Bali

Une escale à Bali, la perle de l’Indonésie...
Novembre 2019
8 jours
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Nous sommes arrivés à Bali hier soir. L’aéroport de Denpasar nous surprend par sa taille, immense et hyper moderne. Pas de doute Bali est une destination touristique!

Alors oui au fait, pourquoi Bali? Quand nous étions à Kuala Lumpur nous avons vu que les vols pour la Nouvelle-Zélande étaient moins chers depuis Bali. Même en rajoutant le vol Kuala Lumpur-Bali on faisait une sacrée économie sur nos vols. Du coup, on s’est dit: pourquoi pas Bali?? Rien que le nom ça fait rêver et pour nous ça évoque le bien-être, la détente et les rizières!

Donc arrivés à l’aéroport, nous retirons de l’argent (youhou! on est millionnaires en roupies indonésiennes!!) et prenons un taxi.

On arrive à 22h à Ubud dans une petite homestay tenue par un couple de Balinais qu’on trouve de suite trop chou! Nous allons manger dans le seul resto encore ouvert à cette heure tardive: un repère d’occidentaux complètement dégénérés en mode zen à l’excès , position lascive et bio-bobo dans ce qu’il y a de pire. L’ambiance nous fait à la fois rire autant qu’elle nous met mal à l’aise!

Jour 91 

Petit déjeuner sur la petite terrasse de notre homestay: des fruits exotiques ça fait trop plaisir!

Utu Homestay, 15€ la nuit avec PDJ 

Nous faisons ensuite un petit tour dans Ubud: le marché aux souvenirs et quelques temples. Les temples balinais ont une architecture toute particulière dont je parlerais plus en détails. Ils sont superbes. Bali est la seule île d'Indonésie qui soit hindoue et non musulmane. Les Balinais ont l’air très attachés à leurs traditions. Nous voyons plusieurs cérémonies d’offrandes.

Les Balinais portent pour certains la tenue traditionnelle. Surtout les femmes en fait, elles ont un joli haut moulant en dentelle et un sarong qu’elles nouent à la taille. Elles sont hyper belles et souriantes.

Bassin aux lotus devant le temple Saraswati 

Après une matinée dans Ubud, nous réalisons que pour être libres dans nos déplacements, il nous faut un scooter. Ici, tout se fait par ce moyen de transport. Nous louons donc un scooter à notre homestay (4€ les 24h) et nous partons faire un tour dans les environs d’Ubud. Quel sentiment de liberté! La campagne est luxuriante et nous voyons très vite nos premières rizières.

Après une petite boucle, nous allons faire une petite balade à pieds: la Campuhan Ridge Walk. Les paysages sont superbes et il y a plein petits bars super sympas près des rizières.

 Campuhan Ridge Walk

Nous finissons ensuite la journée par un massage dans un joli salon. L’accueil est adorable, très raffiné. Nous avons une salle pour nous deux, décorée avec des fleurs de frangipanier. Le massage balinais est tonique! Une première partie avec des points d’accupression et une seconde partie massage pur avec l’huile essentielle de notre choix. A la fin du massage qui dure une heure, on nous sert un thé et une brochette de fruits. Le pur bonheur! On en profite car un massage de cette qualité et dans un tel cadre on ne peut pas se l’offrir tous les jours en France!

Massage balinais 

Jour 92

Ce matin, nous partons en scooter de bonne heure direction: les rizières de Jatiluwih. Les 40km de route sillonnent dans la campagne et sont hyper agréables. Nous passons devant des rizières, traversons des villages et voyons de nombreux temples. Il y a de petites stations service en bord de route ou des stands qui vendent de l’essence dans de petites bouteilles en verre en dépannage.

Station service 

L’arrivée aux rizières est superbe avec les montagnes qui les dominent (des volcans car Bali est une île volcanique).

Les rizières sont en terrasse et plusieurs sentiers de balade ont été aménagés afin de pouvoir profiter des paysages. Comme nous y sommes tôt, nous sommes tranquilles et profitons à fond du lieu. Les couleurs sont absolument magnifiques. Les rizières sont selon les endroits soit en eau, soit en mode pousse, soit en mode récolte. Nous voyons quelques travailleurs au milieu des plantations. Ils nous saluent avec le grand sourire que tous les Balinais portent sur leur visage (ce n’est pas un mythe!).

Après 3h de balade au milieu des rizières, nous mangeons face au paysage histoire de profiter encore un peu.

Nous prenons la route du retour, faisons quelques stops au passage et filons ensuite au salon de massage pour un petit massage des pieds cette fois! Un régal! Vraiment on se fait plaisir et on se promet que cette parenthèse balinaise sera celle du repos et du bien-être!

Le soir, nous mangeons dans une petite cantine de rue et flânons dans les rues d’Ubud. C’est certes très touristique mais c’est aussi agréable de profiter de cette animation nocturne.

Jour 93

Départ 7h pour une nouvelle virée en scooter! Téléphone à la main, (maps.me est notre meilleur ami) je fais la copilote de Micka: direction le Mont Batur, un des plus célèbres volcans de Bali!

La route traverse plein de villages successifs. Les rizières laissent place lorsqu’on prend un peu d’altitude à des cultures de café et de légumes.

A Bali, on trouve le Kopi Luwak qui est un café ultra cher, soi-disant un des meilleurs du monde. Ce sont les excréments des civettes (luwak en indonésien) qui permettent la fabrication de ce café. Ces petits animaux se nourrissent de cerises de café mûres. Elles ne digèrent que la pulpe, pas le grain, qu’elles défèquent. Les grains sont récupérés, nettoyés et auraient grâce aux enzymes digestifs de la civette un goût unique entre le cacao et la noisette donnant au café un arôme incomparable. Bon comme vous vous en doutez, nous n’avons pas testé...

Stand de fruits sur la route 

La route grimpe et il fait frais de bon matin! On sent qu’on est à 1400m d’altitude.

La vue sur le mont Batur, haut de 1717m est juste sublime. Nous voyons très nettement les stigmates de la dernière coulée de lave, qui date de 1999. Les cratères sont aussi bien visibles et impressionnants.

L’ascension du volcan est faisable assez facilement en 1h30. Mais elle se fait quasi obligatoirement avec un guide (c’est un gros business et si vous tentez de le faire seul vous serez harcelés tout le long du chemin). Du coup, on a choisi l’option de plutôt profiter des lieux à la journée par nous-mêmes.

Le volcan Batur 

Le lac Batur borde le volcan. Il est longé par la caldeira qui forme une enceinte autour du volcan. Nous nous arrêtons à Penelokan pour profiter des différents points de vue sur le volcan et son lac, avant de descendre au bord du lac traverser les villages qui le bordent.

Vue sur le lac Batur  
Vue depuis Kedisan 
Vue sur le volcan depuis Abong

Nous longeons le lac et nous nous remplissons les yeux de ce paysage magnifique. Le lac ressemble à une mer d’huile. Il dégage beaucoup de quiétude. Seuls quelques petites embarcations de pêcheurs qui pratiquent la pisciculture sur le lac viennent compléter ce tableau idyllique.

Nous nous arrêtons au village d’Abong car le village suivant de Trunyan est un village isolé devenu un traquenard à touristes. Les habitants de ce village isolé n’ont pas les pratiques de crémation des habitants de l’île car ils ont longtemps vécu en autarcie et ont développé leurs propres traditions. Ils ne brûlent pas leurs morts mais les laissent se décomposer. Et leur petit business consiste à faire visiter leur cimetière morbide aux touristes! Autant dire qu’on avait envie de tout sauf de ça!

Nous mangeons face au mont Batur dans un des restos de Penelokan avant de reprendre la route pour Ubud. Nous avons adoré cette virée au mont Batur surtout que nous avons eu une météo incroyable! On est chanceux!

Au retour, nous nous arrêtons aux rizières en terrasses de Tegallalang. Malheureusement, elles ressemblent plus à un parc d’attraction qu’à de vraies rizières. Elles sont cernées de « bars avec vue », de spots à selfies et ça gâche un peu la magie du lieu. Nous avons préféré les rizières de Jatiluwih hier. Néanmoins, on y fait volontiers un petit tour avant de rentrer sur Ubud.

Rizières de Tegallalang  
Petite session jus de fruits: mangue & fruit du dragon 

Une curieuse tradition balinaise

Le limage des dents est un rituel de passage obligatoire pour tous les Balinais. Cette pratique se fait à l’adolescence lors d’une belle cérémonie familiale. L’objectif est de limer les dents pointues (les canines et les incisives) qui représentent le côté bestial de l’humanité. Apparement ce n’est pas douloureux... La cérémonie est exécutée par un Brahmane qui maintient la bouche ouverte avec un petit morceau de canne à sucre.

Est-ce le secret du beau sourire Balinais?

Jour 94

Ce matin, nous changeons d’hôtel car nous souhaitons rester encore une nuit à Ubud et notre homestay n’a plus de place disponible. Nous bougeons donc 1km plus loin dans une chambre tout aussi cool et même moins chère.

Notre chambre avec une jolie peinture balinaise comme on en voit beaucoup ici

Nous partons ensuite nous balader dans les rues d’Ubud, toujours aussi agréables et animées. Il y a de petites offrandes au sol devant les temples, les maisons ou les magasins.

Petite offrande sur le trottoir devant une boutique
Rues d’Ubud 

Nous voyons aussi quelques temples. L’architecture est toujours la même avec une haute porte fendue sculptée qui marque l’entrée du temple qui ouvre l’accès sur plusieurs cours successives. On trouve des petits autels à l’intérieur coiffés d’un toit de chaume et dans la dernière cour le sanctuaire proprement dit. L’accès à l'intérieur des temples est souvent interdit aux non hindous.

L’hindouisme à Bali n’a rien à voir avec l’hindouisme en Inde. Ils vénèrent certaines divinités en commun mais les rituels et pratiques sont différentes. À Bali le culte des ancêtres et l’animisme sont très présents. Quand à la place de la femme (ceci dit, est-ce une histoire de religion ou de culture?) elle est très différente. À Bali, les femmes sont très libres, les mariages sont souvent consommés avant l’heure. Le système des castes existe aussi mais adapté à la culture des habitants et est beaucoup moins contraignant qu’en Inde.

A noter que chaque maison balinaise possède son petit temple domestique avec des autels dédiés aux dieux ou aux ancêtres. La journée des Balinais est vraiment rythmée par la religion avec les rituels d’offrandes etc... Au début ça fait bizarre, on ne sait pas si on est rentré dans une maison ou dans un temple « par erreur ».

Temples balinais 

Pour cette journée repos nous nous offrons un nouveau massage balinais dans un salon que nous n’avions pas encore testé. Que du bonheur!! S’il y a un endroit où il faut profiter des massages c’est vraiment à Bali! Détente et respect du corps sont les maîtres mots.

Massage....massage.... 

Nous mangeons ensuite dans un petit resto de rue quelques uns de nos plats préférés: brochettes de tempeh à la sauce cacahuètes, curry de légumes et curry de tempeh.

 Bali c’est aussi le régal des papilles!

Un truc qui nous a surpris en bien à Ubud c’est la gestion du plastique. C’est le premier lieu en Asie du Sud Est où l’on voit que des initiatives ont été prises pour limiter les bouteilles en plastique. Les hôtels et les restaurants mettent à disposition gratuitement des gros bidons d’eau où l’on peut remplir sa bouteille. Avec 4 millions de touristes par an, ils devaient sûrement être au pied du mur. Comme quoi c’est possible de faire différemment dans un pays où l’eau n’est pas potable.

Refill d’eau potable 

En fin d'après-midi, nous partons nous faire une jolie balade. Les lumières du soir sont toujours aussi belles et le vert des rizières éclatant!

Le soir, nous assistons à un spectacle de danses traditionnelles balinaises. Le type de danse présentée est le legong. Le spectacle a lieu en plein air dans le superbe temple Saraswati. Un très beau moment. Les musiciens jouent de la musique traditionnelle avec des instruments locaux et les costumes des danseuses sont magnifiques (brocarts, tiare d’or et fleurs de frangipanier dans les cheveux). Beaucoup d’élégance et de jeux de regard. On est ravis car on craignait que ce soit trop touristique et en fait c’était vraiment un spectacle de qualité.

Danses traditionnelles balinaises  

Jour 95

Pour cette dernière matinée à Ubud nous faisons un petit tour au marché qui a lieu de 4 à 8h du matin avant que les fruits et légumes ne laissent place aux stands de souvenirs. Nous prenons ensuite un shuttle pour Amed à l’Est de Bali.

Marché d’Ubud 
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Jour 95 (suite)

Nous arrivons à Amed vers 14h30 (les shuttles ne sont pas rapides!). Nous posons nos affaires à la guesthouse et partons manger un bout en bord de mer... Premier poisson Balinais...🤗

Amed est un village de pêcheurs au pied du mont Agung (le plus haut sommet de l’ile 3031m). Comme le mont Agung est un volcan, la plage d’Amed est tout en sable/galets noir volcanique. C’est un spot connu pour la plongée. Les boutiques de plongée et les restos se succèdent en bord de mer, mais le village reste tout à fait à taille humaine. Touristes et Balinais se côtoient dans un bel équilibre. C’est vraiment agréable.

Repas en bord de mer à Amed  
 Petit catamaran fabriqué par les enfants avec bois et bouteille en plastique 

Nous longeons la côte en scooter pour de jolis points de vue avant de nous poser sur la plage pour profiter de la fin de journée.

 Plage d’Amed dominée par le mont Agung

Jour 96

Nous enfourchons le scooter à 7h pour une nouvelle virée. Les rizières sont superbes dans la brume du matin.

A 30 minutes d’Amed, nous arrivons à Tirtagangga pour visiter le Water Palace, un parc avec un bel ensemble de bassins avec des statues, des fleurs de lotus et des nénuphars. On a l’impression de marcher sur l’eau en sautant de pierre en pierre.

 Parc du Water Palace 
 Parc du Water Palace

Après cette visite, nous nous offrons un petit-déj à Tirtagangga et repartons en scooter explorer les environs pour profiter au maximum des jolies rizières. Elles ne sont pas toujours faciles d’accès mais c’est un plaisir de sillonner la campagne en scooter. Quel sentiment de liberté! Ce qui est top à Bali c’est que dès qu’on ressent trop la pression touristique on peut s’enfoncer un peu dans la campagne et très vite on se sent seul au monde. Et où qu’on s’arrête les Balinais sont adorables et souriants. Une vraie bienveillance envers les touristes.

 Culture et séchage du riz

Après un dernier stop où nous avons bien cru que le scooter ne redémarrerait pas, nous rentrons sur Amed et partons nous baigner et faire du snorkelling. Les fonds marins sont vraiment beaux, on voit beaucoup de poissons multicolores et de jolis coraux formés sur l’épave (Japanese Shipwreck) que nous pouvons voir à seulement quelques mètres du bord. Ça donne encore plus envie à Micka de faire de la plongée et de passer son PADI! Patience, patience...

Nous finissons la journée par un beau coucher de soleil sur le mont Agung, ce volcan au cône parfait. Il est vraiment majestueux et domine Amed. En bord de mer, on peut observer aussi des salines. Le sel est recueilli par évaporation dans des troncs de palmier creusés. Curieux comme technique!

Le mont Agung 
Les salines 

Jour 97

Matinée tranquille. Nous partons nous baigner à Tulamben près de l’épave du Liberty, un navire de transport de l’armée américaine coulé en 1942. C’est un site de plongée très connu à Bali et particulièrement chouette pour les débutants car l’accès à l’épave se fait depuis la rive. Micka voulait aller en snorkelling voir l’épave. Sauf qu’impossible de louer un masque et un tuba en état de fonctionnement. Au 3ème essai il laisse tomber: ils louent vraiment des croutes complètement cassées! Nul! Se piquer une tête reste toutefois bien agréable.

L’après-midi, nous nous faisons une dernière virée en scooter dans les rizières. Nous nous y baladons à pied. Les gens qui y travaillent nous saluent avec une gentillesse qui nous touche vraiment. Des « bonjours, comment ça va?» sans aucune attente, le sourire aux lèvres. Les dames qui repiquent le riz proposent même en riant à Micka de le faire avec elles.

 Un bœuf est parqué dans la petite cabane pour le labour

Nous pouvons vraiment voir toutes les étapes de la culture: les systèmes d’irrigation, les bassins en eau, les jeunes pousses, le repiquage à la main etc... C’est vraiment magnifique... Ces mêmes gestes répétés depuis des millénaires... On pense à ces millions/milliards de gens pour qui le riz est l’alimentation de base.

La culture du riz nécessite des quantités importantes d’eau et toutes les rizières ne peuvent pas être irriguées en même temps. Les rizières étant présentes en très grand nombre à Bali, cela nécessiterait des quantités d’eau astronomiques. Elles sont donc alimentées en eau de façon alternées, en fonction de leurs stades de pousse. C’est un système très efficace qui permet d’avoir jusqu’à 3 récoltes de riz par an.

Systèmes d’irrigation 

Les rizières sont inondées après la récolte lorsque les terrains sont secs. La terre est ensuite labourée la plupart du temps avec des bœufs, qui tirent une charrue. Les hommes s’occupent par la suite de planter les jeunes pousses, qui sont ensuite arrachées et repiquées dans la rizière. Des canards sont utilisés pour nettoyer les rizières après la récolte. Ils mangent les derniers grains restants pour faire peau neuve pour la prochaine plantation.

Ce sont les femmes balinaises qui récoltent le riz, et non les hommes. Elles n’utilisent aucune machines et suivent les méthodes traditionnelles de leurs ancêtres. Pour se faire, elles coupent les tiges et le riz est ensuite transporté sur leur tête jusqu’au village. Elles se chargent par la suite de décortiquer et de concasser le riz. (Source: balipassion.net)

 Repiquage du riz

Si comme nous, vous n’aviez jamais rien compris à la culture du riz, j’espère que ces petites infos vous auront aidé!

Nous rentrons pour un dernier verre sur la plage au coucher de soleil, que nous prenons avachis sur de gros poufs colorés avec en bruit de fond une musique sympa. Bali nous ravit, c’est vraiment une parenthèse enchantée, comme des vacances dans le voyage. Une parenthèse au paradis.

Nous terminons dans un warung (petit resto) qu’on adore à Amed pour déguster un gado-gado, LE plat préféré de Micka: tempeh grillé, sauce cacahuètes, légumes et riz. Une tuerie!

Gado-gado  

Jour 98

Aujourd’hui, nous quittons Amed pour notre toute dernière étape à Bali: Seminyak au sud de l’île, à quelques kms de l’aéroport. Nous mettons 3h pour faire les 93km qui nous séparent de Seminyak. L’île n’est pas grande (120km par 90) mais la route principale est assez chargée et il faut s'armer de patience.

Seminyak est juste à côté de Kuta et de Canggu. Ce sont les stations balnéaires du sud de Bali où le surf et les Australiens règnent en maître. Ce n’est pas forcément ce qu’on préfère comme ambiance (on est là juste pour être près de l’aéroport pour notre vol demain) mais notre philosophie dans ce voyage c’est d’essayer d’avoir toujours l’esprit ouvert et de se mettre en position d’apprécier tous les lieux qu’on voit. Micka se met donc en mode surf et se loue une planche pour profiter des vagues l’après-midi. Il se fait bien plaisir et s’en sort plutôt bien! (On verra les courbatures demain😉) De mon côté, je m’offre un dernier massage.

Plage de Seminyak  

Nous clôturons ainsi notre séjour Balinais.