Carnet de voyage

Le Portugal ? Enfin ? Depuis le temps !

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Dernière étape postée il y a 1861 jours
Encore une tentative pour aller au Portugal. Tout était prévu pour Vienne et Budapest mais la météo a décidé autrement. Donc... c’est parti .
Du 2 au 23 septembre 2019
22 jours
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Première étape depuis la Normandie. Retour sur ce camping super sympa et dans mon cher département, la Charente Maritime. Au passage, explication du pseudo : « cagouille » pour les les non-initiés. La cagouille est le nom saintongeais de l’escargot, et emblème de ma Saintonge natale. Cet animal a plusieurs caractéristiques.

La cagouille transporte sa maison, comme un camping-cariste en quelque sorte. Il avance lentement et est régulièrement en retard : le quart d’heure charentais. Enfin, il avance toujours et ne recule jamais.

Autre grande première : un carnet Myatlas en live. Irais je au-delà de la première étape ? Et, soyons fous, on va faire ça avec l’Ipad. C’est parti.

First stopover from Normandy. Back to this super nice campsite and in my dear department, Charente Maritime. By the way, explanation of the nickname: "cagouille" for the uninitiated. The cagouille is the Saintonge name of the snail, and the emblem of my native Saintonge. This animal has several characteristics.The cagouille carries his house, like a motorhome in a way. It moves slowly and is regularly late: the Charentais quarter hour. Finally, he always goes forward and never backs down.Another great first: a live Myatlas notebook. Would I go beyond the first step? And, let's be crazy, we're gonna do this with the iPad. Let's go.

A gauche l’étape au camping, à droite le repas du midi. 
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Après un voyage un peu fatigant, autoroute encombrée, avec travaux et accident un peu après un péage, nous sommes arrivés à ce camping vraiment très bien. Un deux étoiles mais avec tout et un accueil formidable. On nous fournit un plan et les astuces du petit chemin raccourci qui mène au port et au fort.

Le tout avec un temps exceptionnel, pas trop chaud, pas de vent. Sur le chemin du retour nous trouvons une pâtisserie avec des spécialités basques pour le dessert.

Bref, on reviendra. Adresse à retenir. Pour ceux intéressés : pas cher. 20 €.

After a rather tiring journey, congested highway, with roadworks and an accident a little after a toll, we arrived at this campsite really very well. A two star but with everything and a wonderful welcome. We are provided with a map and tips for the short, short path that leads to the port and the fort.All with exceptional weather, not too hot, no wind. On the way back we find a pastry shop with Basque specialties for dessert.Anyway, we'll be back. Address to remember. For those interested: not expensive. € 20.

Un photo de ce camping : Untxin Socoa 
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A quelques kilomètres de Valladolid plus connu, cette petite bourgade a un passé historique assez étonnant. Nous avons visité la Casa del Tratado. C’est quoi ça ?

Il y a environ 5 siècles on venait tout juste de découvrir les Antilles, pas les Amériques. On pensait avoir trouvé la route de l’ouest pour arriver en Chine. Les Antilles étaient des îles juste avant le Japon. Rude concurrence Espagne-Portugal pour se partager ces nouveaux territoires. Avec le traité de Tordesillas, en 1494, espagnols et portugais se partagent la planète. C’est sûrement un peu pour cela qu'au Brésil on parle portugais et ailleurs, espagnol !

A few kilometers from the better known Valladolid, this small town has a rather surprising historical past. We visited the Casa del Tratado. What is that ?About 5 centuries ago we had just discovered the West Indies, not the Americas. We thought we had found the western route to get to China. The West Indies were islands just before Japan. Tough competition Spain-Portugal to share these new territories. With the Treaty of Tordesillas, in 1494, Spanish and Potugueuse shared the planet. This is surely a bit why Brazil they speak Portuguese and elsewhere, Spanish!

 A gauche la Plaza  Mayor, comme dans toute ville espagnole, au milieu , vie d’ensemble, et à droite l’église musée de San Antolín...

Quant au Camping... on continue la série. Vraiment très bien et à un prix très raisonnable. Le « petit » plus, un restau tout aussi renversant, d’un prix aussi très raisonnable et des plats hors du commun. Le tout arrosé d’un Ribera del Duero... ouh lala. Nous votons à l’unanimité une dérogation au régime.

C’est d'ailleurs pour ça qu’il n’y pas de photo du camping...

As for the Campsite... we continue the series. Really good and very reasonably priced. The “little” plus, an equally stunning restaurant, also very reasonably priced and outstanding dishes. All washed down with a Ribera del Duero... ouh lala. We unanimously vote for a waiver of the regime.This is also whywhy there is no photo of the campsite.

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Publié le 6 septembre 2019

Le camping municipal est très bien. On s’installe où on veut. Les autoroutes électroniques sont un véritable casse-tête. On va essayer de démêler ce sac de nœuds.

The municipal campsite is very good. We settle where we want. Electronic highways are a real headache. We're going to try to untangle this bag of knots.


Au camping de Vila Real. 

Le mystère des péages électroniques est pratiquement résolu grâce à l’aide de deux voisins camping caristes et un postière de la poste principale de Vila Real. Nous pensons que le Portugal doit aussi avoir des énarques pour concevoir des systèmes aussi farfelus. Nous offrons une carte postale à la postière qui, justement, fait collection de cartes postales. Du coup, elle a droit à une deuxième. Elle l’a bien mérité avec tous ses efforts pour résoudre notre problème.

Nous sommes allés au petit marché, c’était le jour d’ouverture. Nous achetons des saucisses et un truc local. Cela a plu au boucher qui nous a fait cadeau d’une saucisse fumée. Plein de sourires échangés.

The mystery of electronic tolls is practically solved with the help of two neighboring motorhome operators and a postwoman from the main post office in Vila Real. We believe that Portugal must also have enarques to design such wacky systems. We offer a postcard to the postwoman who, in fact, collects postcards. Suddenly, she is entitled to a second. She deserved it with all her efforts to solve our problem.

We went to the small market, it was opening day. We buy sausages and a local thing. The butcher liked it, and he gave us a smoked sausage. Lots of smiles exchanged.

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Publié le 8 septembre 2019

Nous avons fait un petit circuit le long du Douro. Cela va étonner sans doute mais nous ne sommes pas allés voir le Palais Mateus. On reviendra. Donc ... le Douro. Bin non, pas de croisière non plus. Pas grave, truc à touristes. Le tour des gorges est superbe. Je mets quelques photos.

We made a small circuit along the Douro. This will undoubtedly be surprising, but we did not go to see the Mateus Palace. We will come back. So ... the Douro. Well, no, no cruise either. No big deal, tourist thing. The tour of the gorges is superb. I put some photos.


Le super restaurant au bord du fleuve. Le serveur est très sympathique mais apporte plein de trucs que nous n’avons pas commandés. ( avec « s », accord du COD ). On refuse aimablement mais - punition - on attendra un peu pour la suite. D’après nos voisins qui ont eu une aventure semblable dans un autre restaurant, cela parait une pratique locale courante. Nous avons malgré tout bien mangé...

Un peu plus loin, nous arrivons juste à temps pour voir un bateau de croisière passer une énorme écluse sur le fleuve.

Et après, on fait quoi ? Allez, on va à Chaves. Avis favorable du guide du Routard et envie d’aller là.

Dans la tour il y a un musée militaire avec prix spécial pour les seniors. On ne demande pas de justificatif, c’est désagréable. Nous allons au sommet.

On continue la visite avec l’église Saint Pierre. Style baroque avec orgue de même. Puis nous poussons la porte d’une chapelle qui était là pour aider les pauvres en donnant à manger à ceux qui ont faim et à boire à ceux qui ont soif. Magnifique avec des azuléjos du sol au plafond, parmi les plus beaux en Europe.

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Publié le 8 septembre 2019

Nous prenons la route au départ de Vila Real avec un petit détour par San Leonardo de Galafura. On nous avait conseillé ce point de vue effectivement extraordinaire. Manger son casse-croûte devant un tel paysage, c’est quelque chose de géant.

Ouh la la. 
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Publié le 9 septembre 2019

Après une première tentative sur un camping trop proche de la ville, nous cherchons un peu et nous trouvons, merci park4night , notre point de chute à Penacova, pas loin de Coimbra, avec une plage sur la rivière Mondego.

Le camping et la plage. 

Encore un camping bien. Un accueil en français et toujours aussi sympa. Nous sommes à une vingtaine de kilomètres de Coimbra et nous sommes allés y passer la journée. On va vous raconter ça.

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Publié le 10 septembre 2019
La queue pour les billets. Juste à côté, un véhicule qui ressemble à... ? Ah oui !
En haut à gauche : la grande place. En haut à droite , des étudiants En uniforme. En bas, la Chapelle et son orgue baroque.
La vue du haut de la tour est magnifique. 

Si vous avez de bon yeux, vous pouvez voir le combi sur le parking!

Pour info, environ 180 marches ! Mais cela vaut la peine. Les visiteurs sont filtrés pour une occupation maxi de la tour. Il ne faut pas être gros pour passer dans l’escalier et là-haut la place est limitée.

La bibliothèque Joanina, ou tout au moins la partie que l’on a le droit de photographier.

La bibliothèque est une merveille. Voir sur internet pour d’autres informations et photos autorisées.

Deux vues du Palais. 

On peut se nourrir pour quelques euros à la cafétéria. Attention, il y a deux cafétérias ! Avec des menus différents ! Pas sûr que l’on ait choisi la bonne!

Bref, un très bon moment à passer si on n’a pas peur de monter des ruelles et des escaliers en tous genres, avec des pavés glissants et mal joints partout. Éviter les talons à aiguilles.

Retour le soir au camping de Penacova avec encore un souper royal pour une bouchée de pain et servi avec rapidité et gentillesse comme d’habitude. Malheureusement il fait trop froid et nous décidons de continuer demain vers le sud. Direction Sintra.

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En descendant vers Sintra, et après d’autres problèmes avec les péages d’autoroute, nous apercevons l’indication : Monastère d’Alcobaça ( ?? pas loin ) kilomètres. Voté à l’unanimité. On y va.

Vue d’ensemble de la place du monastère .

Le site est gigantesque et des travaux sont en cours pour réhabiliter une surface quasi équivalente au site que nous allons visiter.

Une partie du réfectoire et une vue depuis le cloître. 

Tout est refait à neuf et d’une propreté méticuleuse. On entend des bruits bizarres. Des cris très aigus et intermittents. Après enquête, ce sont des bruits spéciaux pour éloigner les pigeons, priés d’aller faire leurs besoins ailleurs.

Les tombeaux du Roi Pierre 1er et de la Reine Inés de Castro. 

Nous avons pris plein de photos de ces deux superbes tombeaux qui justifient à eux seuls la visite de ces lieux, mais on ne peut pas mettre tout ici.

Mais... ils ont presque tous un IPad ????!!! 
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Publié le 11 septembre 2019

Le camping est le Guincho Orbitur. Tout le confort. Matériel quelquefois un peu fatigué dans les sanitaires mais correct et propre. Petite boutique, coin Wifi, car cela ne rayonne pas sur tout le camp. Un vent très violent gâche un peu la fête en ce qui concerne les campeurs mais fait la joie des kitesurfeurs.

The campsite is the Guincho Orbitur. All the comforts. Equipment sometimes a little tired in the toilets but correct and clean. Small shop, Wifi corner, because it does not shine on the whole camp. A very strong wind spoils the party a bit as far as the campers are concerned, but the joy of the kitesurfers.

Les pins donnent de l’ombre et surtout coupent un peu le vent. 
La plage du coin. 

Le kite-surf jaune, c’est moi. *

* menteur!

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On a remis un nuit supplémentaire au camping. Nous voulions absolument voir un truc dans le coin, un puits en colimaçon, dit puits initiatique. Un Uber nous a emmené au Palacio du coin, et de fil en aiguille, nous sommes arrivés à la Quinta da Regaleira , là où l’on pourrait trouver la merveille. Et , surprise, nous nous sommes retrouvés dans un Palais absolument énorme. Si Louis II de Bavière est venu ici, cela a dû le rendre malade. Et en plus, le temps est beaucoup plus chaud. Bref, visite :

Le propriétaire des lieux, richissime rentier était spécialiste de plein de choses et notamment des gastéropodes. Voilà qui était prédestiné pour figurer sur « cagouille ». António Augusto Carvalho Monteiro avait pour devise sur l’une de ses médailles qu’il portait toujours autour du cou : « Je rampe, mais ne change jamais de direction. »

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Publié le 13 septembre 2019

Tout le monde pensait que nous étions complètement « à l’ouest ». Après Land’s end et la Pointe du Raz, cette fois, ça y est, c’est fait... on ne peut pas aller plus loin.

Le Cabo da Roca. 

Assez sportif, avec un vent énorme, des centaines de japonais et de japonaises à selfies, et le chauffeur d’Uber qui attend.

Quite sporty, with a huge wind, hundreds of Japanese men and women taking selfies, and the Uber driver waiting.

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Publié le 13 septembre 2019

On ne peut plus les arrêter ! Hm , si, plein les jambes après ces deux journées de visite des Palais de Sintra.

Ce palais a été habité par le dernier roi du Portugal. Beau mobilier et belle décoration, enfin pour ceux qui aiment ce style, très différent d’Ikea. Tout cela est fin XIX début du XXème. Il y a encore un parc immense, bref impossible de tout voir en une journée. Certes il y a des prix spéciaux pour faire le tour de Sintra, mais il n’y a guère que les japonais pour arriver à faire tout. On va finir par croire que j’en veux aux japonais, mais cette fois ce serait plutôt un compliment.

L’entrée du Palais. 
 Vue de la cour intérieure et vue depuis le chemin de ronde.


Faudra se contenter de cela, photos interdites en intérieur... 



Photo de famille prise par ... devinez ... très sympathique. 

Demain, départ pour Lisbonne, avec une journée de RTT pour nos pauvres jambes.

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Publié le 15 septembre 2019
Devant la réception. Accueil plutôt sympathique. 
A gauche première tentative, à droite emplacement définitif. 

Du pour et du contre pour ce camping. Énorme usine car pratiquement le seul pour visiter Lisbonne. Pas évident pour avoir un bon emplacement. Car, nous avons maintenant l’habitude, ici rien n’est plat. Nos amis hollandais doivent souffrir. Le premier camp était beaucoup trop loin des sanitaires. Le deuxième est plus satisfaisant. Sinon, il y a vraiment tout le confort. Presque. Le wifi, très bon, et gratuit n’est accessible qu’au restaurant. Finalement cette journée de repos s’est passée à s’installer convenablement. On a fait quelques repères pour des choix de visite.

Balade du lundi 16.

Nous prenons le bus 714, à quelques dizaines de mètres de l’entrée du camping. Prix unique, 2 € par tête pour faire tout le tour de la ville et arriver à la Praça da Figueira. Pendant ce grand tour, on repère les lieux et on prend la dimension de la ville. Le bus descend vers le Tage, devant le monastère de Jeronimos - prochain programme - puis vers le pont de Lisbonne. Pont numéro deux en Europe. Nos ponts normands sont minuscules à côté. Si,si.

Nous nous immergeons dans les rues bruyantes et arrivons au monument incontournable de la ville : la cathédrale. La Sé. Pourquoi Sé? Vous savez que je suis curieux. C’est l’abréviation de sedes episcopalis, le siège épiscopal. Son histoire surtout est remarquable puis détruite et rebâtie par les romains, les wisigoths, les maures, les catholiques, les tremblements de terre... Donc la Sé est l’emblème de la ville, même si ce bâtiment n’a rien de particulier. La cathédrale possède deux orgues jumeaux en vis-à-vis qui mériteraient une solide restauration ou au moins un bon nettoyage.

L’intérieur de la cathédrale. 

Ce n’est pas loin, nous allons jeter un coup d’œil à la Place du Commerce. Cette belle esplanade est près du Tage.

La Praça do Comercio. 

Au programme du jour, circuit avec le tramway numéro 28. Effectivement, c’est grandiose.


Le tramway. 

Le voyage commence en douceur, mais bientôt le véhicule se remplit et fait un grand tour dans la ville en rasant les murs, dans un bruit assourdissant. Le chauffeur est d’une patience angélique. Il s’en passe des choses... ça monte, ça descend, les voitures et les gens arrivent de tous les côtés...

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Publié le 18 septembre 2019

Deuxième expédition dans Lisbonne.

Le Monasterio de los Jeronimos.

Vue d’ensemble du monastère de belle taille depuis l’arrêt du bus 714. 
La magnifique façade. 

Une première partie, est libre, pour visiter l’église, dont une partie est en travaux. Prière de revenir en 2022 pour voir tout. Orgue moderne mais original.

Un aperçu de l’église avec son petit orgue moderne.
Le tombeau de Vasco de Gama 



Le cloître à deux étages. 

A deux pas de cet ensemble architectural, un autre monument de renommée mondiale : la pâtisserie de Belém. Avec les fameuses pasteis de nata. Nous décidons de faire un repas de gâteaux.

L’intérieur de la pâtisserie et une boîte à serviettes papier.
On en reprendrait bien encore un peu ? 

Nous sommes dans le coin, allons voir la tour de Belém.

Le monument aux conquérants et navigateurs. Au fond, le pont de Lisbonne. 
La Tour de Belém! 

La journée n’étant pas terminée, nous décidons de retourner vers la Praça do Figueiras pour essayer de trouver et escalader le mirador repéré la veille.

Comme d’habitude, une heure d’attente. Nous avons le temps de discuter avec un couple de jeunes français venu en week-end à Lisbonne. Mais nous sommes encore récompensés de notre patience.

Ascenseur de Santa Justa. 
Spectacle au soleil couchant depuis Santa Justa. 
Ouh la la, tu as vu l’heure ? 

Retour tardif et épique avec un bus en retard. Course impressionnante pour rattraper ce retard . Pour les intéressés, 20138 pas. Record complètement explosé. La forme revient ! Demain repos , rangement et préparation du retour !

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Nous revenons par le chemin des écoliers, c’est à dire sans autoroute et donc sans péage. Le navigateur donne quelques fois des renseignements surprenants. Des panneaux nous indiquent « vois sans issue ».Nous sommes joueurs, on se fie à Google Maps... et ça passe !

Un coin super pour la pause déjeuner. 

Nous passons à travers la montagne pour aller du Portugal à l’Espagne.

Ça grimpe, mais pas trop et quel paysage !! 

Nous voilà arrivés au petit camping de Ciudad Rodrigo. Encore un endroit à visiter, truffé de monuments historiques.il y a du monde depuis les romains et sans doute bien avant. Miracle : le camping est PLAT. Il y a longtemps que l’on n’avait pas vu cela.

Le camp. 
Vue des murailles de Ciudad Rodrigo, depuis l’emplacement d’à côté .

Prix modique avec tout ce qu’il faut. À demain !

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Publié le 21 septembre 2019

Il faudra revenir visiter plus en détail. Il se passe plein de choses ici, fêtes diverses. Plein de spécialités culinaires. Encore une entorse au régime avec des pâtisseries excellentes.

Une bonne adresse. Publicité gratuite. 
Quelques vues de Ciudad Rodrigo 
Juste à la sortie du camping. Coin tranquille et peu industrialisé. 
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Publié le 21 septembre 2019

Nous revenons au camping de Fuentes Blancas. Bon camping de passage et déjà emprunté pour visiter cette ville magnifique. Nous dormons avec le toit baissé pour cause d’alerte aux orages. Ces orages ont fait de gros dégâts un peu partout en Espagne. Nous avons de la chance, nous sommes juste à la limite nord.

Le camp restreint et la châtelaine. 

Le wifi est catastrophique et remporte la palme du plus mauvais de tout le séjour.

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Ychoux est dans les Landes. Donc, du plat. Mais, le camping est légèrement vallonné. Pas besoin de cales.

À l’arrivée, barrière close et réception déserte. Le campeur précédent était déjà au téléphone. Réponse : installez-vous où vous voulez. On verra plus tard. C’est bien, on est encore loin des usines à campeurs. Cela existe encore !

Nous voyons arriver le propriétaire un peu plus tard. Il était parti à la plage. L’océan est à moins de 25 km, en effet.

Hélas, risque de pluie. Bon. On verra. Comme nous avons fait la halte du midi au Al Campo de Irun, nous avons de quoi tenir un moment.

Le camping d’Ychoux au soleil couchant. 
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Publié le 22 septembre 2019

Oui, bon, ok, il n’y a plus que 260 km à faire... non, il y a encore 260 km à faire. En visant sur la carte etc, on trouve Ecommoy, qui était sur la route des vacances, jadis, vers la Charente et avant les autoroutes.

Le camping municipal, tout tranquille, avec la méthode précédente. On s’installe où on veut et où on peut. « On passera vous voir. »

En tous les cas nous voilà en Sarthe, ce qui fera plaisir à quelqu’un.

Nous sommes revenus au pays des péages, des panneaux, prix à payer pour avoir des WC propres et avec du papier. Et demain, en principe : maison.


Installation presque terminée à Ecommoy. Sarthe.