cette "non vue" je décide d'aller au Fuji Sengen-jinja. Superbe ce temple en pleine forêt. Érigé au pied du versant nord du Mont Fuji, il a longtemps été l'unique porte d'entrée des randonneurs en partance pour l'ascension de la montagne sacrée. Installé depuis le VIII ème siècle. Et ces cèdres millénaires imposants. La porte est reconstruite tous les 60 ans et de plus en plus grande.

Je fini cette journée avec un bon repas 😋 légumes et viande goûteuse à griller soi- même que l'on surnomme teriyaki.

Déjà une semaine de passée !

Quand on dit que les transports au Japon ne sont jamais en retard....

C'est une erreur !! Il y a des bouchons avec le bus express aux abords de Tokyo, d'où je dois continuer avec un train puis un Shinkansen (le train à grande vitesse japonais, introduit pour la première fois en 1964).

Et c'est grâce à la dame a côté de moi dans le bus (qui à 40 minutes de retard !!) , qui me trouve une autre correspondance et qui court avec moi pour me diriger vers le bon quai. C'est ça les japonais 🥰.

Enfin Nikko! Je suis tellement bien lancée que je prends de suite un pass de 2 jours pour les bus et vais directement voir la cascade de Kegon vers le lac Chuzenji en passant par la route Irohazaka constituée du nombre de lacets correspondant à l'alphabet japonais.

Et je termine par un ramen excellent !!! Plat fait de fines pâtes de blé servies en soupe avec d'autres condiments et garnitures (viande, légumes, œuf).

Les prochains jours seront dans les alpes de la préfecture de Nagano.

Aujourd'hui je m'arrête à Narai sur la route historique reliant Edo à Kyoto. Une ville florissante surnommée « la ville aux mille bâtiments »

Autrefois un point de passage important du sentier commercial de Nakasendo. Dernier point de repos avant le passage du col de Torii, de nombreux voyageurs s’arrêtaient dans la station.

Puis je passe 2 nuits à Nagiso dans l'auberge de 200 ans d'âge pour visiter le lendemain Magome et Tsumago...

Région montagneuse entre Takayama et Kawazawa. Très touristique de pars le fait de ces maisons aux toits de chaume de style "gassho-zukuri". Certaines de ces maisons appartenaient à de riches familles de négociants en soie et on peu voir des anciennes machines pour l'élevage du vers à soie.

Dans l'ensemble, ce lieu me fait penser à Ballenberg.

J'y ai pris 2 fois le petit déjeuner dans un hôtel qui propose aussi les bains chauds ou onsen.

Sur Kanazawa il pleut...

J'ai tout de même refait le quartier des salons de thés des geishas, Higashi Chaya et par la même occasion le musée de la feuille d'or. Très intéressant de voir le processus de fabrication de ces feuilles d'or aussi minces que 1/10 000 ème de millimètre.

Kanazawa abrite 99% de toutes les feuilles d’or fabriquées au Japon !!

Tout d'abord on prépare une mixture composées de paille brûlée - eau chaude - blanc d'oeufs - tanin de kaki, pour imprégner des feuilles de papier durant 3 mois. Ces feuilles vont servir a aplatir des bouts d'or laminés qui seront placés entre chacune de ces feuilles. On en fait des petits paquets qui, à nouveau sont aplatis avec des masses durant au moins 3 jours jusqu'à la finesse voulue de la feuille d'or. Les parties dépassantes sont coupées pour l'utiliser dans le comestible.

Et aujourd'hui samedi, j'ai visité un des plus beaux parc du Japon "Kenrokuen ".

Après quoi je prends le train pour me rendre à Kyoto !

Il faut le faire au moins 1 fois quand on est à Kyoto.

La montée et traversée des portes Torii du mont Inari.

Erigé en 711, il est dédié à la déesse du riz Inari et plus largement à la richesse. La beauté de ce complexe se dévoile au gré d'une randonnée pédestre le long d'une vallée, balisée par des milliers de portiques vermillon appelés torii.

Au début...beaucoup de monde et puis les gens s'épuisent où s'arrêtent à mi-chemin. C'était mon cas en 2019 😂.

Cette fois-ci j'ai fais jusqu'en haut !!! Même si il n'y a rien de spécial.

Et bonus en bas, une geishas de dos un peu rondelette et sans grâce dans la démarche...

Aujourd'hui je décide de quitter la ville de Kyoto pour me rendre dans le nord une journée, voir une des "trois plus belles vues " sur la mer du Japon.

La baie de Amanohashidate. Comme le temps à mon arrivée est couvert, je me dirige sur l'étroite langue de sable, plantée de 8000 pins. Je ne fais pas toute le traversée de 3,5 km mais un peu plus de la moitié.

Ensuite j'utilise un monorail pour profiter de la vue et photo bien entendu 😉 . Et encore une (photo), mais cette fois ci la tête à l'envers...

On doit avoir l'impression que le pont flotte sur la baie...

A vous de me dire si vous voyez ce phénomène !?

Le retour sur Kyoto se fait par un train spécial le Tango No Umi, avec 1000 et une manipulation du personnel au moment de raccrocher un wagon. Ça sent la naphtaline !!!

Aujourd'hui vendredi, c'est mon dernier jour à Kyoto.

J'ai passé la matinée à préparer la valise à envoyer à Hagi dans quelques jours.

Je pensais faire tranquille et rester à l'hôtel...mais je n'ai pas pu résister pour une dernière après midi de marche (ça tombe bien, mon pied va beaucoup mieux !).

Je vais jusqu'au temple Tō ji au sud de la gare de Kyoto.

Plusieurs bâtiments avec des statues de bouddhas.

Et la pagode Goju-no-to de 5 niveaux 57m la plus haute du Japon. A l'intérieur le décor est superbe avec des peintures et ces statues.

Je glisse quelques photos de Kyoto lors de mes escapades...

Ce dimanche, je quitte sans trop de regret Hamada pour revenir un peu plus à l'est au bord de mer à Matsue.

Je fais un crochet pour voir le temple et les cordes sacrées géantes de Kyōmu honchō.

Le shimenawa est une corde sacrée utilisée au Japon, constituée de torsades de paille de riz ou de chanvre plus ou moins grosses en fonction de l'utilisation, et tressée de gauche à droite.

Le shimenawa délimite généralement une enceinte sacrée et particulièrement l'aire de pureté d'un sanctuaire shintô.

Tout autour du temple principal, les fidèles attendent leur tour pour faire leur prières devant de multiples sanctuaires.

Et les 2 nuits à Matsue seront dans un ryokan simple traditionnel.

A mon arrivée a Tsuwano, un village dans les montagnes, fondé il y a 700 ans.

Je grimpe le tunnel de torri pour arriver au sanctuaire Taikodani Inari-jinja Shrine. Là je discute un peu avec une américaine qui travaille au Japon pour enseigner l'anglais.

J'entends du tambour et je m'approche pour enregistrer et non filmer ou photographier (par respect pour les moines ou je sais pas quel nom leurs donner). Puis j'enlève mes souliers et m'installe sur un des bancs. Une fois la musique terminée, on me demande gentiment de quitter le lieu en me disant que c'est un lieu de prière... (j'y allais pour prier, mais va expliquer ça !).

Après quoi, je vais jusqu'aux ruines du château, la vue est juste magnifique. Puis redescend pour reprendre le train régional jusqu'à Hagi où le personnel de l'hôtel m'annonce qu'ils vont bien venir me chercher à la gare. Youpi !!! Je ne devrais pas marcher 1/2 heure !!

Depuis Hagi, j'ai pris la direction plus à l'ouest pour Fukuoka - Hakata et les compétitions de sumo.

Pour info, pour obtenir 1 billet pour la journée de vendredi, je me suis réveillée en Suisse à 3h du matin pour réserver le précieux sésame sur internet !!!

Et j'ai du faire imprimer au Japon le ticket (c'était pour vous dire que c'est pas si facile que ça d'avoir un billet 🤪).

Le sumo, qui signifie littéralement « se frapper mutuellement » est un sport incontournable au Japon.

Les sumotoris sont de véritables demi-dieux vivants pour les fans de ce sport de lutte !

Le sumo est un sport qui est apparu, d’après la légende, pendant un combat entre le Dieu tonnerre "Takemikazuchi" et le dieu du vent "Takeminakata". Ce combat se solda par la victoire de Takemikazuchi qui permit à ses fidèles de mettre la main sur de nombreuses îles japonaises. Toujours selon la légende, s'est ainsi que la famille impériale (dont est issue l’actuel Empereur) fut fondée.

Vite devenus de vrais moments de divertissements pour la classe aisée japonaise, les combats de sumo furent ainsi orchestrés pour s’attirer les faveurs des dieux shintô. Ces combats permettaient de demander aux dieux une année de récolte fructueuse.

Les règles de ce sport sont assez simples : les lutteurs ne doivent pas sortir du cercle dessiné sur le sol et ne doivent pas poser une autre partie de leur corps que leur plante des pieds.

A leur arrivée sur le ring, les lutteurs tapent dans leurs mains afin d’attirer l’attention des dieux et tapent du pied sur le sol pour éloigner les mauvais esprits. Il est ensuite de tradition de répandre du sel sur le dohyô (terrain du combat) afin de purifier l’espace. Enfin, ils suivent le rituel de « l’eau de force » en buvant le rikishi avant de le recracher. Le combat peut ensuite commencer. Ces gestes rituels peuvent parfois durer plus longtemps que le combat lui-même.

L’arbitre nommé également « gyôji » se tient sur le dohyô et donne le coup d’envoi et la fin du combat. 82 prises de combats sont autorisées au cours du duel entre les deux sumotoris.

A la fin du combat, un makushita entrera sur le dohyô pour effectuer une danse avec son arc.

La visite de Hiroshima, ça ne peu que nous toucher remuer nous questionner et aussi voir la force et le courage des gens qui ont vécus ce tragique moment le 6 août 1945 par le premier bombardement atomique...

J'y ai vu le dôme de la bombe A.

Qui, avant d'avoir été détruit par l'explosion avec toutes les personnes qui s'y trouvaient à l'intérieur, était un palais préfectoral. Un des rares bâtiments qui est resté partiellement debout et qui est devenu un mémorial.

Évidemment, on poursuit comme des centaines de visiteurs par le musée du Mémorial de la paix d'Hiroshima. Beaucoup d'émotions lors de cette visite et très silencieuse entouré de plein de monde...

Le lendemain à été un peu plus léger 🙂. Je suis allée voir le GRAND TORRI flottant de l'Itsukushima-jinja (sanctuaire shintoïste) sur l'île de Miyajima.

J'y ai croisé quelques daims en liberté comme à Nara.

Et j'ai aussi vu son temple bouddhique un peu plus haut Daisho-in avec de belles couleurs d'automne et les feuilles de ginkgo sur les bouddhas.

Pleins de boutiques (yes! J'ai pu enfin faire quelques emplettes). Et spécialités du coin, des huîtres et des biscuits.

Passer presque une journée sur une île pour y voir des musées et des installations surprenantes c'est bien.

Mais je me suis senti un peu stressée par les horaires des ferrys en destination de Takamatsu...

Du coup, je n'ai pas tout fait, ou plutôt je devrais dire que les choix que j'ai fais en cours de route n'étaient peut-être pas les meilleurs.

Mais bon, ceci étant, j'ai a nouveau marché et j'ai vu les fameuses citrouilles de l'artiste japonaise Yayoi Kusama (je venais surtout pour ça).

J'ai même eu une dame sur le ferry qui, en regardant les photos que j'avais prises de la citrouille rouge, à trouvé celles-ci tellement jolies, qu'elle l'a reprise en photo depuis son téléphone portable 😄 !

En rigolant je lui ai dit qu'il n'y avait pas de copyright 😉...mais elle n'a pas du comprendre la blague parce qu'elle n'a rien dit.

Avant de découvrir le château de Himeji, je vais plus loin sur le mont Shosha ou se trouve Shoshazan Engyoji.

Un temple bouddhiste, érigé depuis 966 par le saint Shoku, la série de temples est l'une des principales rattachées à la branche Tendai du bouddhisme japonais, avec Hieizan à Kyoto et Daisen à Tottori. Il est ainsi reconnu comme l’un des plus importants centres de formation pour moines dans la région du Kansai.

C'est également un lieu utilisé entre autre, dans le film "le dernier samourai " de 2002 avec Tom Cruise.

Après ce bel endroit dans la forêt, je vais au château Himeji ou surnommé le château du Héron blanc.

Un des douze derniers châteaux en bois du Japon, classé au Patrimoine Mondial de l'Unesco depuis 1993. Construit en 1609 et préservé des aléas de l'Histoire, a connu d'importants travaux de rénovation entre 2010 et 2015.

Je décide après ces visites sur Himeji d'avancer mon départ de train pour Osaka...

J'ai bien fait !!! I'm lost in Osaka train station !!!!

3ème plus grande ville du Japon. Je me perd dans la gare d'Osaka pour trouver le chemin du métro et l'hôtel. Heureusement deux jeunes étudiantes me dirigent sur la bonne voie 😉.

Osaka est un autre monde...

Les derniers moments pour faire du shopping au Japon.

J'ai trouvé le yukata les norens et maintenant je me prends un bon repas pour écouler mes derniers deniers 😁.

Finalement je suis contente de rentrer dans le froid, la neige et ma famille, amis, home !!

J'ai pris de l'avance ce matin pour aller à la gare d'Osaka et direction Kansai aéroport.

J'y suis arrivée sans encombre, avec toutes mes craintes des transports avec mes bagages 😅.

Est venu le moment de préparer un épilogue...

Je ne suis pas très bonne pour ce genre de chose, mais je vais essayer de faire de mon mieux.

Et oui, je suis de retour en Suisse après avoir passé 41 jours dans ce magnifique pays qu'est le Japon.

Pourquoi je me suis prise presque de passion pour ce pays ?

Et bien, ça a été pour moi dû à une surprise. En effet, depuis très jeune je me suis intéressée à l'Asie, puis le souhait de voyager en Chine. Très vite, même avant de savoir l'anglais, j'ai eu l'occasion de faire un premier voyage organisé dans ce pays en 1986. Puis une 2ème fois en 2008 juste après les jeux olympiques de Beijing.

J'ai par la suite découvert d'autres lieux sur cette planète (quand on a le virus du voyage on ne s'arrête jamais 😂).

Enfin, en mars avril 2019, le Japon pour la première fois durant la période des cerisiers en fleurs 🌸 .

C'est là que j'ai compris mon erreur de penser depuis tant d'années que mon rêve était de découvrir non pas la Chine mais...le Japon !

Après quoi, j'ai décidé d'y retourner très vite pour un long séjour cette fois-ci afin de mieux apprécier et tenter de comprendre la culture des japonais.

Il faut bien plus que 40 jours pour ça !!!, mais ça a tout de même été une incroyable aventure pour moi.

Avec toute une préparation en amont (j'ai certainement dû un peu soûler mes amis et famille avec ça 😁). J'ai créé mon parcours solo avec deux trois choses que je tenais particulièrement à faire, comme le spectacle à Hamada de Iwami Kagura ou à Fukuoka les compétitions de sumo et pour finir, la randonnée jusqu'à Kuratake Shrine pour la vue grandiose de la mer de chine et du Japon à l'ouest.

J'ai pu réaliser tout ce que je souhaitais faire durant ce séjour et ceci en automne avec ces couleurs magnifiques.

On m'a demandé ce que j'avais le mieux aimé durant ce parcours ou ce qui m'avait le plus touché. Et bien ce sont les gens pour leurs aides dans les moments où j'en avais besoin. Et ceci toujours en toute simplicité sans rien attendre en retour. Pas besoin de parler japonais ou anglais, on arrive à se comprendre avec des sourires et des gestes.

Bien sûre que les paysages, temples, sanctuaires, villes, coutumes, façons d'êtres m'ont aussi touchés, surprises, émerveillés.

Une sacrée aventure que je souhaite à chacun,e de réaliser.

Profiter de ces moments riches en émotions ont étés un réel plaisir et je peux déjà réfléchir à un nouveau projet de destination pour le futur.

Merci à ceux et celles qui m'ont suivi sur les réseaux, j'espère que vous avez apprécié son contenu. Pour ma part c'était très sympa d'avoir ces retours et ces commentaires 😊.

A peut-être une prochaine sur myAtlas et à bientôt.

Clo Claudine ❤️