Lille n'est qu'à 9 minutes en train de Roubaix, on a même appris que les deux villes étaient reliées en métro.
A notre arrivée, nous sommes attendues par une haie d'honneur formée par des statues vertes, symbolisant des concepts, par exemple la communication, la philosophie, la mémoire ... Elles ont été installées dans le cadre du festival Utopia, consacré au thème du développement durable.
Flop culinaire chez Meert, maison fondée en 1677, étant sensée être une institution de la gaufre. Trop sucré pour nous !
Déambulation dans le vieux Lille avec ses façades typiques. Nous nous arrêtons sur deux singularités place du Théâtre : un boulet de canon peint en rose pour suggérer un sein et un petit sonneur de cloche à l'entrée de la bourse qui sonnait l'ouverture et la fermeture de celle-ci.
De couleurs encore vives, la Bourse abrite aujourd'hui les bouquinistes de la ville.
On s'arrête devant un beffroi tout à fait remarquable - on découvrira qu'il s'agit de celui de la chambre de commerce et non pas de celui de l'hôtel de ville.
La place Charles de Gaulle, dite Grand-Place, permet d'admirer certaines curiosités : les trois statues dorées au sommet de la Voix du Nord, un soleil d'or posé sur un fronton...
Arrêt à Notre Dame de la Treille et sa façade de marbre gris, qui lui donne un air futuriste. A l'intérieur, le chemin de croix et la rosace participent de cet élan moderniste.
Non loin de là se cache la façade de la plus petite maison de Lille (ou est-ce une légende urbaine?).
On parcourt le vieux Lille de fond en comble : depuis la rue des vieux murs jusqu'à la rue de la clef, en passant par le jardin de l'évêché et la place aux oignons.
Dans la cour de l'hospice Comtesse on tombe nez à nez avec deux serpents gonflables dans le cadre du festival Utopia. Un peu plus loin, l'îlot Comtesse est un coin de verdure qui abrite la maison d'un géant, toujours pour ce même festival.
Super pause déjeuner vegan à La Clairière en compagnie de deux hôtes poilus. Le restaurant ne se situe pas loin du quai du Wault.
Après un passage rapide à l'hôtel, on ressort dans le vieux Lille pour jouer aux cartes sur une terrasse à l'ombre avec vue sur la Treille.
Découverte d'un quartier aux antipodes du vieux Lille. C'est Euralille, le centre d'affaires développé dans les années 90. On y trouve entre autre un bouquet de tulipes de l'artiste japonais Yayoi Kusama et le Tripostal, où nous visitons l'expo "Vivants", consacrée aux menaces qui pèsent sur les peuples indigènes. La fresque "White tone" mérite tout particulièrement notre attention car l'artiste l'a réalisée en utilisant de la poudre à canon. Elle représente des animaux autour de l'eau.